Our events since 2008

Embark on a Journey Through the Extraordinary World of a Universal Cultural Center

  • Bel Canto in Baalbek
  • À Baalbeck s’est imposé l’ingéniosité du «Quatuor Musique del Tempo» du Selecteum des Arts et des Sciences ainsi que les voix sublimes des chanteurs Libanais où le langage musical conjugue la beauté du lieu à Baalbeck cité du soleil et comme si ses les pierres et cette musique divulguent ses secrets et c’est là au fameux hôtel historique de Palmyra, là dans ce lieu où sont imposés les vestiges de la puissance architecturale romaine des Temples Millénaires, s’est déroulé ce concert au coucher du soleil qui s’est abattu, avec toute la beauté de la musique et ses notes exécutées avec une grande virtuosité, prouvant encore une fois que tout est sauvé par la beauté de la musique, et à travers la mission sublime du «Selecteum des Arts et des Sciences» fondé et présidé par Mme. Dédé Hourani, sollicitée cette fois-ci à l’hôtel Palmyra a achevé le dernier concert de l’année au Liban et préserver dans la tournée Européenne du «Quatuor Musique del Tempo» d’autres projets.
  • Effectivement c’est dans cette ambiance superbe de l’hôtel de Palmyra à Baalbeck que l’espace et le temps se sont confondus pendant une heure et demi de temps durant ce concert intitulé «Bel Canto à Baalbeck» le jour de la fête de la musique, émerveillant une foule distinguée de personnalités diplomatiques, sociales et mélomanes.
  • L’ambiance de l’hôtel Palmyra a revêtu ce soir-là à 19h une lueur sensationnelle du cœur et de l’histoire des Temples millénaires de Jupiter et de Bacchus où le soleil s’infiltrait pour céder l’espace à la mélodie de la musique classique du «Quatuor Musique del Tempo» dont Michel El Murr et Leonid Polyakov au violon, Samir Amoori au viola et Anastasia Yartseva accompagné par le pianiste Armen Ketchek et par Zaher El Sebaaly au contrebasse avec les chanteurs et chanteuses libanais, les sopranos Nadine Nassar et Corinne Metni, la mezzo-soprano Eliane Saadeh, le ténor Eliya Francis et le baryton Maxime Chami qui à travers leurs voix sublimes ont créé cette ambiance féerique et merveilleuse.
  • Ainsi, musiciens et chanteurs ont émerveillé l’auditoire en interprétant Verdi, Strauss, Albinoni, Lehar, Gluck, Rota, Orbelyan, Tosti, Lazzaro, Bixio, Morricone, Posford avec beaucoup de talents, de haute performance et de professionnalisme de ce répertoire choisi avec beaucoup de subtilité par Mme. Dédé Hourani.
  • L’espace musicale ambulant sollicité cette année dans les différentes régions libanaises et de la part du Selecteum des Arts et des Sciences et dont le but et à travers ses activités est de faire découvrir les sites Libanais de notre patrimoine et toute sa richesse, a pu ouvrir un espace de la joie, de quiétude, de sérénité et de positivisme aux mélomanes si nombreux et s’est affirmé comme une agora sublime, innovante élevant les cœurs et les esprits vers un environnement sublime et grandiose.
  • Le concert a été salué par unanime et a été clôturée par un applaudissement vif et impressionnant!
  • Pastorale Poems
  • Même avec la crise qui ébranle le monde et notre région, il est apparu qu’il avait toujours cette place pour la musique sous sa forme attrayante grâce à la présidente et fondatrice du «Selecteum des Arts et des Sciences» Mme. Dédé Hourani qui a organisé cette soirée musicale à la superbe cathédrale de Saint Louis avec le «Quatuor Musique del Tempo». Un concert qui vient d’écrire encore une nouvelle légende d’une toute autre réussite qui menait les musiciens à jouer leur musique avec le flutiste international Wissam Boustany et la merveilleuse pianiste Tatiana Primak Khoury et qui ont su intégrer leur virtuosité à la conduite d’une œuvre sublime «Piano Concerto fa mineur BWV 1056» de BACH, une des œuvres colossales du grand maître, si difficile et qui n’est que cette œuvre dont le langage musical est une religion que l’on doit honorer et dont la musique a sans doute des prodiges avec toutes ses subtilités plus que toute autre forme artistique. Avec l’ensemble des musiciens du «Quatuor Musique del Tempo», Leonid Polyakov et Michel El Murr au violon, Samir Amoori au viola, Anastasia Yartseva au violoncelle et Zaher El Sebaaly au contrebasse, Tatiana au piano et Wissam au flûte; les musiciens ont excellé dans leur performance si riche en texture surtout dans leur orchestration si experte et si sûre en intégrant leur virtuosité à la conduite d’une œuvre «Flûte Concerto en mi mineur» de Franz Benda où les deux doués Wissam Boustany ainsi que Tatiana Primak Khoury ont magnifiquement excellé dans leur performance.
  • Pour clôturer avec Bach et sa «Suite nº2 pour flûte et cordes en si mineur BWV 1067» qui n’est qu’une suite d’éblouissement par la merveilleuse interprétation des musiciens, précédée par le premier mouvement de la sublime «Sonate Arpeggione de Schubert» remarquable par sa mélodie et son brillant dominé par le riche thème principal. Ce concert a établi immédiatement une atmosphère ardente et passionnée de la musique, une passion qui surgit dans les esprits pour ne donner que du bonheur grâce aux efforts de la présidente de Selecteum et ses musiciens pour enfin offrir un magnifique répertoire qui a pu satisfaire une audience élite, active aux impulsions du cœur qui ont un jour décidé aussi de se laisser prendre au charmes d’«Euterpe».
  • Parmi l’audience, S.E.M. Ihor Ostash l’Ambassadeur d’Ukraine au Liban, le Premier Secrétaire à l’Ambassade de Hongrie Dr. Karoly Benes, le Président de la Municipalité de Baabda Mr. Elias Helou et son épouse, le Président du conservatoire libanais Mr. Bassam Saba avec le Doyen au conservatoire Libanais Mr. Michel Khairallah, Mr. Emmanuel Gignac de l’UNHCR, Dr. Daniel Krause et son épouse, Mme. Armelle Tillemann, Maître Ibrahim Traboulsi et son épouse, Dr. Mounir Obeid et son épouse, Père Aghapios Kfouri, Mme. Rachelle Atallah, Mr. et Mme. Antoine Sayegh, Mr. Fawzi Makhoul, Mr. Richard Chahine et son épouse, Mr. Mozart Chahine, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Mme. Aida Iskandarian, Dr. Nabil Nassif, professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique...
  • Le Quatuor Musique del Tempo à Saint-Louis des Capucins
  • L’ensemble Quatuor Musique del Tempo relevant du Selecteum des arts et des sciences, fondé par Dédé Hourani, a donné un concert à la cathédrale Saint-Louis des capucins. Les musiciens, dont la pianiste Tatiana Primak Khoury et le flûtiste Wissam Boustany, ont joué des airs de Jean-Sébastien Bach et de Franz Schubert.
  • (L'Orient Le Jour - 19/06/2019)
  • «Pastorale Poemes» à St-Louis des Capucins-Beyrouth
  • Une fois de plus, Dede Hourani nous emerveille avec «Pastorale Poems», le concert presente par son «Selecteum des Arts et des Sciences» a la cathedrale Saint­louis des Capucins du Centre-Ville a Beyrouth. Le Quatuor Musique del Tempo, la pianiste Tatiana Primak­Khoury, le flutiste Wissam Boustany y ont joue des reuvres de Johann Sebastian Bach, Franz Benda et Franz Schubert. Parmi !'audience: l'ambassadeur d'Ukraine lhor Ostash, Dr. Karoly Benes, premier secretairea l'ambassadede Hongrie, le president de la municipalite de Baabda et Mme Elias Helou, le pre­sident et le doyen du Conservatoire respectivement Bassam Saba et Michel Khairallah, Emmanuel Gignac del'UNHCR, Dr et Mme MounirObeid... (Prestige - Juin 2019 n°297) 
  • Rondo dei Fiori
  • President of Selecteum des Arts et des Sciences
  • Mrs. Dédé Hourani
  • in coordination with the American University of Beirut
  • proudly presents Quatuor Musique del Tempo
  • with pianist Tatiana Primak-Khoury
  • and oboist Yuriy Nefyodov
  • in
  • Rondo dei fiori
  • concert
  • performing:
  • Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  • Oboe Concerto in D minor, BWV 1059
  • Allegro, Adagio, Presto
  • Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
  • Piano Concerto nº 23
  • Allegro, Adagio, Allegro assai
  • Domenico Cimarosa (1749-1801)
  • Oboe Concerto in C minor
  • Introduzione, Allegro, Siciliana, Allegro giusto
  • with
  • Michel El Murr , violin1
  • Leonid Polyakov , violin2
  • Samir Amoori , viola
  • Anastasia Yartseva , cello
  • Tatiana Primak Khoury , piano
  • Yuriy Nefyodov , oboe
  • Zaher El Sebaali , bass
  • Canzoni Scelte
  • Ecrivaine, musicienne, artiste peintre et organisatrice de concerts de musique classique, la fondatrice et présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences», Dédé Hourani, a prouvé une fois de plus que, d'art de la musique classique contribue à reconstruire nos états d'âme avec une vision du monde et de l'être humain positive, ouvrant un espace de quiétude au sein de !'ambiance négative engendrée par l'intolérance et !'injustice du quotidien libanais». Douze ans de réussite, de défis et d'innovation pour le «Selecteum» de Dédé Hourani qui a présenté récemment en coordination avec l'AUB, son concert intitule «Canzoni Scelte» a l'Assembly Hall de l'Université Américaine de Beyrouth. Y étaient au rendez-vous le Quatuor Musique del Tempo, des chanteurs et chanteuses d’opéra connus, les sopranos Nadine Nassar et Corinne Metni, la mezzo-soprano Eliane Saadeh, le fameux ténor Eliya Francis, le baryton Maxima Chami et le pianiste Armen Ketchek. En leur compagnie, les mélomanes présents ont passé de merveilleux moments rythmes par dix-huit chants d’opéra italien, selon un répertoire choisi par Mme. Hourani avec un art et une précision subtile, en solo, duo, trio, permettant aux chanteuses et chanteurs d'enthousiasmer !'assistance parmi laquelle se trouvaient ce soir-là: l'ambassadeur de !'Uruguay Ricardo Nario, la présidente Mayssam Noueiri, Mr. et Mme. Ibrahim Traboulsi, la directrice du Grand Lycée franco-libanais de Beyrouth Christine Vandrome, Dr Mounir Obeid, Père Aghapios Kfoury, Georges et Désirée Ghanem, Aida, Arty et Arveen lskandarian, Dr. Nabil Nassif, Prof Elie Hourani... (Prestige - Juin 2019 n°296)
  • Le Selecteum des arts et des sciences célèbre son 12e anniversaire
  • Des chanteurs d’opéra des plus talentueux et des plus connus du Liban ont donné récemment un récital à l’Assembly Hall de l’Université américaine de Beyrouth (AUB). Il s’agit des sopranos Nadine Nassar et Corinne Metni, de la mezzo-soprano Éliane Saadé, du ténor Élia Francis et du baryton Maxime Chami qui étaient accompagnés du pianiste Armen Ketchek et des musiciens du Quatuor Musique del tempo. L’initiative est celle de Dédé Hourani, fondatrice et présidente du Selecteum des arts et des sciences.
  • Le Selecteum des arts et des sciences, qui œuvre entre autres pour la promotion de la musique classique, marquait avec ce concert son douzième anniversaire.
  • Étaient notamment présents au concert l’ambassadeur d’Uruguay Ricardo Nario et la directrice générale du ministère de la Justice Mayssam Noueiri.
  • (L'Orient Le Jour - Mardi 23 Avril 2019)
  • Dialogue Spirituel
  • Concert sublime et remarquable interprété par le Quatuor de Musique del Tempo. «Dialogue Spirituel» a été le point vital qui a rassemblé un bon nombre de personnalités mélomanes, diplomatiques, sociales et culturelles qui ont répondu à l’invitation de la fondatrice et présidente du Selecteum des Arts et des Sciences, Mme. Dédé Hourani, qui œuvre inlassablement depuis 12 ans, à faire rayonner le goût de la musique classique dans toutes les régions libanaises, avec une démarche exaltante toujours évolutive…!
  • Un rendez-vous d’une foule de mélomanes qui ont afflué à la Cathédrale Saint Elias des Grecs Melkites Catholiques au Centre-ville de Beyrouth, encore une fois, pour apprécier dans cette ambiance solennelle la beauté et la subtilité de la musique classique, représentant de nos jours, une vraie thérapie positive pour le cœur et l’esprit…!
  • L’auditoire fut émerveillé par le Quatuor de Musique del Tempo, qui ont interprété avec professionnalisme le «Quatuor à cordes opus 33 nº2» de Joseph Haydn et le «Quatuor à cordes nº12 opus 96» d’Antonin Dovrak.
  • Le Père Supérieur Aghabios Kfoury a salué honorablement le parcours de Mme. Dédé Hourani et son projet musical qui revit un aspect grandiose dont l’objectif est de créer une ambiance capable d’élever l’âme vers Dieu notre Créateur, pareil à un dialogue Spirituel dans ce lieu solennel !
  • Le concert unanimement exceptionnel, a été applaudi avec une ovation vive et exaltante de l’auditoire profondément exalté par la virtuosité du «Quatuor de Musique del Tempo», Léonid Polyakov de Russie au 1er violon, Michel El Murr au 2ième violon, Samir Amoori au viola et Anastasia Yartseva au violoncelle.
  • Espace musical de prédilection inégalable approuvant encore une fois cette agora engagée, innovant et sublime, élevant l’âme vers des horizons célestes glorifiant le Créateur et Sa créature…! 
  • Discours Spirituel
  • Concert remarquable avec le “Quatuor Musique del Tempo” à la Cathédrale Saint Elias des Grecs Melkites Catholiques – Centre-ville place de l’Etoile
  • Le nouveau projet annuel de Mme. Dédé Hourani, fondatrice et présidente du Selecteum des Arts et des Sciences, préserve sans relâche: faire rayonner le goût de la musique classique dans le différentes régions Libanaises…!
  • Le concert intitulé «Discours Spirituel» à la Cathédrale Saint Elias des Grecs Melkites Catholiques, le vendredi 8 février à 20h fut impressionnant, répondant toujours aux sollicitations de nombreux mélomanes, amis du «Selecteum des Arts et des Sciences» qui bénéficient des avantages offerts par le centre depuis une décennie et plus !
  • C’est dans l’ambiance solennelle de la Cathédrale Saint Elias que le «Quatuor Musique del Tempo» a atterri cette fois-ci «semant dans ce lieu sacré, rayonnant de culture spirituelle, la subtilité de la musique à un auditoire mélomane, assoiffé toujours de musique classique florissante de beauté sublime» selon le Père Supérieur Aghabios Kfoury.
  • Le quatuor a émerveillé l’auditoire mélomane représentant des personnalités diplomatiques, sociales et culturelles par son professionnalisme qui a interprété deux morceaux « Quatuor à cordes en do majeur op. 33 nº3 de Joseph Haydn » et le «Quatuor à cordes nº7 en fa majeur, op. 59, nº 1 de Ludwig Van Beethoven».
  • La soirée s’est achevée par un succès applaudi par le public profondément sidéré et émerveillé…!
  • Musical Allegories
  • Constamment fidèles aux concerts, répondant à l’invitation de la fondatrice et présidente du «Selecteum des Art et des Sciences» Mme. Dédé Hourani, de nombreuses personnalités diplomatiques et sociales mélomanes, ont été vivement impressionnées par le concert «Musical Allegories», dans l’ambiance somptueuse de l’Assembly Hall de l’AUB, le mercredi 6 février à 20h30. Ce concert a été brillamment interprété par le fameux «Quatuor Musique del Tempo» du Selecteum accompagné au piano par la pianiste de renommée internationale Tatiana Primak-Khoury et au contrebasse Zaher El Sebaali! concert qui a été unaniment remarquable!
  • Un répertoire très éclectique choisi avec beaucoup de professionnalisme par la présidente du Selecteum, a été interprété par les musiciens qui se sont ingéniés à jouer ces deux œuvres «Concerto pour piano nº24 en do mineur, K.491 de Wolfgang Amadeus Mozart» et «Quatuor à cordes nº2 en ré majeur d’Alexander Borodin», intercalés par la Sonate de Mozart en Do majeur jouée par la talentueuse pianiste Tatiana. Un concert qui a sidéré le public de mélomanes parmi lesquels figurent, le premier secrétaire à l’ambassade de Hongrie Dr. Karoly Benes, le Chargé d'Affaires à l’ambassade de Colombie M. Luis Fernando et son épouse, Mr. Ivaylo Dinev attaché à l’Ambassade de Bulgarie, Ambassadeur Farid Samaha, Ambassadeur Khalil Makkawi et son épouse, le second Secrétaire à l’Ambassade d’Inde Mr. Jakjit Sing et son épouse, Mr. le Conseiller culturel à l’Ambassade de France Mr. Serge Tillmann et son épouse Mme. Armelle, l’inspectrice de l’éducation nationale française Mme. Pascale Matera et son époux Mr. Michel, Président de l’université LAU Dr. Joseph Jabra et son épouse Dr. Nancy, Maître Ibrahim Traboulsi et son épouse, le Proviseur du Lycée à Verdun Mr. Tailan Malfroid et son épouse Mme. Noura, Directrice au Grand lycée franco-libanais de Beyrouth Mme. Christine Vandrome et son époux, Mme. Hélène Badaro, Dr. Nabil Nassif, Mme. Diane Elmas et le professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique.
  • MOZART Concerto pour piano No 24 en do mineur, KV 491
  • Ce concerto est une des œuvres les plus importantes de Mozart, d'un style précurseur des grands concertos romantiques de Beethoven et Brahms.
  • D’abord, l’orchestre est imposant. Pour l’écrire, Mozart utilisa un type de papier rare, réglé à seize portées. On y lit partout la nervosité que Mozart dut ressentir en le rédigeant: il n’est pas soigné comme à l’ordinaire et renferme tout, des premières esquisses aux dernières révisions, avec quantité de biffures et même de drôles de petits autoportraits qui guident vers les passages mal placés. Mozart nota la partie solo après la pause et, à court de place, dut se rabattre sur les portées des trompettes et des timbales.
  • Le premier mouvement... c’est à l’unisson que ce concerto démarre avec l’Allegro, comme la Sonate pour piano en ut mineur, K457, et la Fantaisie et ut mineur, K475, sans oublier le Concerto pour piano No 3 et le dernier mouvement de la Sonata pour piano, op. 10 No 1, de Beethoven. Dans K491, les contours de la mélodie inaugurale nous plongent dans le désespoir. Tous les thèmes du premier mouvement sont, d’une manière ou d’une autre, affiliés à ce matériau liminaire. Aucun n’y échappe.
  • Le deuxième mouvement Larghetto: Mozart n’en avait pas écrit trois mesures qu’il se ravisa. Il est intéressant de regarder son premier jet - une mélodie plus enjolivée que la version finale. Il n’y a nulle part où se cacher dans cette mélodie d’une simplicité radicale, exposée au piano puis reprise, tel un chœur, par les instruments à cordes. Quand le piano poursuit son chant, escorté magnifiquement par le «Quatuor Musique del Tempo», une immense émotion est tapie derrière les notes en apparence simples. Le mouvement est de forme rondo et les épisodes - le premier en ut mineur, le second en la bémol majeur. Une splendide coda clôt le mouvement.
  • Dans le finale Allegretto, Mozart se tourna vers la forme variation. Sans les notes d’agrément des sixièmes et septièmes mesures, la musique pourrait facilement verser dans une totale noirceur, mais Il reste quelque chose de baroque dans l’inspiration mozartienne. Les deux premières variations s’animent toujours plus, avec de tourbillonnantes figures pianistiques. Celles-ci sont au premier plan dans la troisième variation, où les deux violons de Leonid et Michel ainsi que l’alto de Samir ont leur moment et la brillante celliste Anastasia pour finir en beauté.
  • Borodine Quartet nº2 en Ré majeur
  • C’est une œuvre musicale méditative d’une mélodie absolument aérienne et d’une fraîcheur innovante où la beauté, l’harmonie et la sérénité se retrouvent pour nous emmener dans un endroit au plus profond de nous-mêmes comme si nous suivons un mirage, vers notre silence intérieur idéal pour les moments où nous voulons être tranquilles et aller plus loin dans un voyage mystique intérieur. Le Scherzo écrit dans une sonate libre où la lumière du 1er mouvement saute gracieusement au second mouvement évocateur d’une valse où la récapitulation nous ramène au trois rythmes et leurs caractères. Quant au fameux Nocturne qui suive avec ce lumineux gauze d’accompagnement du second violon et viola ensuite et le violoncelle qui introduit cette longue et ardente mélodie est marqué d’une cantabile si expressive. C’est toujours dans cet esprit festif que la finale peut représenter tout simplement le moment du plaisir, de la détente, de la récompense après l’effort et apparait comme l’équivalent musical d’un sourire qui se termine comme par une vivace énergétique pour fournir à l’œuvre toute entière de la joie convenable.
  • Ce concert exceptionnel a été clôturé par un applaudissement vif et impressionnant!
  • Musical Exaltation
  • Byblos au Liban portait au Moyen-Age le nom de Jbeil, francisé par les Croisés en «Gibelet». La ville fut conquise par Raymond de Saint-Gilles, avec l’aide de la flotte des Vénitiens et des Gênois en 1104. Le lieu fut plus tard l’objet de disputes entre les Templiers et les Hospitaliers. L’église, semblable à l’église romane de Beyrouth, fut également dédiée par les Croisés à Saint-Jean Baptiste. On y établit des évêques latins, au commencement du XIIème siècle, sous le contrôle du patriarche d'Antioche. Cette construction romane se distingue par son élégant baptistère à coupole, édifié sur le flanc nord. Malheureusement détruite en partie par les bombardements de la flotte anglaise en 1840 et 1857, la façade a dû être entièrement refaite. On peut tout de même admirer l’ornementation (vagues, cordages) qui évoquent un style typiquement oriental.
  • A l’intérieur, il faut admirer les arcs doubleaux qui furent mis en place pour consolider les voûtes. Un coup d’œil sur les ouvertures situées tout en haut de l’édifice permet de comprendre que ce lieu fut fortifié à l’époque des Croisés. C’est aujourd’hui une cathédrale qui a été en fait en partie construite sur les ruines de l’ancienne église. Elle porte désormais le nom des évangélistes Saint Jean et Saint Marc qui, selon la tradition, sont les premiers fondateurs de la première communauté chrétienne dans la Phénicie.
  • De plus le taux de participants élevé et d’audience fidèle venant aussi de l’extérieur de cette cité superbe et historique Byblos, marque chaque évènement et chaque concert qui a sa particularité. Parallèlement à ses activités le centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences» sa présidente et sa fondatrice Mme. Dédé Hourani ainsi que le «Quatuor Musique del Tempo» qu’elle a fondé en 2007 et dont les musiciens aux talents exceptionnels ont été charmés par le lieu sublime, qui l’ont inspiré à organiser un répertoire si spécial et splendide au concert comparable à la féerie de ce lieu merveilleux, commençant par le sublime «Quatuor Dissonance nº 19 en do majeur K.465 de Mozart» clôturé ensuite par le «Quatuor nº1 en sol mineur, Op. 27 du compositeur Edvard Grieg» avec Leonid Polyakov au premier violon, Michel El Murr au second violon, Samir Amouri au viola et Anastasia Yartseva au violoncelle.
  • Les évènements du «Quatuor Musique del Tempo» sont accessibles à tous ceux qui aiment et souhaitent assister dorénavant dans la plupart des villages du Liban pour faire connaître au Libanais la beauté exceptionnelle de leur pays et diffuser et promouvoir librement la musique classique et tous les bénéfices et avantages offerts par le Centre Culturel International «Selecteum des Arts et des Sciences» et de son «Quatuor Musique del Tempo».
  • Résonance Spirituelle
  • Ce couvent de Saint Jean situé à Khenchara, village du Liban bâti au 12ième siècle, entre la forêt de Bois de Bologne, Bteghrine, Dhour Choueir et Ain el Sendianeh est un merveilleux couvent qui abrite la plus ancienne église appelée Monastère de Tabchech connu pour ces notables icônes et librairie; ce monastère est connu aussi pour comme le site de la première imprimerie arabe du Moyen-Orient dont les premières publications datent depuis 1734; c’est un lieu superbe qui a prouvé à maintes reprises qu’il est un lieu de spiritualité, de culture de tradition. Connu pour ses caves du meilleur vin libanais et qui n’est que le produit pur de ses vignobles.
  • C’est riche fabuleux d’un passé et d’un présent riche d’activités et de concerts de qualité exceptionnelles.
  • De plus le taux de participants élevé et d’audience fidèle venant aussi de l’extérieur de ce beau et superbe village Khenchara marque chaque évènement et chaque concert qui a sa particularité. Parallèlement à ses activités le centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences» sa présidente et sa fondatrice Mme. Dédé Hourani ainsi que le «Quatuor Musique del Tempo» qu’elle a fondé en 2007 et dont les musiciens aux talents exceptionnels ont été charmés par le lieu sublime, qui l’ont inspiré à organiser un répertoire si spécial et splendide au concert comparable à la féerie de ce lieu merveilleux, commençant par le sublime Quatuor opus 29 «Rosamunde» de Franz Schubert clôturé ensuite par le Quatuor opus 59 nº3 «Rozamovsky» du grand compositeur Beethoven.
  • Les évènements du «Quatuor Musique del Tempo» sont accessibles à tous ceux qui aiment et souhaitent assister dorénavant dans la plupart des villages du Liban pour faire connaître au Libanais la beauté exceptionnelle de leur pays et diffuser et promouvoir librement la musique classique et tous les bénéfices et avantages offerts par le Centre Culturel International «Selecteum des Arts et des Sciences» et de son «Quatuor Musique del Tempo».
  • Bicentenaire de Robert Schumann
  • Un concert remarquable de grande performance et une soirée musicale qui a apporté de la joie, qui n’est qu’un pur bonheur inégalable et incontestable d’un concert si remarquable du «Selecteum des Arts et des Sciences» à l’Assembly Hall de l’AUB à l’occasion du Bicentenaire du grand compositeur Robert Schumann.
  • C’est dans une ambiance somptueuse et solennelle qu’une foule distinguée de personnalités diplomatiques, sociales de mélomanes constamment fidèles et toujours impressionnées par le choix si sélectif du répertoire, ont répondu avec unanimité à l’invitation de la fondatrice et présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences» Mme. Dédé Hourani. Ce fut un concert en hommage de ce compositeur avec le «Quatuor Musique del Tempo» accompagné au piano par la pianiste Russe Diana Avanesian venue spécialement du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou.
  • Une audience mélomane nombreuse étaient présente parmi laquelle des figures diplomatiques, culturelles et médicales, l'ambassadeur Khalil Makkawi et son épouse, chef du Protocol & Diplomatie à l’Ambassade de Hollande au Liban Mr. Joseph El Hayek, Attaché Culturel à l’Ambassade de Finlande Mr. Herbert Nyqvist, l’épouse du consul d'Islande au Liban Mme Carla Jabre, Mme. Pascale Matera inspectrice de l’éducation nationale française et son époux Mr. Michel Matera, Mr. Léon Kilzi Secrétaire Général Adjoint des écoles catholiques au Liban, Maître Ibrahim Traboulsi et son épouse, Dr. Nabil Nassif, Mr. et Mme. Richard et Maya Chahine, Mr. Mozart Chahine, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Mme. Anne de Clerck et Mr. Yves Bonduelle, Mme. Diane Elmas et le professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique.
  • Ce répertoire choisi avec beaucoup de professionnalisme a été interprété par les musiciens qui se sont ingéniés à jouer sublimement avec une habileté exceptionnelle, une performance parfaite et une technique instrumentale exemplaire de la part de ces musiciens du « Quatuor » et celle du pianiste aux talents inouïes et qui est toujours d’une qualité remarquable et hors normes. Ce concert a remporté un vif succès triomphal et a été clôturé par un encore «Czardas» de «Vittorio Monti» et un tonnerre d’applaudissement vif, vigoureux et interrompu!!!
  • Robert Schumann, Quintette en mi bémol Majeur op.44
  • Le Quintette opus 44 de Schumann, c’est sa grande œuvre et qui est une réussite brillante. Là où le piano intervient avec autorité Liszt disait: “Elle sent un peu trop son Leipzig.” Cette réflexion n’est peut-être justifiée que pour les passages canoniques de la finale. Mais le jaillissement des trois thèmes de l’allegro initial est d’une force parente de celle du Concerto. La marche mi funèbre, mi fantastique du second morceau est du plus authentique Schumann. Et le Scherzo, s’il est peut-être moins riche musicalement, n’en est pas moins directement issu de la fantaisie la plus pure d’Eusebius et de Florestan.
  • On a tant parlé de Schumann et son Quintette qu’on imagine que c’est avec son sang, ses racines, ses attaches qu’il a écrit cet unique Quintette. Schumann aurait pu nous laisser des cylindres où nous nous acharnerions à retourner la magie de ses doigts. Il nous laisse bien mieux: une œuvre écrite, où nos prestidigitateurs aujourd’hui, qui surmontent en se jouant l’insurmontable même mais avec Diana Avanesian il n’y a pas de problèmes à essayer de suivre le mouvement de ses doigts grâce à sa grande virtuosité et cet excédent de technique, qui apparente la liberté, conquise sur l’ascèse infinie du travail et la légitimité charismatique des interprètes du fameux “Quatuor Musique del Tempo”, dont la virtuosité légendaire n’éclipse pas la nature mais l’exalte pour communiquer à l’auditeur le sentiment sublime du compositeur.
  • Max Bruch, Quintette en Sol mineur
  • Au Quintette en Sol mineur de Max Bruch pour piano et quatuor à cordes, la beauté du premier mouvement Allegro molto moderato, n’avait d’égale que sa difficulté d’interprétation à laquelle le Quintette formé par Diana Avanesian au piano, Michel El Murr au premier violon, Leonid Polyakov au second violon, Samir Amoori à l’alto et Anastasia Yartseva au violoncelle, a donné toute sa valeur tant pour la qualité de l’interprétation que par l’intensité de la réplique. Le deuxième mouvement Adagio suit aux notes pétillantes, le Scherzo allegro molto qui suit tandis que le quatrième mouvement Finale allegro agitato terminant cette œuvre, montre la valeur incontestable de ces musiciens qui nous donnent une heure de musique de la plus haute performance.
  • Sounds Variation
  • Une virtuosité exceptionnelle et un reflet de l’existence et le miroir de l’absolu c’est ce que l’audience a partagé ce soir-là avec les musiciens du «Quatuor Musique del Tempo» accompagnés de la fameuse pianiste Diana Avanesian venue spécialement du conservatoire Tchaïkovski, pour interpréter avec eux un des programmes choisi comme d’habitude si attentivement par la présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences» Dédé Hourani et qui ressent ce qui convient le plus à chaque concert, comme par exemple : celui intitulé «Sounds Variation» et dont le titre lui a inspiré un des plus beaux répertoires, qui commence par le «Concerto en La majeur BWV1055» de Bach et ses trois mouvements ; il débute par un Allegro vif mais doux à la fois ensuite un Larghetto nostalgique de toutes émotions et se termine par un Allegro ma non tonto intense et si beau. Un répertoire tout musicalement aussi bien que techniquement, est absolument sublime qui nous fait découvrir tout le talent et la vitalité des virtuoses. Et voilà le temps suspendu, le temps nous est volé et restitué sous forme de paysage magique, pour ne pas dire révolutionnaire. Avec ce concerto de Bach la pianiste ainsi que les musiciens nous transportent, nous les auditeurs, comme dans un autre monde.
  • Avec ses concertos, Bach a dépassé tous les musiciens de son époque et nous nous souviendrons toujours ce que Bach disait: «La musique nous aide à ne pas sentir à l’intérieur le silence extérieur de ce monde».
  • Et voilà aussi que les instruments à cordes accompagnant le clavier d’Avanesian induisent un plaisir et une jubilation surtout avec le «Quintette en La majeur opus 81» de Dvorak, superbe, aux couleurs fluides, à la texture transparente et vive avec sa gamme de partitions, ce qui donne une pure beauté euphorique et l’entrelacement constant d’une danse magique abondante en vitalité et spontanéité et d’un lyrisme poignant. Beaucoup de simplicité et de mélodie qui le distingue presque de toute la musique de Dvorak, une chaleureuse familiarité amicale avec une touche de déjà vu, un sens certain d’un retour chez soi bien que nous n’y sommes peut-être jamais allés.
  • Une performance captivante Piano Quintet en La majeur, Op. 81: Le sublime Piano Quintet en La Majeur de Dvorák occupe une place privilégiée dans le canon de musique de chambre peut-être partagée avec seulement deux autres œuvres pour le même ensemble de Schumann et Brahms. Les trois œuvres mettent en avant les sons puissants d’un quatuor à cordes couplé d’un piano à queue, une grandeur sonore qui ne trouve son égale qu’en la mesure et échelle magnifiques de ces chefs-d’œuvre monumentaux, épique dans leur expressivité. Il est toujours possible, même s’il est de mauvais goût, de suggérer que l’un de vos enfants est votre préféré, mais il est tentant de nommer l’œuvre de Dvorák comme le meilleur parmi ces trois frères stupéfiants. Son traitement dynamique de l’ensemble est superbe en termes de couleur, le brassage fluide des parties vivides et individuelles, avec une texture transparente utilisant une gamme brillante de techniques de composition. Tout au long, le drame musculaire se mélange librement aux nombreuses sections de beauté pure et euphorique, mêlant un enchevêtrement constant de la musique dansante magique débordant de spontanéité et de vitalité. Le lyrisme direct et poignant de Dvorák commence par les toutes premières mesures pour piano et violoncelle et continue à mousser en de nouvelles sources de mélodie: dans des piscines, fontaines et cascades à travers les quatre mouvements. A l’ample ensemble, il faut ajouter le traitement brillant de forme associé à la voix reconnaissable de Dvorák, naturelle, vraie et claire, et vous trouverez un des plus grands morceaux de musique de chambre jamais écrits.
  • Le mouvement de sonate d’ouverture s’étend entre deux pôles vifs, un lyrisme expansif, intime, tendre au point de briser, et une agitation sinueuse et motrice portant les gigantesques trajectoires en force. Le violoncelle chante un débordement intime et plein d’âme, auquel un violon analogue répond, après une vaste étendue musicale. Cette mélodie inoubliable qui hante réapparaît de plusieurs manières mais toujours comme une petite île distante, baignant dans la mer, offrant de façon intermittente un aperçu avant de la cacher de nouveau dans le mouvement du gonflement des vagues. Cette mer puissante a ses propres thèmes de choix qui sont tour à tour troublés et exaltants. Le traitement par Dvorák de la forme de sonate dramatique est magistral: l’exposition toute entière coule sans cassure en un geste unique et soutenu dans le développement suivant pour ensuite rentrer, si satisfaisant avec son sens entier d’exploration, de fécondité et de fruition. Le mouvement lent Dumka est une spécialité de Dvorák: à partir d’une ballade traditionnelle populaire dispersée de l’Europe de l’Est, une lamentation sombre et lente alterne avec une musique de bien plus grande vitalité que ce soit dans l’épanouissement en un sourire béat ou de sauter haut dans une danse villageoise traditionnelle. Dvorák étendait simplement ce véhicule simple mais efficace en deux parties en une œuvre complète, une suite de six mouvements de Dumka comprenant le trio de piano du même nom. Les textures les plus colorées du quintet se trouvent dans ce mouvement lorsqu’ils se déplacent de manière sure pour recentrer le caractère et l’humeur de l’ensemble pour accentuer les sections alternantes d’un rondo thématiquement riche. Les éléments centraux de l’art de Dvorák sont les rôles distincts et individuels joués par chacun des instruments, mêlés et équilibrés ensemble tout en étant séparés en fort relief l’un de l’autre pour une texture cristalline. Au moins aussi long en durée que le premier mouvement étalé, les deux mouvements occupent un bon deux-tiers de l’œuvre entière.
  • Le scherzo est une merveilleuse flottille d’allégresse, d’une joie athlétique et gambadante, légère comme une plume avec une grâce effervescente. Le trio offre un des moments les plus magiques de plénitude par Dvorák, une petite tranche d’Eden qui plane en apesanteur comme un halo. Bien qu’au départ elle semble occuper un monde complètement différent des ébats frénétiques des sections du scherzo, ce paradis intérieur de musique comprend exactement les mêmes notes que sa contrepartie extérieure, les même mélodies et motifs ralentis au point d’une variation miraculeusement transformée qui se réverbèrent aux souvenirs de son être précédent. Le titre entre parenthèses, Furiant, évoque une autre danse populaire courante dans la musique de Dvorák, dans ce cas-ci faisant référence à la vivacité du scherzo lui-même, raffiné, stylisé et distillé de son inspiration campagnarde originale.
  • La finale place la musique de Dvorák dans la longue ligne coulant de Schubert et Mendelssohn à Schumann et Brahms. Comme Schubert, Dvorák achève une œuvre massive avec une miniature cornucopia de fruits musicaux de plus, plusieurs nouvelles idées musicales colorées et merveilleusement construites comprenant, comme Schubert et Brahms, une vacillation mercuriale entre clés majeures et mineures aussi rapides que chaque phrase successive. Les gestes d’ouverture sont du pur Brahms. Le fugato climatique, une explosion plutôt formelle d’un contrepoint grandiose rappelle le puissant quintet de Schumann spécifiquement tandis que la chorale, brève mais surprenante, proche de la fin, rappelle Mendelssohn dans nombreuses de ses œuvres, de chambre ou autres. De certaines façons, le plus «développé» traditionnellement des quatre mouvements en termes d’orage et d’appui, de tension et de relâchement rhétoriques, il contient toutefois beaucoup de simplicité et de mélodie qui le distingue presque de toute la musique de Dvorak, une chaleureuse familiarité amicale avec une touche de déjà vu, un sens certain d’un retour chez soi bien que nous n’y sommes peut-être jamais allés.
  • Un grand nombre d’invités fidèles au centre culturel "Selecteum des Arts et des Sciences" étaient présents à la soirée de ce concert exceptionnel et l’on retrouvait dans ce public féru de grands mélomanes, parmi lesquels des figures diplomatiques, culturelles et médicales, l’ancien ministre Dr. Hassan Diad et son épouse, L'ambassadeur Khalil Makkawi et son épouse, l’épouse du consul d'Islande au Liban Mme. Carla Jabre, Mme. Armella Tillman, l’Inspectrice au Ministère Français de la Culture Mme. Pascale Matera et Mr. Michel Matera, le premier secrétaire Dr. Karoly BENES de l'ambassade de Hongrie, Doyen à l'Université américaine de Beyrouth Dr. Huda Huijer, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Mme. Anne de Clerck et Mr. Yves Bonduelle, Mr. et Mme. Richard et Maya Chahine, Mr. Mozart Chahine, Mme. Joumana Hamadé, Mme. Diane Elmas et le professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique.
  • Voci Grandiosi
  • It is under the colours of France, Italy, Germany and Russia that this concert called “Voci Grandiosi” with a perfectly chosen and balanced repertoire, will be performed. The concert’s title was chosen, inspired by these beautiful and grandiose voices, marked by the musicians of the Quatuor Musique del Tempo’s great performance accompanying the singers as usual, and it remains that the beauty of the voices makes us live as always moments of deep emotion and sheer happiness thanks to their tenderly vehement tones that take us a few centuries back…
  • We can say that where these singers are capable of this miracle on top of the cross between the most beautiful Italian song and the rarest and noblest French poetic inspiration as well as the sublime German lyrical inspiration such as Goethe’s interpreted by the music of Bach and Schubert.
  • A spring bouquet filled with beautiful and surprising Lebanese voices: Eliya Francis, prophet of song in this tone, this physical radiance as well as the magnificence of bel canto that today mark an exceptional artist, bringing inexhaustible freshness and vitality to the characterisation of his vocal abilities giving life, raising generalised marvel!! As for Corinne and this almost spoken lyrical and rhythmic flexibility, she has proved once again that her voice is at its finest: a living tone with deep, immediately recognisable colour, with a magic gift of permeating emotion.
  • A repertoire of exceptional harmony, especially that these singers are in complete harmony with the musicians and the choir with these musical and vocal allegories. And in this spirit as a bouquet of bel canto and Lieder, of cantatas, and especially a voice from elsewhere which is none other than that of a great German singer who relentlessly dazzles a demanding German audience in her country, the mezzo-soprano Angelika Wied is Selecteum’s habitual guest who at the dawn of her brilliant European career was the grand priestess of musical exactitude and vocal technicity as well as having an exquisite voice coming from the other shores of Lebanon to charm us with Schubert’s Lieder and the superb “du bist die ruh” and the “Gretchen spinnrade”, as well as Bach’s sublime cantata “Abrame Dich”.
  • Intangible moments of delight, reverie and freedom of voices rising at each concert, like larks, all in beauty and whimsical tempos as if these voices were announcing the start of spring season, escaping into the velvet of a fresh night and a cosy atmosphere in its swirls and colour tonalities as well as these scintillating tones especially throughout the well-chosen repertoire, Italian expressions interpreted by Maxime the brilliant Baryton who magnificently masters culture and the art of bel canto, but also carries this gift and diversity linking him to art and his gift of also interpreting in perfect Russian as well as French lyrical with a superb choice without forgetting Maxime and his precious secret to Russian songs linking him to his art and gift… and who creates at each concert an unprecedented sensation, and deep emotion that is exuded beside the voice which is marvellous!!! As is that of the mezzo-soprano Eliane and the beautiful singing that inhabits her repertoire as a great emotional singer and all the fullness of song, calculating this emotion like she calculates the place of every vowel in relation to height in her resonators without losing any of her colours. We can say that Eliane is a true magician of beautiful arias as well as exquisite and vibrant thanks to the voices chosen by the president of Selecteum des Arts et des Sciences, Dédé Hourani, beautiful Lieder as well as bel canto, always fill the Assembly Hall as elsewhere and especially thanks to the well-rhythmed choice of repertoire even with its contrasts and dissonances ending the concert before the finale with the masterpiece by the French composer Jules Massenet “pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps” – “why wake me, oh breath of spring” – based on a poem by “Ossian” which rekindles joy instead of sorrow in the audience’s hearts. 
  • Whisper of Spring / Souffle du printemps
  • Une fois de plus le «Quatuor Musique del Tempo» accompagné des musiciens de Bolchoï ont fait plus d’étincelle, accompagnés du fameux trompettiste reconnu internationalement Kirill Soldatov ainsi que le contrebassiste Bassem Al Jaber.
  • Présentés par Selecteum des Arts et des Sciences et sa présidente Mme. Dédé Hourani l’ensemble a interprété les œuvres d’Alessandro Marcello, de Mozart, de Brahms, de Morricone et de Khachaturian. L’objectif de Selecteum est essentiellement de susciter un regain d’intérêt pour la musique classique en général et la diffusion de sa connaissance à travers ses concerts et d’après des programmes qui contribuent à l’élargissement du nombre des mélomanes dans notre pays. Cette ambition de générer ces connaissances-là, c’est pour donner une compréhension des œuvres des grands compositeurs de la musique classique et d’autres genres de musiques à fin de donner aussi un goût à leur découverte mais pour clôturer ce concert intitulé «Souffle du Printemps», changement de cap et d’ambiance avec une virtuosité emportée par des éclats chargés de douceur, de rêverie et de romantisme avec Gabriel’s Oboe de Morricone, la danse Hongroise nº1 de Brahms une œuvre gaie et ensoleillé comme le printemps du Liban, ainsi que le valse Masquerade de Khatchaturian profonde et réfléchie, sans oublier la première grande symphonie de Mozart en sol mineur nº25 dont la tonalité du pathétique et la puissance expressive de son premier mouvement où surgit cette véhémence tragique, révèle l’expression si personnelle et très nouvelle chez le grand Mozart, annonciatrice de sa maturité. Cette symphonie était généralement considérée il y a un siècle comme une charmante œuvre galante où l’on prend conscience de la dimension géniale de cette partition adulée à l’époque romantique, et même cette véhémence géniale de son artisanat furieux, garde aujourd’hui l’impact d’une nouveauté saisissante, une œuvre qui affirme la victoire de l’homme dans le combat de la lumière contre les ténèbres. Une œuvre sublime qui traduit le génie du grand maître du concerto et qui restitue la puissance d’une narration emportée et véhémente mais aussi d’impalpables moments d’évasion et du bonheur avec ses trois mouvements Allegro moderato, Romance, Rondo Allegro vivace à la mélodie sublime qui traduisent une musique majestueuse par ses ondulations intenses et vibrantes qui séduisent. Un concerto remarquable qui ne nous a laissé guère indifférents. Quant à l’œuvre grandiose de Alessandro Marcello si bien interprétée par le génie de la trompette qui n’est que le soliste de Bolchoï Kirill Soldatov entraînant les musiciens dans le «Concerto en ut mineur» où l’on pourrait croire que Alessandro Marcello en personne improvise avec les autres musiciens puisque Kirill est un des promoteurs essentiels de cette convivialité musicale neuve, moderne qui a fait de la musique, une pratique vivifiante pour tant d’instrumentistes souvent avec complicité et cette passion qui électrisa une audience prise par sa performance exquise ainsi que celle des musiciens du Quatuor del Tempo et sûrement ceux de Bolchoï vivement applaudis mais émus par l’endroit et l’appréciation de cette audience mélomane Libanaise, parmi lesquels des figures diplomatiques, culturelles et médicales, L’ambassadeur d’Autriche S.E.M. Marian Alexander Wrba, ambassadrice de Paraguay S.E. Ms. Adela Jimenez de Perez, ambassadrice de Chypre S.E. Ms. Christina Rafti, Chargé des Affaires politiques des Pays-Bas Mr. Veerle Nicolaï, Premier secrétaire de l'ambassade de Hongrie Dr. Karoly Benes et l’Attaché culturel Mr. István HORVÁTH, Charge d’affaires de l’ambassade de Polande Mr. Adam Radziwon, le Premier Conseiller à l'Ambassade de France M. Serge Tillman et son épouse Mme. Armella, l’Attaché Culturel à l’Ambassade d’Inde Mr. Mahesh Kumar, l’ex-doyen de la Facutlé d’Agronomie à l'Université américaine de Beyrouth Dr. Nuhad Daghir, Directeur des programmes et de la production à la Télé Liban Dr. Hassan Chaccour, Proviseur du Lycée Mr. Tailan Malfroid et son épouse, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Mme. Anne de Clerck, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique. 
  • Discours Musical
  • Selecteum des Arts et des Sciences et son «Quatuor Musique del Tempo» ainsi que les chanteurs aux dons exquis continuent la saison musicale avec Brio et toujours de plus en plus de succès dans leur merveilleux parcours.
  • «Ce jeu si noble dans les voix semble qu’en montant vers les cieux, le chant rencontre des chants tombés des sphères célestes… Le secret de cette harmonie, qui rafraîchit la pensée est, je crois, celui de quelques œuvres humaines bien rares, elle nous jette pour un moment dans l’infini, nous en avons le sentiment, nous l’entrevoyons dans ces mélodies sans bornes comme celles qui se chantent autour du trône de Dieu et le génie de ces compositeurs nous conduit à une hauteur prodigieuse.
  • De là, nous apercevons une terre promise où nos yeux caressés par des lueurs célestes se plongent sans y rencontrer d’horizon…» Honoré de Balzac
  • Et s’il faut reconnaître dans les séquences Balzaciennes, le rôle littéraire de la circonscription musicale alors qu’il semble disserter abondamment sur les roulades du «bel canto» ou sur l’exécution d’un Oratorio, alors que pour Victor Hugo, la musique se veut «Souffle : âme, harmonie, encens.»
  • Quant à ces chanteurs et leurs voix sublimes dont la noblesse des lentes gradations qui répondent joyeusement à l’explosion du chant, développent ces images dans l’âme, sous couvert de la diversité des sensibilités, l’important pour ces chanteurs est de saisir les multiples affects de l’art et de son interprétation et leur credo de l’art authentique, laissant une place prépondérante aux galbes enrôleurs de leurs voix humaines.
  • C’est la vocation et la fierté, de très peu d’interprètes élus par «Selecteum des Arts et des Sciences» dont la présidente Mme. Dédé Hourani a parié sur leurs talents exquis sans oublier leurs dons éclatants dont la nature les avait parés. Et tout ce qu’ils ambitionnent de faire paraître, c’est la force secrète, la performance sans faille et la vérité difficile du beau choix des œuvres qu’ils servent.
  • Eliya, lui certes si doué! Un ascendant physique, c’est déjà une autorité naturelle. Mais un timbre somptueux et une facilité vocale dans le chant qui allait de soi, naturel, avec cette évidence qui n’émane que des plus doués artistes, car il est porteur d’un don de communication émotionnelle et une présence si remarquables par cette voix d’une pureté rare et d’une solidité de toue une école vocale qui s’y résume. Et si Eliya s’est tenu à l’absolu sommet, c’est que, capable de briller en scène par le personnage, le timbre, la force, la diversité et par la ligne souveraine et surtout par son art qui se fond avec l’éclatante voix, du murmure au tonnerre et son timbre qui fait aussi paraître cette puissance indescriptible!!!
  • Quant à Maxime, dont la vocation et la fierté d’interprète sûr de lui-même avec ce timbre aigu, ce rayonnement physique spiritualisé, est né avec un style; Le Baryton au demeurant était ouvert, racé, curieux et cultivé, ajoutons à son goût questionneur un don des langues suprême, du plus Français d’Orphée au plus Pouchkinien des Onéguine et l’on comprendra la merveilleuse illimitation qui marque un artiste d’exception. Pour l’entendre dans sa diversité d’interprète avec l’ahurissante dimension de sa voix, on prend conscience de sa coloration sonore et ce tact littéraire si parfait qui le font plus chérissable encore et formidable chanteur naturel.
  • Eliane et la fragilité gracieuse de sa voix la destinait à des rôles brillants qu’elle interprète dans plusieurs œuvres des grands compositeurs comme Handel, Chopin, Purcell, Massenet, etc… où on saisit les nuances sonores et verbales puisqu’elle est toujours à la recherche d’une projection qui porte la beauté des mots plus profond dans l’oreille de l’auditeur et à la merveille d’entendre vraiment et de comprendre dans la rigueur et la profondeur, l’exactitude de cette beauté. Une qualité de présence et d’insinuation et tant de travail préféré à tant de facilité qui fait de son souffle, une merveille, un don du ciel.
  • Corinne, en elle, ce n’est pas le chant qui est miracle c’est l’âme qui paraît, parle, et oblige l’audience à se taire. Corinne qui a pris sa pleine stature celle des anges avec son âme qui passait révèle une voix au timbre exquis, profond et lumineux de ce souffle fait pour donner âme aux plus nobles classiques comme par exemple, dans des rôles brillants des œuvres des grands compositeurs comme Bellini, Saint-Preux, Catalani etc... Cette voix angélique et veloutée qui parle à l’âme humaine et l’enchante…
  • Nadine et le perfectionnisme dans son cas est un mot bien faible pour quelque chose d’autrement sacrificiel car elle a toujours su, elle, que la perfection ne s’atteint jamais, mais Nadine Nassar s’est trouvée à l’heure pour ce qui a révolutionné notre approche et notre écoute de la musique et de sa voix divine de timbre même qu’elle travaille à brunir et à varier comme un or subtil, cette voix est presque partout pareille et c’est toujours le travail sur le souffle, les gradations d’intensité, l’irisation et la capacité de mirer l’émotion est d’une immédiateté envoûtante, surtout dans les œuvres les plus difficiles, les cantates de Bach, Gluck, Fauré, Chopin, Massenet, Rameau etc…
  • Le répertoire soigneusement choisi par la présidente du Selecteum des Arts et des Sciences Mme. Dédé Hourani, pour une audience sélecte, tout d’abord si riche par les œuvres des grands compositeurs Bach, Handel, Verdi, Gluck, Babadjanian, Donizetti, Chopin, Fauré, Massenent, Saint-preux, Schumann, Berez, Catalani, Toseli, Tosti et pour rendre hommage au grand compositeur Libanais Zaki Nassif, deux très belle chansons avec une chorale venue spécialement pour se joindre aux autres chanteurs et pour terminer avec les «Indes Galantes» de Rameau et le talent vocal des chanteurs si doués n’en demeure pas moins une merveilleuse finale où la musique sublime à laquelle se joignant le trompettiste Elie Njeim ainsi que le spécialiste de percussion Ibrahim Jaber et le contrebasse Bassem Al Jaber et où le chant et la musique sont un pur bonheur, un récital de chants des intermittences du cœur, nous transportent au siècle de Voltaire surtout par cette œuvre de Rameau qui appartient au patrimoine Français mais aussi par sa grandeur et sa beauté et par ce sens de l’humain aux œuvres lyriques universelles.
  • Un grand nombre d’invités fidèles au centre culturel "Selecteum des Arts et des Sciences" étaient présents à la soirée de ce concert exceptionnel et l’on retrouvait dans ce public féru de grands mélomanes, parmi lesquels des figures diplomatiques, culturelles et médicales, le président de l’Université Américaine de Beyrouth Dr. Fadlo Khuri, l’ambassadeur Khalil Makkawi et son épouse, l’ambassadeur de l’Ordre souverain de Malte S.E.M. Charles-Henri Aragon, l’ambassadeur d’Ukraine S.E.M. Ihor Ostash et son épouse, consule d'Islande au Liban Mme. Jabre, le Premier Conseiller à l'Ambassade de France M. Serge Tillman, le Chargé d’Affaires à l’ambassade d’Inde Mme. Ovassa Iqbal, Dr. Nabil Nassif, directeur du Collège Mariste Champville M. Léon KILZI, Père Jean-Louis Lingot, Mme. Anne de Clerck, professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique. 
  • Sounds of Heaven
  • Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  • Toccata and Fugue in D minor, BWV 565
  • Toccata, Fugue, Coda
  • Johann Sebastian Bach (1685-1750)
  • Organ Concerto in D minor, BWV 1059
  • Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
  • Church Sonata in C major, K.278
  • Henry Purcell (1659-1695)
  • Pavane and Chaconne in G minor Pavane, Chaconne
  • George Frederic Handel (1685-1759)
  • Sarabande
  • Tomaso Albinoni (1671-1751)
  • Adagio in G Minor for Strings and Organ
  • George Frederic Handel (1685-1759)
  • Music for the Royal Fireworks
  • at Cathedral Saint Mary of the Annunciation, Ljubljana - Slovenia
  • Sounds of Heaven
  • L’orgue de l’Assembly Hall résonnait sublimement sous les doigts et les pédales du grand organiste international Gasper Banovec qui a fait le tour du monde, venu spécialement au Liban pour accompagner les musiciens du «Quatuor Musique del Tempo» qui sont rentrés de Londres il y a deux semaines après le succès fou de leur performance à St James Church et ils quittent le même soir pour donner un concert en Slovénie accompagnés de Gasper Banovec.
  • Un grand nombre d’invités fidèles au centre culturel "Selecteum des Arts et des Sciences" étaient présents à la soirée de ce concert exceptionnel et l’on retrouvait dans ce public féru de grands mélomanes, parmi lesquels des figures diplomatiques, culturelles et médicales, l’ancien ministre Dr. Hassan Diad et son épouse, L'ambassadeur Khalil Makkawi et son épouse, consul de l'Islande au Liban M. Francois Jabre et son épouse, le Premier Conseiller à l'Ambassade de France M. Serge Tillman et son épouse Mme. Armella, l’Inspectrice au Ministère Français de la Culture Mme. Pascale Matera et Mr. Michel Matera, représentant de l'UNICEF au Liban Mme. Tanya Chapuisat, Dr. Karoly Bennis de l'ambassade de Hongrie, M. Miguel Angel Arellano de l'ambassade d'Espagne, Mme. Helena Hokrberg de l'ambassade de Suède, le doyen à l'Université américaine de Beyrouth Dr. Huda Hueijer et son épouse, Directeur des programmes et de la production à la Télé Liban Dr. Hassan Chaccour, Mme. Hélène Badaro membre fondateur de la protection du patrimoine au Musée National et membre du Comité des Festivals de Baalbeck, Dr. Nabil Nassif, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Professeur Riad Sarkis, Mme. Anne de Clerck, Mme. Diane Elmas et le professeur Elie Hourani, ainsi qu’un grand nombre de mélomanes et des amateurs de musique classique.
  • C’est l’occasion de sensibiliser les auditeurs à la beauté du son orchestrale et superbe de l’orgue mélangé à ceux des instruments à cordes, à travers ce concert qui a pour thème «Sounds of Heaven» et comprend les œuvres de grands compositeurs interprétées par le fameux «Quatuor Musique del Tempo» ainsi que l’organiste Gasper Banovec. Ce quatuor a vu le jour au «Selecteum des Arts et des Sciences» dans une ambiance feutrée et agréable, et de plus, il est équipé des meilleurs instruments de musique. On dirait qu’un havre de paix met du baume au cœur là où les musiciens du Quatuor ont exercé leurs talents et leur génie durant des années au Liban, pour le communiquer ensuite à travers l’Europe: à Londres, en Italie, en Russie et en d’autre pays, avec toujours de nouveaux projets, s’ouvrant toujours à de nouveaux horizons pleins de promesse, développant leur performance exceptionnelle.
  • Le monde tressait des couronnes à ces virtuoses exceptionnels et fidèles à leur pays, prêts à affronter les défis sans jamais tomber dans la routine. Leur première passion fut Bach, premier père nourricier de leur parcours musical: il tient la première place pour le Quatuor qui poursuit inlassablement son chemin et interprète aussi les autres grands compositeurs; c’est le secret de leur performance exceptionnelle.
  • Quant à l’organiste Gasper Banovec, Il s’avance vers l’orgue, déterminé et humble aussi: ses doigts lui obéissent et il met toute sa personnalité dans l’interprétation d’une Toccata et fugue de Bach sur l’orgue à l’acoustique chaleureuse de l’Assembly Hall. Il "épelle" Bach dont il dévoile la beauté car il est un pédagogue-né, psychologue, passeur d’âme. Toute action est pour lui mission. Il croit au ciel, comme le laissent deviner ses intonations sublimes et ses muses. Pas besoin d’un feu intérieur, ni d’attitudes exaltées: la foudre est toute en Mozart qu’il a interprété sublimement. Ce dionysiaque peut jouer le baroque ainsi que le classicisme le plus transparent, s’effaçant ostensiblement devant les notes au texte de feu, ce feu invisible; ainsi on le trouve emporté et calme en même temps, domptant un public suspendu: avec Bach il prend des risques dont on ne l’eût pas cru capable, savourant cette ivresse car Bach le guérissait de tout. Bach est son pain quotidien depuis qu’il a appris à l’interpréter à l’orgue. Bach charismatique mais c’est d’ailleurs que vient à Gasper Banovec sa virtuosité la plus extrême et surtout lyrique, sans grandiloquence: "Ses doigts légers, comme les «pieds divins» on fait chanter les touches à peine d’une caresse" comme dit Nietzsche un jour d’un organiste. Ainsi Gasper Banovec, se scelle en inaugurant avec Bach une lignée sublime qu’il poursuit, avec Mozart, Händel, Albinoni, Bizet et Offenbach grâce à son lyrisme fou, éloquent, et coloriste à l’infini avec la seule palette noir et blanc de l’orgue. Son intention l’a poussé à ajouter cette «Kirchensonate en Ut majeur KV 328» de Mozart qui pourrait être une symphonie, un très beau poème muet qu’on a applaudi intensément avec enthousiasme et bonheur. N’oublions pas qu’il est l’invité le plus renommé de nombreux concerts en Europe et en Amérique et le voilà au Liban à l’initiative de Selecteum et sa présidente Mme. Dédé Hourani, pour interpréter un très beau répertoire de son choix.
  • Le son de l’orgue mélangé aux cordes donne quelque chose de merveilleux… Ainsi pris par la magie de l’orgue, apprentis et virtuoses, artisans et grands seigneurs, jeunes femmes espiègles, le son de l’orgue dans la musique baroque fait vibrer les chapelles, les salles de concerts et se mêle merveilleusement et intimement aux instruments à cordes, pour créer un enchantement total. Et quand l’organiste nous entraîne dans le tourbillon d’une «Toccata et Fugue» magiques et un «Concerto solennel en ré mineur BWV1059» de Bach ou une sonate exquise de Mozart ou un «Adagio» nostalgique d’Albinoni et encore une «Farandole» de Bizet ainsi qu’une «Barcarolle» d’Offenbach et tant de chefs-d’œuvre des grands compositeurs, aux sons magiques jamais égalés, le son royal de l’orgue nous séduit surtout s’il s’agit d’un organiste doté d’un grand talent et d’une sensibilité intense et remarquable et surtout quand il accompagne le "Quatuor Musique del Tempo", ce quatuor qui constitue l’un des meilleurs ensembles du pays et même de l’étranger: il est devenu illustre même en Europe parce que ce "Quatuor Musique del Tempo" né du "Selecteum des Arts et des Sciences" ajoute à son nom une touche musicale du meilleur effet et il lui convient parfaitement d’accompagner les meilleurs solistes étrangers: flûtiste, pianiste, organiste, ou trompettiste etc… ce qui a amené les musiciens à un nouveau tournant de leur carrière fabuleuse, fruit de talents inouïs, et de mûres réflexions, dans leur longue recherche de la perfection, car les musiciens du "Quatuor Musique del Tempo" avaient conscience que, s’ils n’étaient pas parvenus à l’apogée de leur talent, leur virtuosité n’aurait pas été connue et reconnue comme l’une des meilleures, surtout quand on voit le choix des morceaux les plus difficiles où les notes semblent s’accrocher en une guirlande magique pour nous faire partager des instants de pur bonheur.
  • Musical Exaltation
  • Après un concert si réussi de la saison passée, l’engouement de l’audience Londonienne très mélomane de St James à Londres, a poussé le centre culturel des Arts et des Sciences «Selecteum» à collaborer de nouveau avec ses musiciens du «Quatuor Musique del Tempo».
  • Un voyage à travers le temps du Liban à Londres pour performer de nouveau il en intensifiant leur collaboration dans ce domaine avec St. James Church dans un programme intitulé «Musical Exaltation» pour le grand plaisir des mélomanes si les musiciens du Quatuor ont interprété: «Dissonance Quatuor à cordes nº19 en Ut majeur K.465 et Edvard Grieg: Quatuor à cordes nº1 en sol mineur, op.27, et finalement pour conclure ce fabuleux concert, les musiciens ont interprétés trois encores. 
  • Flûte Enchantée
  • Mme. Dédé Hourani, présidente du centre culturel des Arts et des Sciences «Selecteum» et en coopération avec l’Université Américaine de Beyrouth a offert un concert fabuleux avec ses musiciens du centre «Quatuor Musique del Tempo» ainsi que la flûtiste internationale Irina Stachinskaya accompagnée des musiciens du Bolchoï.
  • La célèbre flûtiste Irina Stachinskaya dont le Liban l’a connue à travers des concerts au centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences», est devenue une habituée du centre et à son «Quatuor Musique del Tempo». Pour elle la musique de chambre lui a formé sa personnalité de musicienne sans la priver des grands rôles de soliste, elle est simplement extraordinaire, car elle a pu observer à juste titre que les concertos de Mozart pour flûte laissent deviner une profonde connaissance de possibilités expressives de la flûte et une grande joie à les explorer. Accompagnée des musiciens de Bolchoï et ceux du «Quatuor Musique del Tempo» Samir Amoori, Michel El Murr, Leonid Polyakov et Anastasia Yartseva qui ont tous prouvé leur performance dans l’aristocratique «Allegro aperto» du «Concerto pour flûte en ré majeur» de Mozart. La flûtiste ainsi que les musiciens démontrent leurs inépuisables dons d’interpréter les fréquentes séquences coloratures, si mélodique du Flûte Concerto en ré majeur et où Mozart attribue à l’instrument solo, un nouveau motif qui défie la présentation orchestrale du thème principal, en distribuant généreusement le matériau thématique entre les vents et les cordes. L’anticonformisme de cette composition est encore renforcé par des allusions que l’orchestre répète sans cesse.
  • Le «Quatuor Musique del Tempo» conduit par leur passion pour la musique classique mais ce soir ils sont fortement engagés dans la création d’un lien entre les musiciens merveilleux de Bolchoï reconnus par leur performance exquise et véritables messagers de leur pays, dialoguant subtilement avec les musiciens du Quatuor et la flûtiste Irina dans l’Adagio où les premiers violons se lancent dans ce dialogue avec des fluides figures de flûte. Quant à l’Allegro, un Rondeau capricieux basé à nouveau sur un double thème, a très bien formé le Finale de l’ensemble dans lequel chaque musicien contribue par sa partie, au jaillissement des sonorités mélodiques et fabuleuses sur le plan de l’intonation d’une stature symphonique, donnant à chaque instrument son idiome particulier. C’est comme un flot interrompu de motifs mélodiques subtilement associés pour enrichir le paysage musical et qui ont enchanté l’audience et dont le choix de l’ensemble, des deux solistes et du répertoire comme d’habitude, reviennent à la présidente du Selecteum des Arts et des Sciences Mme. Dédé Hourani.
  • Quant à la flûtiste d’une grande renommée internationale Irina Stachinskaya, sensationnelle! Épatante! Une pure merveille de performance incroyable, est l’une des grandes flûtistes alors qu’elle vient de recevoir le prix de «Sir James Galway» le meilleur flûtiste de notre temps où elle a été invitée par ce grand et unique maestro de la flûte, et qu’on se l’arrache aux quatre coins du monde, car elle ajoute quelque chose d’autre que les autres grands flûtistes, et plus le temps passe, plus son jeu est épatant et bourré de vie et de passion et de dévotion pour la musique.
  • Quant à Anastasia Yartseva, interprétant «Roccoco Variations» de Tchaïkovski, son jeu a fasciné l’audience qui a retenu son souffle devant le timbre pur et troublant de son violoncelle, exaltant de façon idéale, une lumière d’en haut qui peut nimber sa sonorité. Et quelle plénitude dans l’œuvre de Tchaïkovski jouée par une des grandes violoncellistes. Magicienne! Enchanteresse… car c’est en allant à ses limites qu’on trouve son éloquence. Il est vrai que Yartseva n’a pas seulement dans les doigts cette énergie affamée de jouer et de se combler d’œuvres et de sonorités immenses, mais elle a aussi au cœur, ou plutôt à l’âme, de naissance, cette spiritualité et ce sens du grand et de l’inouï!!! Et l’immense littérature du violoncelle qui est faite pour planer et éblouir, puisque la musicienne a su trouver cette unique synthèse de beauté par sa virtuosité exquise.
  • Un grand nombre d’invités mélomanes ainsi que des grands amateurs de musique classique qui attendent de telles soirées avec impatience à cause de la performance exceptionnelle des musiciens surtout cette fois-ci des deux superbes solistes: la flûtiste Irina et la celliste Anastasia qui ont joué sublimement le «Concerto pour Flûte» et «Rococo Variations» avec ses sept mouvements extrêmement difficiles, et parmi lesquels des figures diplomatiques et culturelles et médicales, citons : S.E. Dr. Marta Pizzanelli l’ambassadrice d’Uruguay, le premier conseiller de l’ambassade de France et son épouse Mr. Serge et Armella Tillmann, une délégation de l’ambassade de Russie, Mme. Svetlana Safa représentante du président du Centre Culturel Russe Dr. Khayrat Ahmadov, Consul de l’ambassade de Hongrie Dr. Karoly Benes et M. Peter Komloche, l’Ex-Ambassadeur à Madrid S.E.M. Chucri Abboud, Dr. Hassan Chaccour, le représentant de Local Authorities Liaison de l’Angleterre M. Joseph Hayek, Mr. Kyriakos Pogitazis Consul de l’ambassade de Chypre, Mme. Hélène Badaro membre fondateur de la protection de l’héritage du Musée National et membre du Festival de Baalbek, Mr. et Mme. Alfred El Khoury, Mr. et Mme. Madera, Mme. Malfroi et Mme. Famo, Mr. et Mme. Léon Kilzi, Mr. et Mme. Georges et Désirée Ghanem, Mr. et Mme. Richard Chahine, Mr. Mozart Chahine et Pr. Elie Hourani…
  • Et finalement le concert s’est brillamment terminé par les encores «Traumeri» de Schumann et «Badinerie» de Bach. 
  • Sounds of Inspiration
  • Ils se sont donc retrouvés, musiciens du «Quatuor Musique del Tempo» et les chanteurs qui les accompagnent du Liban ainsi que «Minerva String Quartet» du Royaume-Uni et Kinan Azmeh qui vient spécialement de New York et Leonid Poliakov du Bolchoï de Russie, tous ensemble pour se produire à la Cathédrale Saint James à Londres, ajoutant au répertoire ce que le talent créateur conçoit en matière de beauté et de virtuosité exceptionnelles. Les musiciens et les chanteurs sont venus à Londres accompagnés par la présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences», Mme. Dédé Hourani, venue aussi pour signer plusieurs contrats après cette soirée musicale et qui nous a révélé dans sa stature rayonnante cette flamme et ce charme des talents vocaux naturels sans doute ceux de Eliane Saadé, Nadine Nassar et Maxime Chami et cette virtuosité musicale des deux quatuors et de leur clarinettiste et de ses chanteurs aux voix surprenantes. Ce charme complet qui a su ajouter aux dons éclatants de la nature et la vie de cet art, cette lourde discipline qui passe au-dessus des obstacles, puisque chaque musicien ainsi que chaque chanteur est maître de soi-même et Londres leur a tressé des couronnes obtenues du public mélomane venu nombreux et qui les a applaudi fort pour leur virtuosité qui illumine le même lyrisme émotionnel et chantant, telle est la loi de leur performance occidentale avec une partie qui venait s’ajouter au programme, trois œuvres purement libanaises qui offrent en plus une effectuation de la totalité des aspects des œuvres du répertoire lyrique dont les voix des chanteurs et chanteuses professionnels ne pouvaient être dissociables de la musique du «Quatuor Musique del Tempo» devenu bien reconnu par l’esthétique de leur virtuosité sans faille, dans différents pays, car le beau, pour l’ensemble des musiciens se veut, se gagne et se mérite par le talent, le travail et les sacrifices les plus grands, comme par exemple le Palace des Romanov, le Musée Historique de Moscou, la Philharmonie de Minsk, la Cathédrale San Lorenzo au Vatican…etc. leur ouvraient les portes pour leur offrir et leur permettre de performer dans des concerts de prestige dressant un historique et ils ont su se faire une renommée mondiale, car ils ont pris le temps pour faire carrière après des études dans les plus prestigieuses écoles de musique couplé à une vraie compétence sans borne celle de Anastasia et Michel El Murr, Samir Amoori et Leonid Polyakov, c’est cette base consciente et maîtrisée, ces deux vertus nécessaires mais qui ne vont pas toujours de pair, sans quoi le performant ne sera jamais artiste, et le clarinettiste Kinan Azmeh, qui Le Liban a connu à travers des concerts au centre "Selecteum des Arts et des Sciences" où il a excellé avec le "Quatuor musique del Tempo" qu'il a rencontré professionnellement pour leur performance raffinée et en harmonie avec sa musique devant un public spécial qui attend leurs soirées uniques. Kinan Azmeh a monté les échelons du temps par sa performance parce qu'il est honnête, digne et généreux dans son altruisme et il nous fait goûter ses mélodies mélancoliques pour guérir ceux qui sont tristes parce qu'ils ont été éloignés des êtres aimés. Il ravive l’art oriental en glorifiant sa musique et son héritage par son style particulier. Nous l'avons écouté jouer de sa clarinette dont il connaît les secrets et qui fait partie intégrante de lui et celui qui l'écoute est émerveillé par la structure de la mélodie et de la note et l’expansion de leur dimension.
  • Ce sont des mélodies veloutées qui émanent de sa musique guérissant la blessure de la séparation des êtres aimés. Elle les réunit sous son toit entre les chemins de l'amour et du temps perdu au rythme charmeur qui entre dans les profondeurs afin que sa performance soit belle, pleine de méditation et de poésie qui se réunissent toutes dans la musique de Kinan Azmeh et son grand talent.
  • Un grand nombre d’invités ont assisté au concert parmi lesquels des personnalités diplomatiques, culturelles, sociales, artistiques et des mélomanes jouissant de ce concert sublime.
  • Alors une première dans la conquête de Londres et d’autres étapes de virtuosité remarquable suivront, dans quelques mois, car pour cette capitale et son public de mélomanes, c’était un bonheur de les écouter, comme elle nous a mentionné la Présidente du Centre Culturel Selecteum des Arts et des Sciences Mme Dédé Hourani.
  • Sounds of Inspiration
  • Les belles voix que Dieu leur a donné et qui nous donnent en retour des beautés et des merveilles se sont émancipées entre les colonnes de la majestueuse cathédrale!!!
  • Si l'on demande quelle est l'importance de l'existence des génies? Leur voix et leur musique nous répondent: Ce sont les causes et les moyens de créer la beauté et l'évolution des sociétés afin de semer la joie et c'est un message pour l'humanité pour inculquer la bonté de l’âme à travers ces sens nobles qui proviennent d’une âme chargée de beauté, de spiritualité et de brillante lumière. Ce sont leurs talents exclusivement innés et c’est leur source de vie qui se traduit en un message qui nous relate la grandeur de la créativité dans notre existence où l’évolution et la beauté émanent en premier de ces merveilles uniques.
  • C’est une soirée du «Quatuor Musique del Tempo» et ses brillants musiciens Michel El Murr et Leonid Polyakov au violon, Samir Amouri à l’alto et Anastasia Yartseva au violoncelle accompagnés de Armen Ketchek au piano, Elie Njeim à la trompette et Zaher Al Sebaaly à la contrebasse et dans quelques compositions, la balalaika avec Nikita Valdovsky qui est venu spécialement de Russie pour performer avec cet instrument de merveilleuses compositions russes telles que «At the Balalaika», «Kalinka» et «Katioucha».
  • En jouant de leur musique en harmonie avec les belles voix de notre pays telles que Nadine Nassar, Eliane Saadé, Corinne Metni, Elia Francis et Maxime Chami, nous sommes tout ouïe pour écouter leur performance de qualité, cueillir des instants de lumière et de méditation et s’en réjouir avec l’intention de nous faire oublier les intempéries de la vie et ouvrir de beaux horizons à tous les niveaux pour que nous anticipions positivement sur les temps futurs et laissions s’envoler la poussière du temps présent… afin de faire rejaillir la lumière de l’aube à travers la créativité…
  • Parmi les invités selects, des grands amateurs de musique classique qui attendent de telles soirées avec impatience vue leur capacité d’importer l’esprit à un monde de paix, de clame, et de sérénité, notons la présence d’une délégation de l'ambassade de Russie au Liban présidée par le conseiller Culturel de l’ambassade de France au Liban M. Serge Tillmann et son épouse, l’Attaché Culturel de l’ambassade de Finlande au Liban M Herbert Nyqvist, le Consul M. Yusuf Abakarov ainsi que le Directeur du Centre Culturel Russe Dr. Khairat Ahmetov et Mme Svetlana Safa, une délégation de l'ambassade de Chine au Liban présidée par l’Attaché Mr. Fan Xi ainsi que Mme. Zhang Yajing et Mme. Ma Xaixia, la famille du Professeur Pierre Riscalla son frère Dr. Paul Riscalla et l’épouse du vénéré, le Président du Programme Zaki Nassif pour la Musique à l’Université Américaine à Beyrouth Dr. Nabil Nassif, Mr. Elie Hourani, les Pères Capucins présidés par le Révérend Père Supérieur Elie Rahmé, Père Boulos Kouly, Mme. Mireille Farés Boueiz, des doyens de facultés, des directeurs généraux et de nombreuses personnalités culturelles, artistiques mélomanes.
  • Rondo di Primavera
  • De nouveau la virtuosité a fait la loi lors du concert intitulé “Ronde de Printemps” comme un hommage au grand compositeur et musicien Français Claude Debussy donné par “Selecteum des Arts et des Sciences” à l’Assembly hall de l’Université Américaine de Beyrouth, par le “Quatuor Musique del Tempo” en collaboration avec les musiciens de “Bolchoï Theater de Moscou” accompagnés par la fameuse et internationale flûtiste Irina Stachinskaya ainsi que les deux solistes Leonid Polyakov et Michel EL Murr.
  • Irina comme flûtiste internationale avec son grand talent et sa position comme flûtiste principale dans “Moscow State Symphony” quand elle joue, ce sont les rythmes veloutés qui émanent de sa flûte, elle qui connaît ses secrets et elle qui fait partie intégrante et ces rythmes dont la puissance se reconnaît à ces riches tonalités qui peignent les sensations et leur diversité car elle est surprenante dans son universalité musicale, elle l’accomplit en s’engageant avec la même intègre humilité dans tout ce qu’elle joue, car la beauté du son se mérite, ce son sublime dans toute sa plénitude pour performer pleinement Mercadante, Tchaikovsky et les autres compositeurs qui lui chantent à l’oreille depuis l’enfance.
  • Léonid Polyakov ainsi que Michel El Murr, deux violonistes de grande renommée viennent de nous charmer avec ce qu’ils ont accompli dans la splendeur des sons de leurs violons, instrument le plus exaspérant le plus exigeant qui soit. Longtemps le “Quatuor à cordes” ne fut que prétexte à entendre leur voix, aujourd’hui ils jouent avec hardiesse leur seul violon à la main pour faire entendre une des plus belles œuvres de Bach le “concerto pour deux violons BWV1043”; cette œuvre qui consiste à rapprocher les deux virtuoses interprétant cette œuvre colossale, fixant leurs dimensions et leurs noms et rassemblant toutes les ressources d’un monde musical qui est monument celui de Bach la légende. Les deux violonistes solistes accompagnés par les musiciens de Bolchoï, l’ont accompli dans toute la splendeur des sons, cette œuvre, qui n’est que le calcul et l’effusion belle ainsi que la littérature de l’esprit qui vivifie et qui enchante. Ce concerto interprété merveilleusement avec ses trois mouvements vifs, volubiles et étincelants, parfois nostalgiques mais d’une mélodie rare. Un des meilleurs exemples des œuvres de la fin de la période baroque. Bach l'a composé entre 1717 et 1723 alors qu'il est maître de chapelle à Köthen Le concerto est caractérisé par la subtile mais pourtant expressive relation entre les deux violons tout au long de l'œuvre, principalement dans le Largo ma non tanto, où l'orchestre à corde se limite à jouer des accords. Ce concerto imite la structure de la fugue et utilise le contrepoint. C’est d’abord et surtout un seuil d’expression de sensibilité aussi dans l’accompagnement virtuose des musiciens du “théâtre de Bolchoï” et ceux du “Quatuor Musique del Tempo” et qui traduit la beauté du répertoire dans une splendeur magnifique celle aussi du “Concerto pour flûte et orchestre en mi mineur” de Saverio Mercadante. Saverio Mercadante composa ses concertos pour flûte en pleine période romantique. Toutefois, son style reste encore attaché à une certaine tradition, virtuose et brillante, sans message particulier à faire passer. Mais les idées musicales sont de qualité, les mélodies extrêmement chantantes, lui sied à merveille pour ces œuvres sans prétention, à l’égard de son immense production lyrique. "Le concerto en mi mineur” est le plus beau. Et c’est ensuite avec Brio que les artistes musiciens, le jouent ainsi que la Sérénade à cordes-valse qui vire vers un changement de climat musical et c’est un peu le printemps qui éclore épousant cette belle sérénade de Tchaïkovski qui nous rappelle la “ronde du printemps” du grand compositeur français Claude Debussy à qui on rend hommage. Le répertoire se termine dans toute sa splendeur magnifiée par l’œuvre du compositeur français Georges Bizet et son œuvre splendide “Carmen Fantaisie pour flûte et orchestre” jouée par les musiciens accompagnés de la superbe flûtiste soliste Irina. Et sur le plateau voilà les “Encore” envoûtants qui se suivent et se terminent avec le chef d’oeuvre du grand compositeur Français Claude Debussy et son chef-d’œuvre «Syrinx» joué par Irina avec cette diversité d’un répertoire superbe dont le choix merveilleux est de la présidente du Selecteum Mme. Dédé Hourani ainsi que des musiciens du “Quatuor Musique del Tempo” et qui traduit leur carrière remarquable et qui nous ont émerveillés, réaffirmant de nouveau leurs talents exquis et fascinants.
  • Un grand nombre d'invités ont assisté à la soirée, y compris des figures politiques, diplomatiques et culturelles. Au premier rang du public qui ne trouvait plus de place à l'Assembly Hall, était l’Ambassadeur des Pays-Bas S.E. Mr. Han-Mauritz Schaapveld et son épouse, l’Ambassadeur d’Autriche S.E. Mr. Marian Alexander Wrba et son épouse, l’Ambassadrice du Paraguay S.E. Ms. Adela Jimenez de Perez, le Conseiller culturel à l'ambassade de France Mr. Serge Tillmann et son épouse, le Conseiller de l'immigration à l'ambassade hongroise Dr. Peter Comlos, représentant de l’ambassade d’Inde Mr. Sagey Sinch, représentante de l’ambassade d’Allemagne Mme. Friederike Knoblosh, le Président du comité de contrôle des banques M. Samir Hamoud et son épouse, le président du Conseil national de l'audiovisuel Dr. Abdel Hadi Mahfouz, Dr. Nabil Nassif le Président du programme de musique Zaki Nassif à l'Université américaine de Beyrouth, Pr. Elie Hourani, Père Supérieur des Frères Capucins Elie Rahmé, Mr. Saer Karam, en plus d'un grand nombre de doyens, de professeurs, de corps médical et des personnalités culturelles et artistiques ainsi que des mélomanes amoureux de la musique classique. 
  • Music Del Tempo
  • A Tribute to the Professor and Writer Adeeb Hourani
  • It is the memory of my father. The memory is the rhythm of the music that he loved with its different elements, for the big musicians like Beethoven, Bach, Tchaikovsky, Mozart, and Chopin... An honoring in a language that he always loved, classical music that accompanied him in many moments of his life and that he transmitted to his children who succeeded in their professional careers, crossing the border of the little country that he loved and thus inspiring him this music with the most beautiful words that decorated his white pages and the titles of his books. This is an honoring that beholds a retrospect of the touching life of a father who was full of human, intellectual, scientific and aesthetic values. His son, engineer and international conductor, Monzer Hourani built big hospitals in the United States and adored music that he translated by conducting the orchestra "Virtuosi of Houston". His other children also followed his path.
  • At the invitation of the President of the Centre “Selecteum des arts et des sciences”, Mrs. Dédé Hourani and in coordination with the American University of Beirut, the musicians of the center "Quatuor musique del tempo" performed a concert in honor of professor and writer Adeeb Hourani at the Assembly Hall and a big number of guests attended the evening, including political, diplomatic and cultural figures. At the forefront of the audience that couldn't find places at the assembly Hall, was the President of the American University of Beirut, Dr. Fadlo Khuri and his mother Mrs. Soumaya Khuri, Dr. Nancy Jabra, the wife of the President of the Lebanese American University, His Excellency Former Minister Dr. Georges Corm, the Cultural Advisor at the French Embassy, Mr. Serge and Armella Tillmann, and a Delegation from the Hungarian Embassy of Beirut, preceded by the Economic Affairs Advisor, Dr. Caroli Beniz and the Immigration Advisor, Dr. Peter Comlos, the Advisor at the Russian Embassy, Mr. Oleg Menshov and his wife, the Representative of the Papal Nuncio in Lebanon, Bishop Yvan Santos, The Chairman of the Banking Supervision Committee, Mr. Samir Hammoud and his wife, Mrs. Hélène Badaro, Founding Member of the Protection of the Heritage at the National Museum and Member of the committee of the Baalbeck festivals, Dr. Nabil Nassif, President of the Music Program Zaki Nassif at the American University of Beirut, the family of the venerable Professor Adeeb Hourani preceded by his son, Professor Elie Hourani, his grandchildren and a number of his students, in addition to a great number of deans, professors, medical corps, cultural and artistic personalities and classical music lovers.
  • In front of the audience that attended the tribute paid to a unique person and with the accompaniment of the Syrian international clarinetist Kinan Azmeh, the quatuor performed with its guests, the musicians of the Belarus Philharmonic Orchestra, a composition of Mozart, compositions signed Kinan Azmeh and another one of Dimitri Chostakovitch. Thus, the musicians did a stage performance harmoniously with the occasion, the notes spread and the instrumentalists who played exceptional and touching melodies left a deep impact on the audience.
  • With a tribute to Professor Hourani, the event also included a speech by Mrs. Dédé Hourani where she enumerated the qualities of a dad who played the role of a father in love with culture and music and noted that the concert is a tribute to him who had a sharp vision to guide and culturally educate his children and make sure to give them a good and exemplary education based on science and arts as a foundation of human values that drive the human being away from materialism to encourage him to dive into the world of spirituality consisting of music, arts and literature that nourish the soul. She also pointed that his testament to us was to always “dig into knowledge and culture and he warned us from the danger of falling into the trap of ignorance... Why not, since he was given the nickname of the great educator... He was an exemplary father; we learnt from him temperance, modesty, humility and courage during difficulties. He gave us hope, insight, the right vision and courage to bear the responsibility to confront difficulties and hardships..."
  • After mentioning that Adeeb Hourani, the father was “a bundle of tenderness, love, knowledge and high human values”, she said: He was a citizen who was truly patriotic with his unprecedented attachment to a country he loved and adored…He was also a cultural and patriotic heritage to be proud of, an encyclopedia whose name was printed in the memory of the country…He struggled in life and spread the perfume of his wounds in the field of exemplary fatherhood and education for many generations when it came to pride and dignity… She continued: Who would have thought that he will reveal memories in us other than the ones in his book “Noble thoughts to alleviate the hardships of life” using his power between the granulated white pages that welcomed his noble thoughts and carried lots of emotions so that the jasmine that he loved bloomed on his white pages… His writings are full of light and his meanings of beauty and images of nature… When we see them, we ask: What is that passion that carries him away when he writes? We are in front of a father in love with beauty, the one of nature, the noble word, the bright thought and patriotism… He was the master of the illuminating word whose letters fly like a flock of birds… whereas the flowers are the spaces of his writings and his inspiration as he sipped from inside the roses he liked, the perfume of spring that he loved, the one of “Marjeyoun”.
  • Mrs. Dédé Hourani added: It is the memory of the man of truth and great intellect… the one who repeated: "What makes the human being is his humanism, his work."… It is a tribute to the one who defended human values with audacity and who was a reference for us and others with the knowledge and education he had and who invited us to reflect on our problems and be patient to solve them… It is a tribute to the one who never lost hope and preserved the qualities of a brilliant mind and great values… He overcame the obstacles of time like a mythical hero of a story he belonged to and that pertains to us… I remember his testament: “Open up for education and knowledge to achieve your biggest goals and after that, nothing can stand in your way to reach the targets you have set for yourselves earlier because they are noble aims…” She continued: There are men who come to this life ahead of their time and leave their ideas and thoughts like an intellectual heritage for many generations… My father was one of these men. He was an author, a poet, an intellectual and a humanitarian to a great extent… He was the one who called for different communities, religions and nations to get close to each other. He always dreamt of a global civilization that met to claim peace on earth and declare it unilaterally… He demanded to protect the diverse and distinct civilizations and to insist on preserving them so that they do not stoop.
  • Mrs. Dédé Hourani concluded: Your message will remain a beacon for the next generations and a green plant that reaches the horizons of a noble soul… and that you reflected on us because you were an example of fatherhood to be followed… I took a lot of light from your very productive mind that reflected on me directly. I salute you and my mother who are up above…
  • Arias del Tempo
  • «Arias del Tempo» du «Selecteum des Arts et des Sciences» réunissant les plus belles voix d'opéras au Liban ce concert "Arias du temps", dont le titre choisi par la présidente du centre "Selecteum des Arts et des Sciences" Mme. Dédé Hourani, a eu lieu à la cathédrale Saint Louis des Pères Capucins au centre-ville de Beyrouth, révélant un grand art qui touche l'esprit, qu'en est-il, ce soir, au moment de Noël et les vacances, à un moment de réflexion et d'approfondissement, non seulement par ces tons merveilleux, mais y compris des talents vocaux uniques au Liban, et la performance incomparable des voix d'opéra de renommées mondiales.
  • Une soirée, où Mme Dédé Hourani a rassemblé les sopranos Nadine Nassar et Corinne Metni, la mezzo-soprano Eliane Saadeh et le ténor Eliya Francis avec le baryton Maxime Chami, y compris la grande performance du "Quatuor Musique del Tempo" avec Michel Murr et Brin Hashim au violon, Samir Amouri au viola et Anastasia Yartseva au violoncelle, accompagnés par le pianiste Armen Ketchek et le contrebassiste Bassem Al Jaber.
  • Ce sont les voix du temps qui nous racontent en musique les joies et les peines, les sentiments humains ou spirituels à travers lesquels nous imaginons le mouvement violent ou calme des vagues et des fois comme le vent, nous ressentons la beauté du rythme dans les tonalités de voix angéliques.
  • Ce sont les échos des voix du temps dans les différentes périodes qu'elles ont vécu, l'étendue de ce que la chanson classique a atteint, le progrès qu'elle a achevé et l’épanouissement artistique à tous les niveaux, ce qui a augmenté son statut par rapport aux phénomènes des civilisations.
  • Des voix angéliques que l'on admire pour leur capacité artistique, la passion des chanteurs offerte par Dieu et le climat de leur pays maternel dans une nuit de tempête, calme ou brûlante et blessante comme le soleil de L’orient, dans une partie de l'opéra «Roméo et Juliette» «Je veux vivre» performée par Nadine et sa voix mélodieuse ou une composition de Massenet "Pourquoi me réveiller au souffle du printemps" chantée par Eliya Francis.
  • Ce sont des voix qui nous révèlent une grande créativité et un art divin où l'on ne peut que décider de joindre leurs photos à travers leur performance exquise à celle des grands artistes sans tenir compte la différence du sexe ou de l'origine orientale… Ce sont des artistes libanais internationaux dont nous sommes fiers ainsi que leur pays. À des moments, ce sont des voix auxquelles s'ouvre le cœur, qui nous donnent la joie ou qui nous font pleurer, qui guérissent nos blessures quand on les écoute, ces compositions fantastiques de l'art musical comme "Samson et Dalila", "Mon cœur s'ouvre à ta voix" du compositeur Camille Saint-Saëns chantée par la voix unique d’Éliane Saadé et l'immersion dans la passion dans l'opéra "Belle nuit, ô nuit d'amour" de "The tales of Hoffmann" du musicien et compositeur Jacques Offenbach avec la voix veloutée de Corinne Metni.
  • Ils sont les miroirs des voix du temps qui reflètent les sentiments humains après avoir réservé une place spéciale dans leur pays et eu un impact sur sa mémoire de leur voix mélodieuses et gagné le cœur de leurs compatriotes. Ce sont les voix du temps dans lequel elles ont fait un cercle complet entre le passé et le présent jusqu'à ce que les attentes du goût raffiné augmentent afin de parler, avec la beauté de leurs mélodies et rythmes, à l'âme humaine tout comme les créateurs qui ont adoré la musique et la poésie pour nous donner le vrai art qui dans le critère des civilisations les rend capables de faire passer son grand message et promouvoir la beauté, l'amour et la foi afin d'escalader les échelles du temps pour atteindre la perfection nécessaire à enrichir la société et l'héritage culturel à travers cet art raffiné et la performance de grands talents libanais qui ont enregistré le grand moment de l'intellect artistique à travers leurs brillantes performances des mélodies des grands compositeurs prouvant ainsi leurs talents qu'ils ont développé à la perfection. Ce sont leurs voix… Les voix de ce temps et c'est la grande richesse artistique qui a fleuri comme un pionnier dans l'art de la chanson et du théâtre des grands compositeurs et des artistes du pays comme Eliya Francis et Maxime Chami en évoluant pour devenir des échos merveilleux des mélodies du temps et de son éternité.
  • Parmi les invités selects, des grands amateurs de musique classique qui attendent de telles soirées avec impatience vue leur capacité d’importer l’esprit à un monde de paix, de clame, et de sérénité, notons la présence de l’ambassadeur de Pologne au Liban S.E.M. Wojciech Bozek et son épouse, l’ Ambassadeur d’Hollande au Liban S.E.M. Han-Mauritz Schaapveld, une délégation de l'ambassade d’Hongrie au Liban présidée par Dr. Karoly Benes-Premier Secrétaire et Député Consul des Affaires Commerciales ainsi que Dr. Peter Komlos- Consul des Affaires d’Immigration, une délégation de l'ambassade de Russie au Liban présidée par le Conseiller M. Oleg Menshov et son épouse ainsi que le Premier Secrétaire M. Dimitri Pastokhov et son épouse, l’ex-Ministre S.E.M. Georges Corm, le PDG de l’Ecole Nationale d’Administration Dr Georges Labaki, La Présidente de la Communité Cypriote au Liban Mme Stalo Habibi et son époux, l’ex-ambassadeur Américain M. Vincent Battle, le Membre du Conseil Egyptien des Affaires Etrangères et Inspecteur principal de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique Dr Yousry Abushady, Mme. Hélène Badaro membre Fondatrice du Patrimoine National et du Comité du Festival de Baalbek, Mme Nada Zaarour- Présidente du Green Party, Lady Yvonne Cochrane Sursok, Mr. Elie Hourani, la Révérende Mère Supérieure de l’Hôpital Sacre Coeur Laurice Obeid, les Pères Capucins présidés par le Révérend Père Supérieur Elie Rahmé, Mme Mireille Fares Boueiz, Mme Vivianne Eddé, des doyens de facultés, des directeurs généraux et de nombreuses personnalités culturelles, artistiques mélomanes.
  • A la fin de la soirée, un vin d’honneur eut lieu. 
  • Émergence spirituelle
  • Encore une fois, devant l'autel de la Cathédrale Saint-Louis des pères Capucins à Bab Idriss au cœur du centre-ville de Beyrouth, la rencontre s'est répétée avec les amateurs de la musique classique, à une soirée dont le titre "Émergence spirituelle" a été choisi par la Présidente du Selecteum des arts et des sciences, Mme Dédé Hourani. Durant ce concert, le public amoureux de cette musique a été transporté par la douceur des compositions de Johann Sebastian Bach et Mozart et la performance à couper le souffle du Quatuor Musique del tempo avec l'accompagnement de la pianiste Tatiana Primak Khoury et du contrebassiste Bassem alJaber.
  • Une soirée qui s’est ouverte le mercredi soir au ciel des concerts éternels et qui a provoqué des émotions spirituelles chez le public en se rapprochant de par sa brillante performance à une prière silencieuse. Cette dernière a touché le fond de l'âme ainsi que l'esprit avec une pureté qui a rejoint le titre de la soirée fréquentée par un public tellement grand d'amoureux de la musique classique que la cathédrale battait son plein, composé d'ambassadeurs, de consuls, et de personnages culturels, sociaux et académiques.
  • Parmi les invités selects, de grands amateurs de musique classique qui attendent de telles soirées avec impatience vue leur capacité d’importer l’esprit à un monde de paix, de clame, et de sérénité, notons la présence du Député S.E.M. Edgard Maalouf et son épouse, S.E.M. Martin Huth- Ambassadeur d’Allemagne au Liban et son épouse, une délégation de l'ambassade d’Hongrie au Liban présidée par Dr. Karoly Benes-Premier Secrétaire et Député Consul des Affaires Commerciales ainsi que Dr. Peter Komlos- Consul des Affaires d’Immigration, Mme Armelle Tillmann- épouse du Conseiller Culturel de l’ambassade de France au Liban et sa fille Mlle Flore Tillmann, M. Gunnar Gabrielsen- Attaché auprès de l’ambassade de Norvège, Dr. Nabil Nassif- Président du programme Zaki Nassif pour la Musique à l'Université Américaine de Beyrouth, Mr. Elie Hourani, la Mère Supérieure de l’Hôpital Sacré-Cœur Laurice Obeid, les Pères Capucins présidés par le Révérend Père Supérieur Elie Rahmé, le Musicien de Renom M. Michel Bardon, Mme Mireille Fares Boueiz, des doyens de facultés, des directeurs généraux et de nombreuses personnalités culturelles, artistiques mélomanes.
  • Au concert "Émergence spirituelle" comme l'a voulu la Présidente du Selecteum des arts et des sciences, Mme Dédé Hourani, le public a pris rendez-vous avec un concert musical plein de vigueur en expressions spirituelles et intellectuelles et la créativité du Quatuor à incarner les mouvements musicaux malgré leur difficulté et leur versatilité.
  • Durant cette soirée, le Quatuor a commencé la rencontre musicale avec le «Cello Concerto» de l'éternel «Johann Christian Bach» avec une performance solo exceptionnelle de la celliste Anastasia Yartseva elMurr qui a ajouté du brio au concerto avec l'accompagnement des violonistes Michel elMurr et Brin Hashem et l'écho de la contrebasse de Bassem elJaber.
  • Le «Cello Concerto en C mineur» de Johann Christian Bach a revêtu sa dimension spirituelle avec toute la nervosité et la douceur de son compositeur que les musiciens ont performé avec excellence. Ainsi, le concerto est devenu une peinture musicale complète et a retrouvé les temps où il était joué en présence de son compositeur Bach connu pour sa musique colorée et ses expressions harmonieuses du début du Concerto jusqu'à la note finale de cette musique merveilleuse.
  • Du répertoire de Mozart, le génie de la musique classique, le public a été au rendez-vous avec la composition «Concerto pour piano nº20 en Ré mineur K. 466» et l’exceptionnelle performance solo de la pianiste Tatiana Primak Khoury avec l'accompagnement du Quatuor Michel El Murr et Bran Hashem au violon, Samir Amoury au viola, Anastasia Yartseva El Murr au cello et Bassem Al Jaber à la contrebasse.
  • Cette musique classique de Mozart avec tout le défi et la spontanéité quelle porte entre ses notes joyeuses et charmantes, a paru comme une musique divine avec sa dimension spirituelle. Ainsi, entre la musique de Johann Christian Bach et Mozart, le génie de la musique classique éternelle, la soirée du centre Selecteum des arts et des sciences a eu le même impact que d’habitude sur le public qui a longuement applaudi le Quatuor Musique del Tempo et ses deux merveilleuses musiciennes solistes Anastasia et Tatiana, se promettant d'autres soirées musicales qui portent un répertoire de musique classique de compositeurs éternels afin de les emporter dans le monde de la pureté spirituelle.
  • La soirée intitulée «Émergence spirituelle» où le Quatuor et ses musiciens accompagnateurs ont excellé, a été considérée par la Présidente du centre Selecteum des arts et des sciences, Mme Dédé Hourani dans son discours "comme une continuation à la mission du centre qui, depuis 2007, se dédie à la musique classique avec le Quatuor Musique del Tempo dont les musiciens sont diplômés des conservatoires les plus importants et les plus prestigieux." Elle a ajouté: Le Quatuor qui nous a présenté la soirée "Émergence spirituelle" l’a voulue spirituelle pour deux Concertos d'éternels compositeurs qui ont laissé leurs travaux pour nous inspirer des émotions pures et sincères afin de faire face à notre quotidien et surmonter nos difficultés. C'est une de ces soirées qu'on a voulu organiser pour répandre la culture de la musique classique raffinée.
  • Elle a poursuivi: «Cette soirée est l’une de plusieurs au Liban et ailleurs qui ont eu beaucoup de succès sur les scènes de grands châteaux en Russie dont le Château Kolomenskoye et le Musée d’histoire national à la Place Rouge, le Palais des Romanov, la Philharmonie de la ville de Minsk et la plus récente de ces soirées s'est tenue à l'église San Lorenzo à Rome. De la même manière que le Quatuor a excellé durant cette soirée, il a excellé dans ces endroits à jouer un répertoire de musique classique en y ajoutant un peu de musique classique orientale inspirée par la musique populaire de l'orient avec une distribution merveilleuse du violoniste Brin Hashem de telle manière que le Quatuor a été et restera le meilleur ambassadeur de la musique de nos pays et de la musique occidentale dans notre orient et notre Liban. Le Quatuor, au nom du centre Selecteum des arts et des sciences et notre message culturel, s'est imposé dans le domaine de la musique classique avec ce qu'il présente comme diversité musicale tout en défiant des compositions musicales difficiles afin de les jouer de ses mains et les faire parvenir aux oreilles des amoureux de la musique classique tellement raffinée.
  • Mme Dédé Hourani a conclu en disant: «c'est pour cela qu'on a pris rendez-vous durant cette soirée où nous avons été avec les talents exceptionnels et la performance avec brio d'Anastasia Yartseva El Murr au cello dans la composition de Johann Christian Bach et la pianiste Tatiana Primak Khoury, excellente au piano dans la composition de Mozart et cette complémentarité musicale avec le Quatuor et le joueur de contrebasse Bassem El Jaber et beaucoup d'autres soirées qui colorent certaines pages de notre agenda quotidien d’élévation musicale. 
  • Basilica di San Lorenzo
  • Johannes Brahms (1833 - 1897)
  • Piano Quartet in C minor, op.60
  • Allegro ma non troppo
  • Scherzo: Allegro Andante
  • Finale: Allegro comodo
  • Robert Schumann (1810 - 1856)
  • Piano Quartet, op.47
  • Sostenuto assai: allegro ma non troppo
  • Scherzo: molto vivace Andante cantabile
  • Finale: Vivace
  • Michel El Murr, violin
  • Samir Amoori, viola
  • Anastasia Yartseva, violoncello
  • Maria Tretyakova, piano
  • The Papal Basilica of Saint Lawrence outside the Walls (Italian: Basilica Papale di San Lorenzo fuori le Mura) is a Roman Catholic Papal minor basilica and parish church, located in Rome, Italy. The Basilica is one of the Seven Pilgrim Churches of Rome and one of the five former "patriarchal basilicas", each of which was assigned to the care of a Latin Church patriarchate. The Basilica was assigned to the Patriarchate of Jerusalem. The Basilica is the shrine of the tomb of its namesake, Saint Lawrence (sometimes spelled "Laurence"), one of the first seven deacons of Rome who was martyred in 258. Many other saints and Pope Pius IX are also buried at the Basilica, which is the center of a large and ancient burial complex.
  • Le Voci del Tempo
  • A concert entitled “Le Voci del Tempo” brought together the singers Nadine Nassar, Marc Reaidi, Galina Khaldeeva and Maxime Chami and the musicians of the “Quatuor del Tempo” revealing majestic and familiar voices, like no other voices than the ones that have been rocking forever these breaths made to give a soul to the most noble of classical music composers such as Witold Lutosławski, whose centenary we are celebrating, Chopin, Tchaikovsky, Rachmaninoff, Gluck, Bizet, Rossini, Rozycki, Cilea, Puccini, Saint-Saens, Glina… All these voices were amazing, as if they were made to address stars and gods, above the heads of human beings, and especially the voices of the soprano Nadine Nassar, the tenor Marc Reaidi, the mezzo-soprano Galina Khaldeeva and the baritone Maxime Chami, accompanying with gestures the emotions of the texts and their wonderments. These are undoubtedly sublime voices complemented by the musicians of the “Quatuor Musique del Tempo” whose skills and virtuosity gave them the privilege to perform at the prestigious Historical Museum of Moscow where they were invited to give a concert, choosing from the repertoire the sublime “Octet” of Mendelssohn to interpret with five musicians of the Philharmonic of Moscow. Hence, they re-evaluated their success with their astonishing virtuosity and beauty of the sound that is deserved when they alone can seduce the public at the same level.
  • They came back to Lebanon after this divine concert to accompany and enjoy the sublime and exceptional voices of the singers who eagerly waited for them. For such artists, singing, making sounds that are beautiful at the service of beautiful words as well, is the most real “incarnation”.
  • The miracle of singing is not that it brings the applause afterwards, but it is that it inspires silence during the performance of the audience who becomes serious and absolutely immersed in really listening, hearing and understanding in detail, rigor and depth, the exactness and the beauty; It is something different to the eyes of the history of our Lebanon to have trained these voices and the best compliment that we can give them for their rarest skills is “Blessed singers”…
  • Among the select guests, devotees of the great classical music who expect such remarkable evenings due to their ability to import the spirit to a world of peace, of calm and serenity, we note the presence of the Deputy M. Edgard Maalouf and his wife, H.E. Mrs. Georgina Mallat Ambassador of Colombia to the Lebanon and her husband Dr. Hiam Mallat, a delegation of the Polish Community in Lebanon presided by H.E. Mr. Wojciech Bozek Ambassador of Poland and his wife, Mrs. Gabriela Piotrowska Polish Vice Consul, Ms. Barbara Kilar-Styczen Third Secretary at the Embassy of Poland, Mr. Yoonho Kim Cultural and Economic Attaché at the Embassy of South Korea and his wife, Mr. Oleg Menshov Counselor at the Embassy of Russia and his wife, a delegation of the Embassy of Germany in Lebanon presided by the Political Attaché M. Kristof Wachter and his wife Mrs. Petra Wachter, Mrs. Maria Younes Cultural Attaché at the Embassy of Argentina, a delegation of Turkish Cultural Centre presided by Director Mr. Gengis Eroglu, Mrs. Hélène Badaro President of the archaeological at AUB Museum and member of the Baalbeck Festival, Mr. Elie Hourani, the Reverend Mother Superior Laurice Obeid president of Sacré-Coeur hospital, the Capuchin Fathers presided by Reverend Father superior Abdallah Noufaili, deans of faculties, General Directors, medical pros, cultural personalities and artistic music lovers.
  • The concert was followed by a reception at the polyvalent hall of the Cathedral. 
  • State Historical Museum
  • «Selecteum des Arts et des Sciences» presents «Quatuor Musique del Tempo» in concert at the « State Historical Museum » at the Red Square – Moscow, Russia
  • The «Quatuor Musique del Tempo» has once again become part of a new legend of a different kind of success outside their country and their home that is «Selecteum des Arts et des Sciences» which simply gave their career international fame that also offered them the opportunity to play at the «Historical Museum of Moscow» where all kinds of celebrities who were an audience of elite music lovers to whom music is a religion that should be honored, were invited.
  • Bruch's Octet in B flat major, one of his last works, was written in January and February 1920, seven months before the composer's death, and apparently a reworking of a recently composed string quintet. It is seemingly modelled on Mendelssohn's Octet, although the later substitution of a double bass for the second cello made the work into a possible item in string orchestra repertoire, described then as Concerto for String Orchestra. The Octet was played to the composer by the violinist Willy Hess and his pupils. The tranquil principal theme of the opening Allegro moderato is entrusted to the first viola, continued by the first violin and leading to a second subject of more forceful contour. The central development of these broadly sonata-form movement returns at first to the mood of the opening, with other earlier material explored before a suggested return of the first theme, postponed until its final return in a more grandiose form, after a unison climax, as in Mendelssohn's Octet. The slow movement almost seems to recall Schumann's Piano Quintet in the sinister suggestion of its E flat minor opening, before the entry of the first violin with the principal theme of the movement. The secondary thematic material, in B major and marked Andante con molto di moto, is introduced by the first violin with an accompaniment that includes the plucked notes of the first cello. The original key and theme returns with the first and third violins in octaves over a more elaborate accompaniment, and after a brief transitional passage in B major the second theme returns, now in E flat major, bringing the movement to a serene end. The ominous opening of the last movement is soon contradicted at the entry of the first violin. There is contrast of mood and key in what follows, with an effectively lyrical secondary theme introduced by the first cello, aided by the second viola, later to return in the appropriate final key in a movement that in other respects has something of Mendelssohn's perpetual motion and lightness of texture about it.
  • The musicians of the Quartet as well as the ones of the «Akadem Quartet» of the Moscow Philharmonic excelled in their performance that was so rich in texture in their extremely experienced and confident orchestration, where Michel El Murr, Leonid Polyakov, Anna Yanovskaya and Ekaterina Gorelova played the violin, Samir Amouri and Vasily Danilets, the viola, and Anastasia Yartseva and Mikhail Lebedev, the cello. They knew how to integrate their virtuosity to conduct such a difficult colossal work of Mendelssohn that is his sublime octet with its subtleties and whose music, more than any other artistic form has certainly made wonders. Even if no other chamber music piece of Mendelssohn has ever surpassed it, this octet is the outcome of intense work in the last four years during which Mendelssohn composed a piano quartet and twelve string symphonies. However, his unique octet is a piece whose language is definitely that of chamber music and for that reason, it captured the musicians of the «Quatuor Musique del Tempo» because it is remarkable with its melody and its brilliance like for example: the first movement dominated by the rich main theme that immediately established a fiery and passionate atmosphere of the music. A powerful fortissimo marked the climax of the development followed by an extremely diversified recapitulation.
  • The andante that is nothing but a ternary form starts and ends with a joyful melody in the Sicilian rhythm with an intermediary section whereas the inspiration for the scherzo came from a verse of Goethe’s “Faust”: “Trailing clouds and veils of fog are melting into air. A breeze in the leaves and wind in the reeds and everything dissolves.” The movement, played pianissimo and staccato from beginning to end is a form of very structured sonata. It is the archetype of the bewitching music of Mendelssohn, the exuberant finale partly has a texture of fugue and includes passages where the eight independent parts play simultaneously.
  • The model of Mendelssohn might have been the finale of the symphony “Jupiter” of Mozart but we also find in it more than an echo of the Messiah of Handel and a reference to the Scherzo theme.
  • The State Historical Museum
  • The imposing building that stands to your right if you enter Red Square through the Resurrection Gate is the State Historical Museum. The museum was opened in 1894, to mark the coronation of Aleksander III, and was the result of a 20-year-long project to consolidate various archaeological and anthropological collections into a single museum that told the story of the history of Russia according to the latest scientific methodology.
  • The building, which prompts mixed aesthetic reactions, is undeniably impressive. A mass of jagged towers and cornices, it is a typical example of Russian Revivalism, the Eastern equivalent of the Neo-Gothic movement. It was built by architect Vladimir Sherwood (whose father was an English engineer, hence the very un-Russian surname) on the site of the old Pharmacy Building, which was the original home of the Moscow University.
  • The museum holds a supremely rich collection of artifacts that tell the history of the Russian lands from the Paleolithic period to the present day. Each hall of the museum is designed to correspond to the era from which the exhibits are taken. The wide variety of the ancient cultures that developed on the territory of modern Russia is well represented, with highlights including Scythian gold figures, funerary masks from the Altai and the Turmanskiy Sarcophagus, a unique mixture of Hellenic architecture and Chinese decoration.
  • Later displays focus on the history of Russia's rulers, with a number of historical paintings, court costumes, thrones and Carlo Rastrelli's silver death mask of Peter the Great. Many of the museum's halls are still closed for restoration work, but the museum is still well worth visiting, and makes for an excellent introduction to the history of Russia. Unfortunately, the exhibits are not labeled in English, although there are English-language guide books and videos available in the lobby.
  • The building also contains a restaurant, Red Square No. 1, and the Red Square Jazz Cafs. You can either see this as unchecked commercialism, or as a tribute to the inn that used to stand here, and was frequented by Peter the Great.
  • Résonance Sacrée
  • La «résonance sacrée», un concert organisé par Selecteum des Arts et des Sciences par le biais de la musique, Wissam Boustany, le joueur de flûte, lance un appel humanitaire.
  • De la Cathédrale Saint Louis des Pères Capucins, au centre-ville de Beyrouth s’est émané une mélodie pure, un chant classique qui interrompu le silence de la nuit et le calme des esprits.
  • Une atmosphère sacrée qui touche l’âme a gagné l’autel de la Cathédrale. Des mélodies éternelles se sont élevées, comme si elles faisaient parvenir les prières des croyants au crucifié, provenant du joueur de flûte au don brillant Wissam Boustany, accompagné par la pianiste Tatiana Primak Khoury, le contrebassiste Zaher el-Sebaaly, et la musique spirituelle du quatuor du centre «Quatuor Musique del Tempo».
  • Cette soirée musicale, alliant performance et grâce, intitulée «la résonance sacrée» a été inaugurée par Mme. Dédé Hourani, présidente du Selecteum des Arts et des Sciences.
  • Cet évènement a transmis un message de sérénité à travers la mélodie spirituelle du Quatuor du centre qui a parfaitement interprété les œuvres musicales. Parmi les invités selects, des grands amateurs de musique classique qui attendent de telles soirées avec impatience vue leur capacité d’importer l’esprit à un monde de paix, de clame, et de sérénité, notons la présence de S.E.M. Richard Johns- Ambassadeur d' Amérique au Liban, S.E.M. Wojciech Bozek- Ambassadeur de Pologne et son épouse, S.E.M. Jiang Jiang- Ambassadeur de Chine, M. Wang Xiaozhou- Conseiller à l'Ambassade de Chine, Mme He Jing- Attaché Politique à l'ambassade de Chine, M. Zhang Di- Attaché Politique à l'ambassade de Chine, M. Doosoon Park- Chargé d'Affaires à l'ambassade de Corée du Sud et son épouse, M. Oleg Menshov- Conseiller à l'ambassade de Russie et son épouse, M. Dimitri Pastukhov- 3ème Secrétaire à l'ambassade de Russie et son épouse, une délégation de l'ambassade d'Allemagne au Liban présidée par Mme Miriam Massmann, représentante de l'ambassade de Hollande, Mme Hélène Badaro- Présidente du Musée Archéologique à l'AUB et membre du Festival de Baalbeck, Dr. Nabil Nassif- Président du programme Zaki Nassif pour la Musique à l'Université Américaine de Beyrouth, Mr. Elie Hourani, les Pères Capucins présidés par le Révérend Père Supérieur Abdallah Noufaili, des doyens de facultés, des directeurs généraux et de nombreuses personnalités culturelles, artistiques mélomanes.
  • Le concert était tel une résonance sacrée des voix spirituelles dans un monde devenu malheureusement éloigné du sens de la spiritualité, tel des voix de l’âme dialoguant merveilleusement à travers un répertoire bien choisis (Bach, Mozart, Georges Bizet). Au programme aussi, un morceau de musique intitulé «Broken Child», composé et interprété par le flûtiste Wissam Boustany, réputé pour son sens de l’humanité, d’une manière à transmettre son message humanitaire à travers une mélodie de paix en ce temps de guerre.
  • Le programme du concert a pu emporter l’audience dans un envoûtement total et qui a eu l’habitude d’assister aux concerts des musiciens du Quatuor du centre de renommée internationale et qui ont joué sur des plates-formes mondiales; comme l’ancien palace des Romanov situé dans le domaine impérial de Kolomenskoye à Moscou, ainsi qu’au théâtre de l’orchestre Philharmonique de Minsk, et durant la prochaine saison printemps-été ils vont jouer à l’université de Californie et à la place rouge préférée par le président russe Vladimir Putin, ainsi au centre culturel de la musique classique à Naples.
  • Pour à peu près d’une heure, les musiciens doués de formation riches et différentes se sont réunis par la musique pleine de majesté de Johann Sébastian Bach (Flute Concerto en E mineur BWV1059/35) et Wolfgang Amadeus Mozart (Piano concerto nº21 en C majeur), interprétée avec beaucoup de virtuosité et de sensibilité inouïe par Brin Hashim et Michel el-Murr (violon), Samir Amouri (viola), Anastasia Yartseva el-Murr (violoncelle), Zaher el-Sebaaly (contrebasse), Wissam Boustani (flûte), et Tatiana Primak Khoury (piano).
  • Une atmosphère spirituelle et sereine qui touche l’âme a envahi la cathédrale par la musique éternelle de Bach et Mozart, avant que Wissam Boustani accompagné par la pianiste Tatiana Primak Khoury emporte l’audience dans un moment de peine par un cri musicale intitulé « Broken Child » qui incarne la douleur des enfants souffrant à cause des guerres et de la discrimination. Enfin, le Quatuor a joué le morceau « Carmen Fantasy for flute and string quartet” de George Bizet.
  • La soirée comprenait aussi le discours de la présidente du centre Selecteum des Arts et des Sciences, Mme Dédé Hourani qui a considéré que le Liban, tout comme le monde entier, a besoin d’une résonance sacrée et spirituelle qui remplacera les cris et les dégâts des guerres, pour que le peuple puisse réjouir de la paix et de la sécurité. Ensuite, elle a remercié les musiciens et a salué leur performance sublime, sans oublier de souligner la valeur ajoutée de la performance du joueur de flûte Wissam Boustani qui a ensorcelé l’audience avec son instrument et son souffle magique, ainsi que la performance de la pianiste Tatiana Primak Khoury, et du Quatuor du centre qui a ajouté sa touche sacrée sur les deux morceaux de musique.
  • En outre, Mme Hourani a mis l’accent sur les deux œuvres interprétées durant la soirée, vu qu’elles reflètent l’approfondissement dans l’art de la musique classique. Elle a aussi insisté sur le fait que Bach est sans aucun doute un musicien de génie, un musicien éternel, puisqu’il résume et réunis les efforts et découvertes musicales de deux siècles, et puisqu’ il a ouvert grandement toutes les portes et a développé les normes et le langage musical, formant ainsi une école qui a était suivi par une multitude de compositeurs et musiciens comme Haydn, Mozart, Beethoven et Chopin qui lui considérait comme le seul maitre.
  • Mme Hourani s’est arrêtée aussi sur l’œuvre musicale de Mozart «Piano concerto nº21», en insistant qu’elle met en évidence la capacité de Mozart à composer des symphonies sacrées vue le mélange de différentes mélodies, tantôt émotionnelles, et tantôt agitées. Pour conclure, Mme Hourani a ajouté, que la performance des musiciens a encore embelli les deux morceaux musicaux par leur créativité et leur touche faisant de cette soirée une résonance sacrée.
  • A la suite du concert, un vin d’honneur fut offert dans la Salle polyvalente de la cathédrale.
  • L’Echo des Anges
  • Comme d’habitude les inconditionnels fidèles de la musique classique étaient présents au rendez-vous du concert de cette saison dont le thème «l’Echo des Anges» nous offre une multitude de voix angéliques; et si l’émotion se marque sur les visages des mélomanes c’est non seulement que la haute performance y est, mais surtout des chanteurs aux dons éclatants, y ont mis toute leur âme dont la nature, les a parés. Or en Nadine Nassar, Corinne Metni, Eliane Saadeh, Mirna Chaker et Marc Reaidi, le chant allait de soi, naturel: des timbres somptueux, une facilité vocale remarquable et des timbres d’argent qui nous touchent de près grâce à leur formidable exécution.
  • Et ces anges, sur scène pouvaient nous emporter dans un autre monde de spiritualité, de beauté. Nous sommes fiers, de ces chanteurs libanais à la remarquable virtuosité et à la sensibilité incomparable.
  • Rendons justice aussi au «Quatuor Musqiue del Tempo» et ses musiciens, Brin Hashim, Michel El Murr, Samir Amoori et Anastasia Yartseva EL Murr, dont la virtuosité exquise a ravi le public, qui lui a porté une attention extrême et l’a écouté avec beaucoup de plaisir, et même il faudrait dire, sans doute: Noblesse… comme tout ce qui est noble, il ennoblit tout ce qu’il touche et nos oreilles mêmes en ont été ennoblies.
  • Une occasion aussi d’admirer la pianiste Dolcy Lawoun et le contrebassiste Zahir EL Sebaaly venus les accompagner et qui ont su être fluides et dont la rigueur de la performance nous a étonné : au programme des extraits de Puccini, Vivaldi, Villa-Lobos, Fauré, Mascagni, Lehár, Händel, Franck, Mozart, Bizet, Tchaïkovski, Caccini, Piccinni, Ervin Drake, Franz Gruber et Adolph Adam…
  • Tercentenary of Carl Philip Emanuel Bach
  • Le Selecteum des Arts et des Sciences organise une soirée à l’Université américaine avec ses invités, le joueur de flûte international, Wissam Boustany et le Bolchoï
  • Pour célébrer le troisième centenaire de la naissance du compositeur de musique classique Carl Philip Emanuel Bach, le Selecteum des Arts et des Sciences a organisé en coopération avec l’Université américaine de Beyrouth, le jeudi, une soirée musicale dans la salle de l’Assembly Hall intitulée “Le troisième centenaire de Carl Philip Emanuel Bach” animée par le “Quatuor Musique del Tempo” avec la participation de ses invités, le joueur de flûte international libanais, Wissam Boustany, des musiciens du théâtre Bolchoï de Russie et la pianiste Tatiana Primak Khoury.
  • Un grand nombre d’invités ont été présents à la soirée dont des diplomates, des attachés culturels, des intellectuels et le public de la musique classique précédé par S.E.M. Jiang Jiang, Ambassadeur de Chine, M. Jiang Zu Yang- Conseiller Politique- Ambassade de Chine, M. Jiang De- Attaché Politique à l’Ambassade de Chine, S.E.M. Martin Huth, Ambassadeur d'Allemagne et son épouse, M. Dimitri Pastukhov, Troisième Secrétaire à l'ambassade de Russie et son épouse, L'Ex- Ministre S.E.M. Georges Corm et son épouse, l’historien international Professeur Cecil Hourani qui est venu spécialement de Londres avec sa fille Mme. Zalfa Hourani Keans, Dr. Nabil Nassif, Président du Programme Zaki Nassif pour la Musique à l'Université Américaine de Beyrouth, Mme Hélène Badaro, Membre Fondateur du Sauvegarde du Patrimoine au Musée National et un grand nombre de doyens et d’enseignants.
  • Durant l’évènement, les musiciens ont joué des compositions choisies du répertoire de Mozart, Gabriel Fauré, le célèbre Carl Philipp Emanuel Bach, Johann Sébastian Bach et Willibald Gluck, et une performance merveilleuse et spéciale s’est tenue entre les musiciens du quatuor et leurs invités du Bolchoï, accompagnée de temps en temps des mélodies humanitaires de la flûte du musicien Wissam Boustany en lui laissant en d’autres temps l’espace libre pour faire sa prière et ses rituels musicaux, insufflant dans sa flûte un peu de son souffle afin d’ajouter aux compositions choisies et à la soirée une spiritualité qui s’émane de la mélodie et se faufile ensuite dans le silence du public qui écoute, transporté par la méditation.
  • La flûte de Wissam Boustany qui a joué sa prière durant cette soirée a été encore plus prestigieuse accompagnée par la performance russe des musiciens du théâtre Bolchoï qui ont formé un tableau musical complet avec les violonistes du Quatuor Brin Hashim et Michel el-Murr, l’altiste Samir Amouri, la violoncelliste Anastasia Yartseva el-Murr et la pianiste Tatiana Primak Khoury, qui a transporté le public à la pureté du moment soulignée par les cordes des mélodies classiques de l’époque de la Renaissance européenne durant laquelle les compositeurs ont écrit leur nom dans le livre de l’immortalité.
  • Une soirée spéciale comme d’habitude présentée par le Selecteum des Arts et des Sciences à travers ses musiciens invités qui sont venus spécialement pour l’évènement afin de créer un bel espace de rencontre entre la flûte signée Boustany, l’esprit du quatuor et les musiciens du théâtre Bolchoï avec tout ce qu’ils représentent dans l’histoire artistique. Tous se sont retrouvés dans la salle de l’Assembly Hall durant une soirée dont l’écho des rythmes va résonner pendant longtemps ainsi que l’acclamation du public qui est parti après s’être imprégné du parfum de la musique et de la performance envoûtante.
  • Le discours d’ouverture de la soirée avait été prononcé par la Présidente du Centre Selecteum des Arts et des Sciences, Dédé Hourani qui a dit que « cette soirée où le quatuor a joué la musique classique avec ses invités, celles qui l’ont précédée et celles qui vont suivre font partie du programme du centre et de son message culturel pour contribuer à faire connaître aux nouvelles générations tout ce qui est beau en ce monde ». Après avoir mentionné la coopération de l’Université américaine dans l’organisation de ces soirées dans son campus, Dédé Hourani a mis l’invitation de musiciens internationaux par le centre et le quatuor dans « le cadre de l’échange musical qui enrichit et qui donne plus de valeur à la diversité
  • Coup d’œil sur une carrière brillante où se rencontrent le génie et la créativité…
  • C’est la carrière d’un musicien… dont la musique restera un exemple à suivre. Un musicien à qui l’on dit: « Tu dois jouer et nous, nous devons écouter ta musique qui est le symbole de la musique raffinée et un plaisir pour l’âme et l’esprit qui regroupe ses amateurs quand tu réponds à leur appel, les faisant fondre de passion devant sa beauté et s’envoler dans leur imagination aux jardins de la paix intérieure, afin d’avoir une communication profonde avec elle et ses sens les plus nobles et importants. Ainsi, ils se rendent compte de la beauté de la musique de la vie à travers un excellent musicien qui avec son grand cœur répond à notre envie de sa musique. Alors, nous revenons à la réalité de le rencontrer sur le même chemin de l’humanité et de la manière qu’il la voit, lui qui garde le secret et nous qui le dévoilons… Il s’agit de sa philosophie de l’humanité basée sur le concept de donner inconditionnellement qui caractérise sa personnalité unique c.à.d. l’équilibre entre l’obligation humaine et la reconnaissance des souffrances des autres ou la compassion envers l’autre dans tous les coins du monde, ce qui est le meilleur exemple pour tout être humain qui aimerait consacrer une grande partie de son temps, à travers son travail en tant que musicien ou artiste international, à sauver une vie humaine en cas de besoin.
  • C’est une personne à l’âme qui aspire aux grandeurs et qui fait du bien aux autres à travers son travail artistique couronné de succès, l’envoyant avec la brise de chaque soir calme lorsqu’il est temps d’écouter la musique que Dieu l’a inspiré et qu’Il chante par la suite avec ses anges en toute joie…
  • Avec une modestie sans pareil, il reçoit des prix qui le décorent des plus belles choses dont sa quête vers le chemin de l’humanité qui lui est reconnaissante parce qu’en sa présence, elle a beaucoup de chance puisqu’il lui a promis de lui être fidèle étant donné qu’il vient des entrailles de cette terre dont il s’est enrichi en acquérant un niveau élevé d’éducation, de musique, de valeur humaines et morales tel qu’un chevalier inconnu!!! C’est pour cela que l’on écrit pour reconnaître son nom «Wissam Boustany » qu’il mérite comme une Légion d’honneur avec des lettres en or dans cette vie qu’il a aimée pour l’amour des autres.
  • En effet, il soutient tous ceux qui ont besoin de lui étant donné que l’instinct humanitaire dont il regorge le pousse à aider les autres et faire parvenir la noble mission humanitaire dont il est digne… Il apporte sa musique, ses connaissances et ses expériences qu’il maîtrise avec ses sentiments, son cœur et ses capacités en jouant de sa flûte entre les mains comme s’il appartenait à la catégorie des anges et pourquoi pas puisque la flûte est l’instrument préféré des deux comme si elle était un trésor qu’ils lui ont confié pour qu’il la préserve et en prenne soin, dédiant son temps à la jouer, ce qui prouve la proximité de sa musique au ciel.
  • Il est très généreux envers ses élèves qui l’aiment et le respectent et il sacrifie son temps et parcourt de longues distances pour communiquer avec eux. Il les réconforte de sa présence et poursuit ainsi le rythme de la vie qui retrouve ses divers cours à travers un talent et un génie musicaux sans pareils. Tout cela avec un enthousiasme et une grandeur d’âme qui se sont bien intégrés dans sa carrière et son talent exceptionnel. Il vient à eux avec tout un tas de conseils éclairants et pleins de lumière grâce à la capacité que Dieu lui a donnée: le génie.
  • Wissam Boustany est celui qui, à travers sa musique est sorti de l’ombre à la lumière de la vérité, celle de l’existence qui l’a rempli d’encore plus de lumière jusqu’à ce que le cœur batte de joie. C’est comme ça qu’il entend l’humanité qui est un concept aussi raffiné que sa musique, puisqu’il fait de son mieux afin de sauver celui qui est dans le besoin, utilisant ses talents artistiques et leur riche produit pour l’aider et le soutenir. Il est conscient des blessures pour les guérir avec une musique curative au rythme merveilleux pour une humanité qui a eu marre de la tristesse ou de l’indigence. Il a connu ses difficultés et peines et sauver l’individu est devenu un thème récurrent dans ses rêves afin de lui tendre la main pour qu’il retrouve sa vitalité et son sourire, dédiant une grande partie de sa vie à faire de son mieux pour sauver celui qui est dans le besoin peu importe sa religion, son secte ou sa race, tous les hommes sont des frères en humanité. A travers sa musique qui le reflète, il lève les yeux vers le ciel pour remercier Dieu qui le rend sauveur comme ses anges qui éloignent les fléaux et la misère d’innombrables gens. Ceci est dû à ses grands talents qui impliquent beaucoup de perspicacité et de connaissance de leur situation qui s’éclaire pour qu’à leur tour ils se purifient quand il répond à leur appel pour les aider à guérir leurs blessures jusqu’à ce son cœur batte de joie à chaque fois qu’il termine un travail… Si les jours choisissent des mots de gloire pour exprimer la beauté de son travail, ils ne parviendront pas à les prononcer après toute la carrière qu’il a eue et pour laquelle le soleil brille et la vie bat son plein d’amour dans son cœur. La preuve absolue de tout cela réside dans sa musique. Les talents de Wissam Boustany sont nombreux et leur caractéristique est qu’ils œuvrent pour le service de l’humanité avec tout ce qu’il y a d’art raffiné, d’éducation, de connaissances, de valeurs humaines et morales rares puisqu’il est l’exemple à suivre.
  • Sa boussole est sa foi à chaque fois qu’il rencontre une difficulté… Elle lui donne de la force comme si à travers sa musique il disait à Dieu : « Tu as créé la vie alors aide-moi à redonner à tout individu sur terre une vie décente quand on me demande de le soutenir. Il est clément envers l’humanité et toutes les créatures à travers sa musique qui abrite la lumière du jour et le scintillement des étoiles puisqu’il la joue de tout son cœur et son âme pour une humanité souffrante dans ces temps difficiles qui l’ont mûri. Il a pris tous les chemins ardus et fait tous les efforts pour parvenir à son but noble afin de donner un brin d’espoir à l’humanité à travers l’esprit de sa musique et la beauté de ses rythmes pleins de foi et d’amour établis dans son cœur, qu’il s’est consacré à nourrir de lumière spirituelle et de souligner son ère de notes angéliques pour qu’elle vive en paix.
  • Il n’a jamais perdu l’espoir après toutes les misères qu’il a découvertes dans ce monde parce que sa fierté ne lui permet pas de renoncer puisque l’espoir fait partie de sa structure intellectuelle. Il n’a jamais perdu l’espoir car il est de ceux qui croient au destin en ce monde et il fait partie des passagers de son bateau qui part dans le vaste espace avec une musique à laquelle il s’est conformé et qu’il a maîtrisée. C’est un voyage qui le lance vers le ciel à partir de l’éclat de sa vision, de ses émotions humaines, de ses pensées et sentiments suprêmes afin de parvenir aux sommets avec sa présence particulière et l’unique beauté du rythme de sa musique, tout en aspirant constamment aux hauteurs qu’il a fini par atteindre. Il n’a jamais perdu l’espoir parce qu’il a voulu traduire les sens de la beauté et de l’humanité avec un cœur tenace à travers sa merveilleuse musique et les fruits qu’elle a portés parce qu’elle était son vœu le plus cher. Il a toujours été soucieux d’elle autant qu’à sa contribution à servir l’humanité.
  • Le voilà qui vient d’acquérir un statut prestigieux à travers sa dimension humaine qui s’est ajoutée à son registre de par sa musique qui était sa motivation principale pour réaliser son but et atteindre les sommets du succès et nous sommes vraiment fiers de lui.
  • Oriental Night
  • «Philharmonie d'Etat biélorusse» et «Selecteum des Arts et des Sciences» ont présenté le «Quatuor Musique del Tempo» dans «Oriental night» à la petite salle du «Belarus State Philharmonia» à Minsk.
  • Une première pour le Liban.
  • Les musiciens du «Quatuor Musique del Tempo» en unisson avec les musiciens de la Philharmonie de Minsk, se sont produits dans la capitale de Bélarusse.
  • Une autre réussite après celle du concert qui a eu lieu au Palace des Romanov à Moscou, nos musiciens qui ont mis tout leur prestige à faire connaître et aimer les œuvres de nos compositeurs comme Zaki Nassif et autres… et ils ont relevé le défi en jouant sublimement.
  • Et être capable encore de deux autres prouesses l’une avec les virtuoses solistes de Bolchoï et l’autre avec ceux de Minsk, c’est être au-dessus de la prouesse même, puisqu’ils ont mis le public dans un état d’exaltation extrême imprévisibles dans cette salle. Le répertoire fut choisi savamment par Mme. Dédé Hourani, présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences» avec l’approbation des musiciens du «Quatuor Musique del Tempo».
  • La particularité du programme était l’amalgame entre musique classique à savoir Schubert et son superbe «Arpeggione» performé par la celliste Anastasia Yartseva El Murr, à côté des compositeurs à caractère oriental comme Zaki Nassif, Salvador Arnita, Baligh Hamdi, Abdel Wahab, Said Darwish et d'autres chansons folkloriques réarrangées par nos musiciens d'une manière distincte, qui ont charmé le public, que parmi assistait le consul Libanais à Minsk Mr. Guevara Slim et son épouse, le consul des Pays-Bas à Minsk Mr. Alexander Vinokurov et son épouse, le Directeur Général de Fransabank à Minsk Mr. Alexander Ignatov, des musiciens et des professeurs de la Philharmonie à Bélarusse et des artistes du « Belarusian State Ensemble of Folk Music "Sviata", et toute une audience de mélomanes et des gens de lettres.
  • L’interprétation quant à elle, a été chaudement applaudie par une audience hautement mélomane qui a su apprécié à sa juste valeur le corps musical qui visait intensément la musique, ce qui a donné à une exécution de haute voltige. Il est à noter que ce fut un tour de prouesse aussi pour les musiciens de Minsk de s’imprégner de l’âme orientale relative aux morceaux interprétés. Il est important de noter aussi que la philharmonie de Minsk une des plus prestigieuses du monde, a ouvert ses portes pour la première fois à des musiciens Libanais en l’occurrence le «Quatuor Musique del Tempo», les invitant à côtoyer leurs musiciens, parmi lesquels Daria Montvolinskaya au piano, Roman Firstof au hautbois, Svetlana Golubovskaya à l’Alto et Pavel Sidorenko au contrebasse.
  • C’est dans ce cadre que le violoniste compositeur du Quatuor «Brin» a redistribué les quelques œuvres orientales interprétées. Ce fut une véritable réussite car les musiciens de la philharmonie de Minsk, ont su capter l’esprit oriental de cette musique et l’exécuter avec Brio.
  • Le succès fut tel et les applaudissements tellement nourris et ininterrompus, que le directeur a exigé de l’ensemble de rejouer plusieurs passages pour satisfaire l’audience. 
  • Celebrating a Centennial
  • "Selecteum des Arts et des Sciences" rend hommage au Président de l’Université Américaine, Professeur Fadlo Khoury, durant une soirée musicale.
  • À l’occasion de l’élection du Professeur Fadlo Khoury à la tête du conseil d’administration de l’Université Américaine de Beyrouth, "Selecteum des Arts et des Sciences" a organisé, conjointement avec "le Programme Zaki Nassif pour la Musique", une soirée de musique classique le jeudi soir 1 Octobre à l’'Assembly Hall' de l’Université Américaine de Beyrouth.
  • Cette Soirée musicale a été animée par "Quatuor Musique del Tempo" accompagné par la pianiste Tatiana Primak-Khoury, la joueuse de violoncelle Anastasia Yartseva al Mur, la Soprano Corinne Metni, et le joueur de Contrebasse Oleg Samoylov venu spécialement de Moscou pour assister au spectacle. Durant cette soirée, la présidente du centre culturel "Selecteum des Arts et des Sciences" Mme. Dédé Hourani a voulu rendre hommage au Professeur Fadlo Khoury qui, par ses accomplissements universels, joue un rôle précurseur au niveau médical, éducatif et académique.
  • Des invités exceptionnels ont participé à cette soirée féerique, y inclut des ambassadeurs, consuls, attachés culturels, intellectuels, et célébrités amateurs de musique classique, à leur tête le président de l’université Américaine Professeur Fadlo Khoury, président de l’université Libano-Américaine Dr. Joseph Jabra, présidente de l’ALUMNI à l’université Américaine de Beyrouth Mme. Wafa Saab, président de «Zaki Nassif Program for Music à l’AUB» Dr. Nabil Nassif, président du Club Sportif Mr. Hicham Jaroudi, S.E.M. l’ex-ministre Hassan Diab, S.E.M. l’ambassadeur Khalil Mekkaoui, le Conseiller de l’ambassade de Russie Mr. Oleg Menshov et son épouse, le Membre Fondateur du Sauvegarde du Patrimoine au Musée National Mme Helene Badaro, présidente de l’APSAD Mme. Raya Daouk et un grand nombre de doyens et d’enseignants.
  • La soirée fut marquée par une musique merveilleuse interprétée par "Quatuor Musique del Tempo". En effet, des morceaux choisis du répertoire de Johann Sébastian Bach, Joseph Haydn, César Franck, Zaki Nassif, Toufic al Bacha, et Salvador Arnita ont été joués et interprétés avec un style oriental redistribué par le violoniste Brin Hashim.
  • Les participants se sont transportés par la musique de l’orchestre et le piano joué par Primak lors de cette soirée dédiée aussi à rendre hommage à Zaki Nassif à l'occasion du premier centenaire de sa naissance. C’était un véritable spectacle de musique classique qui a associé à merveille les notes des cordes de Bran Hashim, Michel al Mur, et Samir Amouri avec la mélodie du violoncelle d’Anastasia Yartseva El Mur et de la contrebasse d’Oleg Samoylov, faisant de ces rythmes une soirée inoubliable durant laquelle la voix de l’éblouissante soprano Corinne Metni a brisé le silence des bouches-bé et a épaté l’auditoire.
  • À côté de cette remarquable prestation de l’orchestre, de la pianiste, et de la Soprano, qui a reçu une salve d'applaudissements, la présidente de 'Selecteum des Arts et des Sciences'
  • Mme Dédé Hourani a rendu hommage au Professeur Fadlo par le discours ci-dessous :
  • «Il convient aujourd’hui de rendre hommage au Professeur Fadlo Khoury, cette personne éminente qui offre des garanties de prospérité pour L’Université Américaine, et grâce à qui l'avenir s'annonce prometteur pour cette institution réputée et pour notre très cher pays.
  • Originaire de Marjeyoun, Professeur Fadlo Khoury est le fils d’une famille de renommée qui transmet la distinction par héritage comme une tradition ancrée dans la culture et l’histoire.
  • Tout jeune, il a été élevé de sorte qu'il devienne une personne éminente, généreuse, dévouée, et déterminée, surtout qu’il est le petit-fils de Fadlo Hourani et qu’il a fait preuve d’avoir hérité de lui les valeurs les plus précieuses; la résidence de Fadlo Hourani à Londres a toujours accueilli ceux qui se sont adressés à lui, jusqu’à ce qu’il est devenu le parrain des Libanais à l’étranger. Il a vécu aussi à Manchester pour une longue période et fut l'exemple de la loyauté envers son pays. Il ne tarissait pas d'éloges à sa patrie et avait toujours un cœur d’or qui ne manquait jamais d’offrir les conseils les plus constructifs et fructueux qui dirigeaient leurs demandeurs et les mettaient sur la bonne voie.
  • C’est en suivant ce sentier, que Professeur Fadlo Khoury est devenu un pionnier en médecine chirurgicale, et l’auteur de différentes études et recherches médicales. Aujourd’hui, nous honorons ses accomplissements dans le monde de la médecine, et son dévouement aux études dans ce domaine scientifique surtout au niveau des maladies incurables. Notre Professeur est revenu à sa patrie mettant sa confiance en cette institution réputée. Son élection à sa présidence est, de plus, une bonne confirmation et reconnaissance de son pouvoir et succès, surtout au niveau des recherches médicales.
  • Avec sa haute compétence, Professeur Fadlo Khoury a certainement contribué à la direction et l’expansion de l’institution, tout en étant capable de surmonter tous les obstacles en prenant toujours les bonnes décisions.
  • L’éducation et la culture sont sans aucun doute des objectifs essentiels pour tous, particulièrement au sein de cette université présidée par Professeur Fadlo Khoury qui a joué depuis toujours un rôle de précurseur en matière d’éducation. Nous sommes tous témoins de sa capacité de direction et de gestion, dont il se sert pour continuer à renforcer l’Université Américaine surtout au niveau du développent de l’éducation dans notre pays. Cette université qui a rempli un rôle important en tant qu'éclaireur pour 150 ans, plaçant la barre très haut et vantant ses glorieuses réalisations malgré la situation difficile dans laquelle le Liban a été plongé.
  • Aujourd’hui, je voudrais remercier chaque personne qui a contribué à l’élection de notre Professeur Fadlo Khoury, et exprimer ma gratitude, au nom de 'Selecteum of Arts and Sciences', d’avoir eu l’opportunité d’honorer une telle personne distinguée dans cette soirée musicale très agréable animée par «Quatuor Musique del Tempo».
  • Je tiens également à exprimer mes remerciements et ma reconnaissance aux responsables de cette université pour leur parrainage de cette cérémonie. Ces remerciements s'adressent aussi à chaque personne qui a participé à l’organisation et au succès de cet événement. Finalement, permettez-moi de souhaiter au Professeur Fadlo Khoury plein succès et prospérité, lui qui représente cette université historique qui a forgé des générations au nom de l’humanité et la citoyenneté, et qui a été et sera toujours digne de respect et d’appréciation».
  • Dr. Nabil Nassif a aussi prononcé un discours pour bien insister sur la bonne relation entre les deux familles Hourani et Nassif, en lisant une lettre envoyée par le Professeur Cecil Hourani de Londres à Mme Hourani.
  • À la fin du concert, Mme. Dédé Hourani, présidente du « Selecteum des Arts et des Sciences » a présenté le trophée du centre culturel au Professeur Fadlo N. Khuri comme signe d’appréciation et de reconnaissance. 
  • Whisper of Winds
  • After the crisis that shook the world and our region and that we are barely getting out of, it seems that there has always been a place for music in its attractive form where the focus is on the magnificent pieces of some big composers. A big concert took place thanks to the collective work of our musicians of the “Quatuor Musique del Tempo” and the musicians who came especially from the Philharmonic Orchestra of Bolshoï to add the fruit of their performance to the work of our musicians and to achieve the primarily fixed target for everyone: Make the music known to all those who were touched by the muse «Euterpe» and also make it more liked outside and beyond our borders with Moscow and the musicians of the Philharmonic of Bolshoï who serve the art of sounds with an equal passion that comes from the spirit and thus contribute, by looking to make this wonderful field of understanding deeper, to bring the two people closer.
  • Thanks to the efforts of its President, Mrs. Dédé Hourani, “Selecteum des Arts et des Sciences” kept the broad outlines of its short history of music with its “Quatuor Musique del Tempo”, continuously guided by the desire to not forget anything that was essential to reserve such an important place for the Baroque, romantic or other genre of music of the great composers that the public has always welcomed eagerly.
  • From this perspective, how can we not applaud this close contact between the performers and the listeners who are mesmerized by this sublime music that is nourishment for the soul and that enriches the destiny of so many people, those who seek to rise above material contingencies…
  • A magnificent repertoire was able to satisfy an elite audience that follows its heart and that decided one day to also fall for “Euterpe”… 
  • Sacred Easter
  • Le Centre Selecteum des Arts et des Sciences « ravive » Pâques avec les compositions de Mozart et Schubert à la Cathédrale Saint-Louis des Pères Capucins
  • Une atmosphère spirituelle qui touche l’âme a gagné l’autel de la Cathédrale Saint-Louis des Pères Capucins et des mélodies éternelles se sont élevées des instruments à corde comme si elles faisaient parvenir les prières des croyants au crucifié durant la Semaine Sainte lui implorant la compassion, l’amour et la paix durant les fêtes de Pâques, temps de la Résurrection. Une soirée musicale a été inaugurée le mardi par la Présidente du « Centre Selecteum des Arts et des Sciences », Mme. Dédé Hourani, intitulée « La célébration de Pâques » à l’honneur des Pères Capucins à l’occasion du temps des fêtes. Cet évènement transmet le message de la joie de la Résurrection à travers la musique spirituelle du quatuor du centre « Quatuor Musique del Tempo » qui sème les mélodies musicales inspirées par les fêtes.
  • Parmi les invités l’Ambassadrice d’Uruguay S.E. Dr. Martha Pizzanelli, l’Ambassadrice d’Autriche S.E. Mme. Ursula Fahringer, l’Ambassadeur du Norvège S.E.M. Svein Aas, Mme. Elena Zasypkine, le consul à l’ambassade Russe Mr. Aleksey Novoselov, l’Attaché à l’Ambassade Culturel de Chine M. Chen Zonghlin et la délégation chinoise, Mme. Ingrid Drexer, Diplomate de l’Ambassade d’Autriche, Mr. le Président Mohammed Baalbaki, le chef de la CNA Dr. Abdel Hadi Mahfouz, le Président de l’Université Libano-Américaine Dr. Joseph Jabra, la Présidente de la Communauté Cypriote au Liban Mme. Stalo Habibi, la Présidente de l’Association de la Maison de la Femme du Sud Liban Mme. Amina Fawaz, et le Membre Fondateur du Sauvegarde du Patrimoine au Musée National Mme Helene Badaro , le Révérend Père Capucins Supérieur Abdallah Noufaily et toute une audience de mélomanes et des gens de lettres.
  • A travers la soirée de Pâques, Mme. Dédé Hourani a voulu adresser une lettre pleine de remerciement aux Pères Capucins pour avoir gardé les portes de la cathédrale ouvertes à la culture raffinée ainsi qu’à la rencontre avec la foi devant l’autel de Dieu à toutes les occasions. C’est la soirée où l’atmosphère était entrecoupée par la tristesse des mélodies et leur joie, ces mélodies éternelles signées Mozart et Schubert qui, tous deux, ont consacré une grande partie de leurs compositions musicales à l’église et au rituel de la messe. Voilà leurs mélodies qui résonnent dans la cathédrale durant la Semaine Sainte, libérant les âmes de leur tristesse et semant à la place de cette dernière, la joie de vivre.
  • (Mozart) Quatuor pour piano en sol mineur, K.478
  • Le 1er septembre 1785, la maison d’édition viennoise Artaria publia la série de six quatuors à cordes que Mozart avait dédiée à Joseph Haydn. Six semaines plus tard, alors qu’il composait Les Noces de Figaro, Mozart entreprit une autre grande œuvre de musique de chambre, la série des quatuors pour piano. Seuls deux numéros virent le jour, et il semble que l’idée de ces œuvres provienne d’un ami, l’éditeur Franz Anton Hoffmeister, lui-même célèbre compositeur de musique de chambre. En réalité, Mozart envisageait d’écrire trois quatuors pour Hoffmeister, mais il dut y renoncer pour diverses raisons. Tout d’abord, le quatuor pour piano était un type de musique de chambre pour ainsi dire inconnu à Vienne au milieu des années 1780. Seuls quelques compositeurs s’y étaient essayés, Johann Schobert par exemple, un Allemand travaillant à Paris et dont Mozart connaissait les œuvres. Par contre, Vienne chérissait et applaudissait les trios pour piano. De par sa nature, le quatuor en sol mineur de Mozart était donc considéré comme une œuvre d’avant-garde par la Vienne de cette période et recelait en outre tant de difficultés pianistiques qu’elle nécessitait une exécution experte, mais aussi une audition attentive pour être appréciée à sa juste mesure. Un long compte rendu de l’œuvre paru dans un journal à la mode de Weimar dit notamment ceci: «...La rumeur selon laquelle Mozart aurait « composé un nouveau Quadro très particulier et que telle ou telle princesse l’a en sa possession et le joue » se propagea rapidement, éveilla la curiosité et fit naître l’idée stupide de jouer cette originale lors de grands et bruyants concerts... ».
  • Le Quatuor en sol mineur s’ouvre dans le style sévère et inflexible qui est celui du Quatuor à cordes en ré mineur K.421 et témoigne de la fascination du compositeur pour le mode mineur. Chez Mozart, le ton de sol mineur symbolisait à la fois la puissance féroce et la noble résignation.
  • (Schubert) Sonate « Arpeggione » à cordes pour piano et violoncelle
  • L’arpeggione est l’une des curiosités chères à l’époque: mi-guitare, mi-violoncelle, l’instrument fut créé par le luthier viennois Johann Staufer et joué par Vincenz Schuster. A l’affût des nouveautés, Schubert composa pour ce virtuose l’une de ses plus belle pages, écrites à la hâte. Cette sonate met en valeur les qualités expressives du nouvel instrument dans un adagio qui chante comme un Lied. Mais elle permet également dans l’allegro initial et le rondo final le développement de la virtuosité, tant en rapidité que dans le jeu des accords.
  • Actuellement, on exécute le plus souvent cette sonate au violoncelle, ou encore à l’alto. Mais grâce au quatuor Musique del Tempo et la pianiste Tatiana Primak Khoury et la géniale répartition et redistribution pour instruments à cordes par Brin Hashim, cette œuvre a vu le jour. La clé de cette exécution nous montre la musique de Schubert sous un jour différent de celui auquel nous avait habitués, par exemple, interprétation de la Winterreise. Nous sommes ici en présence d’un autre Schubert, et les doux tempi suggèrent une riche introspection et une grande intensité de sentiments beaucoup plus qu’une profonde tragédie.
  • Les interprètes semblent vagabonder, oublieux du temps qui passe, à la recherche de nouveaux paysages tonaux. Des tempi plus animés pourraient faire ressortir de manière agréable et douce à la cordialité de l’œuvre, afin de créer une atmosphère d’acceptation philosophique des joies et des tristesses de la vie plutôt que contentement douillet et sans mélange.
  • A la suite du concert, un vin d’honneur fut offert dans la Salle de Réception Extérieure de la cathédrale.
  • The Centennial of Salvador Arnita
  • Le centre Selecteum des Arts et des Sciences et le Programme musical Zaki Nassif à l’Université américaine de Beyrouth (AUB) célèbrent le centenaire de la naissance du musicien palestinien Salvador Arnita
  • A l’honneur du musicien palestinien de renommée internationale Salvador Arnita à l’occasion des cents ans de sa naissance et suite à l’invitation du Programme musical Zaki Nassif à l’AUB en coopération avec Selecteum des Arts et des Sciences, le Septuor Musique del Tempo du centre a organisé un concert à l’Assembly Hall de l’AUB en la présence du conseiller de l’Ambassade russe, Oleg Menshov et son épouse, le grand pianiste et compositeur libanais, Waleed Hourani, le chef d’orchestre de l’armée, le général de brigade, Georges Herou et le professeur et auteur des programmes d’éducation musicale, Kifah Fakhoury, Dr. Ali Ghandour, Dr. Nabil Nassif ainsi qu’un grand nombre d’invités.
  • La soirée où se mariaient les compositions sélectionnées de l’archive du musicien Arnita et de l’artiste Zaki Nassif, battait son plein avec cette nouvelle distribution musicale spécialement conçue pour l’évènement par le violoniste Bran Hashem, de manière à ce que les musiciens du Septuor ont excellé avec à leur tête les violonistes Bran Hashem et Michel el-Murr, l’altiste Samir Amouri, la violoncelliste Anastasia Yarstva el-Murr et des invités spéciaux comme le pianiste et compositeur, chef de l’Orchestre symphonique d’Amman et directeur du Conservatoire national de musique fondé par le roi Hussein, le maestro Mohammed Othman Siddiq, le joueur de l’oboe, Ahmed el-Jamili et le contrebassiste, Zaher el-Sebaaly. La pianiste Arminé Chokassian a joué aussi durant la soirée où le public a été transporté par les airs de la musique classique et orientale d’Arnita et de Zaki Nassif. Le Septuor a offert un bouquet de compositions musicales diverses et quelques mélodies de Zaki Nassif et Abdel Halim Hafez avec des compositions renouvelées qui ont beaucoup plu au public qui a longuement acclamé le Septuor avec lequel il a fait un voyage au bon vieux temps.
  • La soirée a commencé par un discours de l’AUB, suivi par la parole de la directrice du centre Selecteum des Arts et des Sciences, Mme Dédé Hourani qui considère la musique comme «une sagesse que les âmes ne purent exprimer en mots. Alors, elles créèrent ces sons simples qui, une fois qu’on les entend, notre âme les comprend et en tombe amoureuse… et comme Platon a dit: «La musique est l’aimée de l’âme, elle en est issue et elle introduit les fils des philosophes au monde de la raison parce qu’en apparence elle joue avec les sens mais au fond elle émet la vérité.»
  • Hourani considère que le musicien compositeur Salvador Arnita « connut la musique et y excella, ce qui permit à ses talents de se développer entièrement et de s’exprimer vu qu’il connaissait l’industrie de la musique du point de vue scientifique et artistique et qu’il préservait ses secrets par son talent et son savoir de cette industrie. Il en créa un art raffiné que nous sommes dans l’impossibilité de résumer tellement il a créé des compositions musicales et interprété la musique des grands compositeurs comme Johann Sebastian Bach… qui dénotent l’intensité de son savoir, sa minutie et ses recherches approfondies en matière de musique qui est pour lui le rythme qui traduit la parole de l’âme avec exactitude, un rythme naturel qu’il a puisé de son cœur et de sa connaissance de cette science qu’il a étudiée et pratiquée. Ainsi, il a suivi le chemin de la musique qui parle aux humains et les libère de leur angoisse, semant la beauté et la joie de son pays natal, la Palestine jusqu’aux quatre coins du monde que ce soit dans son enseignement de cet art ou sa pratique. Amoureux d’elle, il décortiqua la musicologie et en fit sa passion en composant, enseignant et persévérant dans ce domaine jusqu’à ce qu’il excelle à faire passer son message, vu qu’il avait confiance en son talent unique et en sa connaissance en musique qu’il a appréciée énormément et pour laquelle il a sacrifié sa vie.
  • Après avoir cité Al-Farabi: «La musique est la science qui dérive de l’astronomie, de la sagesse, de la médecine et de l’astrologie et elle est liée à toutes les sciences» , Dédé Hourani a conclu en notant que cette soirée musicale offerte par le Selecteum des Arts et des Sciences par les instrumentalistes du « Quatuor Musique del Tempo » en coopération avec le chef de l’Orchestre symphonique de Amman, Mohammed Othman Siddiq, le joueur de l’oboe, Ahmed el-Jamili et le contrebassiste, Zaher el-Sebaaly avec le «Programme musical Zaki Nassif à l’AUB », n’est qu’un hommage à celui qui a laissé les traces de ses belles et magnifiques compositions musicales résonner en rythmes et mélodies vives aux quatre coins du monde ce qui dénote sa belle créativité née de sa sensibilité exquise.
  • L’honoré Salvador Arnita naquit à Jérusalem le 4 mars 1914 et son talent musical se révéla très tôt; à l’âge de 11 ans, il fut désigné en tant qu’assistant organiste à l’Eglise de la Résurrection à Jérusalem, puis fut organiste à l’âge de 16 ans à la cathédrale de « Ste Catherine » en Alexandrie et entraîneur de la chorale de l’église. En 1934, Arnita se joignit à l’Académie de musique « Santa Cecilia » de Rome et étudia le piano et la composition musicale sous la supervision du compositeur Alfredo Casilla, et l’orgue sous la supervision de Fernando Germani et gradua l’année suivante où il reçut le premier prix d’improvisation. Ensuite, il étudia pour devenir chef d’orchestre et de chorale avec Sir Landon Roland et eut son diplôme de l’Ecole de musique Guildhall de Londres.
  • En 1937 et à l’âge de 23 ans, Arnita fut nommé Directeur du département de musique à l’Association des jeunes chrétiens de Jérusalem et rejoignit le cadre enseignant de l’AUB à Beyrouth en 1949 lorsque sa famille quitta Jérusalem après l’exode de 1948. D’enseignant, il devint professeur émérite et Directeur du département de musique. Arnita dirigea divers orchestres symphoniques dont l’Orchestre de Guildhall, l’Orchestre de Radio Jérusalem, l’Orchestre du Caire, l’Orchestre de Berlin, l’Orchestre de Pétersbourg et l’Orchestre Tanglewood lorsqu’il était à Harvard. Arnita qui devint international à partir de la Palestine, était membre du Comité de la composition musicale et membre de la Ligue américaine des organistes et du Comité international des arts populaires. Ses archives comptent 204 compositions dont 3 symphonies et 4 concertos pour piano, orgue, flûte et alto dont l’un reçut le premier prix de composition musicale organisé par l’Association des jeunes instrumentalistes de Beyrouth en 1965 et d’autres compositions qui furent jouées en Palestine, Jordanie, Allemagne, Grèce, aux Etats-Unis, en Europe, Australie et au Moyen Orient. Il composa aussi un hymne à l’occasion des cent ans de l’AUB. Ce furent les œuvres d’Arnita que « le Conservatoire national de musique Edouard Said » à l’Université «Birzeit » voulut présenter par l’Orchestre national de la Palestine et l’Orchestre palestinien pour les jeunes avait déjà publié un livre avec sa femme Yusra Jawharia Arnita, intitulé « Chadi et Chadia » qui inclut des chansons et des mélodies pour les étudiants des écoles primaires suivi par un second livre qui inclut « Des instructions artistiques à l’enseignant avec explication des chansons et accompagnement au piano. » Arnita qui prit sa retraite de l’université à l’âge de 65 ans, mourut le 14 mars 1985 à Amman en Jordanie où il passa les dernières années de sa vie avec sa femme. 
  • Splendeur Intemporelle
  • It is at the Cathedral of Saint-Louis of the Capuchins Brothers where took place the first concert of the winter season of 'Selecteum des Arts et des Sciences» organized by the President Mrs. Dédé Hourani. The concert was brilliantly performed by the "Quatuor music del Tempo", with Brin Hashim and Michel El Murr on violins and Samir Amouri on viola and Anastasia Yartseva El Murr on cello accompanied by international pianist Tatiana Primak Khoury and the bassist Zahir Al Sebaaly. It was magical and understandably...
  • On the program: JOSEPH HAYDN Concert for piano No.11 in D major and JOHANNES BRAHMS piano Quintet in F minor, opus 34.
  • Among the guests was the Ambassador of Norway H.E.M. Svein Aass, the Ambassador of Colombia H.E. Mrs. Georgina Mallat and Dr. Hyiam Mallat, the Charge d'Affaires at the Embassy of China Mr. Han Jing, the Consul of Greece Mrs. Stella Anthoupolou, the Consul of Russia Mr. Oleg Menshov and his wife, the Public Affairs Officer at the Embassy of the United States Mrs. Robin Holzhauer, the former Minister Mr. Georges Corm, President of Sacré-Coeur Hospital Superior Mother Laurice Obeid, President of the Lebanese American University Dr. Joseph Jabra and his wife, President of APSAD Mrs. Raya Daouk, Mrs. Hélène Badaro member in the Committee of Baalbek Festival, the Capuchin Fathers headed by the Superior Father Abdallah Noufaily, Mrs. Ninette André Tabourian, and an audience of classical music lovers.
  • Joseph Haydn Piano Concerto No. 11 in D Major
  • I. Vivace - The first movement is in sonata form and as usual practice for the era the orchestra introduces the themes of the movement before the soloist enters. When the soloist enters, the themes are not only played again but are elaborated on. Thus the second part of the exposition is longer than the first part. The development section concentrates on the first theme. The recapitulation repeats the first theme and gives a brief reference to other material from the exposition. Room for a cadenza by the soloist is provided, after which the movement is brought to a close by the orchestra.
  • II. Un poco adagio - The strings of the orchestra begins the second movement, the soloist soon enters with a melancholy theme. The strings offer up a subtle accompaniment to the keyboard's aria. There is a cadenza for the soloist, and the strings with woodwinds gently end the movement.
  • III. Rondo all'Ungarese - Allegro assai - The movement for which this concerto is most famous, as well as being some of Haydn's most recognizable music. Although the tempo indication calls it Hungarian, Haydn uses a Croation dance tune (there's still; plenty of disagreement about what was the actual area of origin of the tune) as the theme of the rondo. As music of any type of exotic feel (exotic being defined as any music with origins east of Vienna) was a fad at the time. It wasn't the first time Haydn used a folk tune in a composition, but it is one of his most successful. After a few repeats of the rondo alternating with episodes of other material, the orchestra and soloist take turns in repeating a fragment of the rondo theme and the movement comes to a close.
  • Johannes Brahms Piano Quintet in F Minor Opus 34
  • I. Allegro non troppo - A fragment of what is to become the first theme is stated in unison by the instruments to open the movement. A dramatic section leads to the theme being played out completely and with more force. The second theme is a lyrical contrast to the first, but there is still a feeling of tension. There is a third theme that appears towards the end of the exposition that relieves some of the drama of the previous themes. The exposition is repeated. The development section has fragments of the first two themes slowly play off of each other until they slowly build tension that leads to the recapitulation. After the recapitulation, there is a brief calm before the storm of the coda that dramatically ends the movement.
  • II. Andante, un poco adagio - A Schubertian theme begins the movement. Brahms makes variations on the theme as it plays out. A middle section of gentle music leads to a repeat of the main theme which continues to be developed until the movement gently ends.
  • III. Scherzo : Allegro - The movement begins with a low C on the cello played pizzicato as a rising melody is played over it. A rhythmic section follows, after which a march-like motive plays. These three motives make up the scherzo itself. They are repeated and developed until at the end of the scherzo the strings play a searing two sixteenth note fragment that alternates between D-flat and C as the piano plays C major chords. The trio is in C major and is inspired by the march-like motive of the scherzo. This scherzo is one of the most impassioned movements that Brahms ever wrote. Near the end the strings lend an atmosphere of violence to the scherzo before the sudden resolution of it with the end chord in C major.
  • IV. Finale: Poco sostenuto - Allegro non troppo - Presto, non troppo - The movement begins with a slow, mysterious introduction that builds in intensity until the movement proper begins with a theme that has the mood of a Hungarian Dance. This theme is varied, which leads to a more lyrical second theme. The next theme is a lively dance. These three themes are repeated and varied as they vie for supremacy throughout the movement. The competition of themes is brought to a sudden halt as a short coda returns the mood to tragic as the work ends.  
  • Lebanese night at Kolomenskoye
  • “Selecteum des Arts et des Sciences”, organized a concert by its Quartet “Quatuor Musique del Tempo” in Moscow – Russia at the Palace of Alexey Mikhailovich (XVII century) at Kolomenskoye entitled “Lebanese night at Kolomenskoye”.
  • Moscow City Government – Moscow City Department of Culture
  • Moscow State Integrated Art and Historical, Architectural and Natural Landscape Museum Reserve - Kolomenskoye.
  • Kolomenskoye village dates back to the 14th century. The most ancient monument in Kolomenskoye is the Church of the Ascension was constructed 1528. The first Tsar from the family of the Romanovs Mikhail, the first Romanov strictly observed his ceremonial etiquette of the courtyard and visited the places connected with the life of the Ryuriks. The icon of Holy Lady of Kazan was the main sacred object carried by the volunteer corps guided by D. Pozharskiy and K. Minin. They liberated Moscow from the Polish invaders in 1612. In the 17th century the presence of the icon of the Holy Lady in the troops was the symbol of participation of the Holy Lady in the liberation of Moscow. November 4, became the special holyday commemorating the icon of Holy Lady of Kazan. The icon was one of the main sacred objects of Moscow kingdom in the 17th century.
  • The second altar of the Palace church is dedicated to St. Averkiy Ieropolskiy. On that day Moscow was liberated from the Polish invadors.
  • Tsar Michail Fiodorovitch died on July 12, 1645. His sixteen years old son Alexey became the tsar after his death. The name of Alexey Mikhailovich is closely connected with further strengthening and developing of the Tsar’s Courtyard in which Kolomenskoye became the gala country Tsar’s residence.
  • An altar was built to commemorate the birth of Dmitriy, the first son of the Tsar Alexey Mikhailovich. He was born on October 4, 1648. Wood was the favorite building material and very popular in Russia so the Tsar thought that the house made of wood was better. “It was warmer, healthier and more cheerful.” The experts think that the Palace of Alexey Mikhailovich is the real masterpiece of wooden architecture. It consisted of many wooden buildings connected with one another by the inner porches and by the passages. This type of the building was called “the mansion made of the tower-chambers.” The main parts of it were the chambers for the tsar, the chambers for his sons, the dining hall. These parts of the palace were the apartments for men. The apartments for the tsarina and for the daughters of the tsar were the females’ apartments. The palace had 26 tower-chambers. Some of them were 20-30 meters high. The palace had 270 rooms and 3000 windows. The best carpenters and painters took part in the construction and in the decoration of the palace. Most of them were working in the Armory Chamber in Moscow Kremlin. Simon Ushakov the famous icon painter guided the work of the painters: they were Ivan Filatiev, Fiodor Evsteegneev, Bogdan Soltanov, Stanislav Loputskiy, Vasily Poznansky. The elegant woodcarving was made by Klim Mikhailov and by the elder Arseny. By the 70s of the 17th century Kolomenskoye was the wonderful ensemble of the Tsar’s Courtyard with the palace, with the church of the icon of the Holy Lady of Kazan with many other premises. The main entrance to the Courtyard was through the Palace Front Gates facing the Moskva-river. Falconry was one of the favorite entertainments for the Tsar Alexey Mikhailovich. Sometimes he went to the falconry twice a day, before and after dinner. Kolomenskoye was the dearest hunting place for him. Wild ducks and other birds were specially bred in in Kolomenskoye. Perhaps the falcons were brought there from the main breeding center in the settlement Sokolniky. The falcons were kept in the temporary wooden buildings. The tsar also visited Kolomenskoye for “the winter chase”: he hunted elks, wolves, foxes and hares. There were a lot of animals in the nearby forests.
  • During the reign of the tsars Mikhail Fiodorovich and Alexey Mikhailovich much attention was paid to the gardens growing in the courtyard. The trees made cool shade in summer, and they made the palace and the courtyard look like paradise. There were six gardens in Kolomenskoye with fruit trees like thousands of apple trees, hundreds of pear trees, trees with white, red and black cherries, currant, gooseberry and raspberry and eight cedars were planted. Medicinal plants and herbs were growing in the Apothecary garden of Kolomenskoye.
  • In the 70s of the 17th century Kolomenskoye became the Tsar gala country residence. Guests, foreign ambassadors and travelers visited Kolomenskoye. The members of the large family of Alexey Mikhailovich came to Kolomenskoye very often as well.
  • But even today, in the 21st century the Tsar’s Courtyard in Kolomenskoye has preserved its impermissible architectural and planning structure. It has the remarkable pieces of clerical and civil architecture, the tsar’s gardens and the unique monument of history and culture. It is the real pearl of the Old Russia.
  • The reconstruction of the palace interiors was based on thorough research carried out by professional scientific staff of the Moscow State Integrated Museum-Reserve with the assistance of invited dedicated experts and with the help of materials and research data from leading Russian and foreign archives and museums, among them Russian State Archive of Ancient Acts (Moscow), State Historical Museum and its branch – Chambers of the Romanov Boyars (Moscow), Moscow Kremlin Museum-Reserve, Kostroma Museum-Reserve (Central Russia), Ostankino Moscow Museum-Estate, State Museum of Oriental Art (Moscow), Victoria and Albert Museum (London, United Kingdom), Metropolitan Museum (New York, United States), Museum of Islamic Art (Doha, Qatar), Museum of Fine Arts (Vienna, Austria) and others.
  • The following organizations took part in the project implementation: Archaeological Institute of the Russian Academy of Arts, State Institute of Art Sciences under the auspices of the Ministry of Culture of the Russian Federation, Restoration Department of Moscow Architectural Institute, Moscow State Academy of Arts and industry named after Sergey Stroganov, Research Institute of the Theory and History of Architecture and Town Planning, and others. The project was carried out under an all-around support of Moscow City Government and Ministry of Culture of the Russian Federation. 226 experts of 20 professions were involved in the interior reconstruction, among them sculptors, icon painters, furniture makers, bronze founders, golden embroidery masters, and upholsterers.
  • Besides, tiled ovens were created by masters from Yaroslavl (Central Russia), Saint Petersburg, New Jerusalem (Moscow Region) while wood-carvers and smiths were invited from the town of Semenov (former Khokhloma, Novgorod region, North-West Russia) and Schigry (Kursk region, south of central Russia).
  • The total area of the 21 halls that include the chamber of the Tsar, Tsarina (the Tsar’s wife), the Tsareviches (the Tsar’s sons), and the bath (mylnya) makes 1387.2 sq. m. The total area of the 14 halls built as chambers of the younger Tsarnevas (the Tsar’s daughters) and housing the “Russian XVII Century Art Treasures” exposition makes 408.5 sq. m. The overall area of the palace premises makes 7500 sq. m.
  • The country Palace of Tsar Alexey Mikhailovich in Kolomenskoye represented an architectural ensemble of exceptional beauty and magnificence and was one of the brightest examples of Russian XVII century wooden architecture. It took long 15 years, from 1667/1668 to 1682, to erect the palace and make additional rearrangements. The palace was built by masters from West Russian lands.
  • 2 May was the fete of Blessed Prince Boris and the day of translation of the relics of Saint Princes Boris and Gleb whom Moscow rulers honored as protectors of the Russian land and their heavenly patrons.
  • The rulers succeeding Tsar Alexey Mikhailovich took a fancy for the Kolomenskoye Palace. Empress Elisabeth (Elizaveta Petrovna), Peter the Great’s daughter, also frequented Kolomenskoye and to a certain extent returned to the palace its status of the official state-residence, and luxuriously decorated chambers were arranged specially for her and by order of Catherine II after detailed measurements were taken and drawings of the facades were made. The interior décor of the Tsar’s country residence was of exceptional splendor.
  • The palace was generously decorated with carving and ornament and was full of expensive furniture and luxurious every-day life items like oriental carpets and European tapestries, lamps of various types and icons in golden cases.
  • Painting played an important part in the palace interior décor, on the walls and the ceiling was applied alongside with the traditional “herbal painting” and the marble. It was the style of the Moscow Kremlin Armoury, which at that time was headed by Simon Ushakov, famous Russian icon painter.
  • None of the numerous wooden palaces of ancient Moscow has survived to our days. That is why the experience of a historical and artistic interior reconstruction of the Kolomenskoye Palace, the most complicated example of Russian XVII century chamber wooden architecture we know, is so important. A wide range of sources was studied, including the inventory of the Kolomenskoye Palace and those of other palaces of the same epoch, numerous descriptions of various interior décor elements analogous to the ones that could be found in the original Kolomenskoye Palace. In-situ archaeological studies were carried out and the material collected was analyzed. Authentic everyday-life items from palaces contemporary with the Kolomenskoye Palace were searched for and old techniques essential for creating certain items were used. The glazed tiles found during archaeological digs in Kolomenskoye were used as the basis for the reconstruction of the ovens. Besides, the interiors were completed with authentic items from the Moscow State Integrated Museum-Reserve collection that belong to the same epoch. The project reflected in the chambers décor the tastes of the main orderers, i.e. Tsar Alexey Mikhailovich, his son Fedor Alexeevich as well as other members of the Tsar’s large family.
  • Endless Romance
  • Un concert intitulé “Endless Romance” à la cathédrales des Pères Capucins, pour saluer le génie des deux grands compositeurs « Johannes Sebastian Bach » et « Robert Schumann ». Le « Quatuor Musique del Tempo », accompagné par la pianiste internationale Tatiana Primak Khoury et du contrebassiste Bassem Al Jaber, ont interprété deux œuvres.
  • La première de Johann Sebastian Bach « Concert pour piano en sol mineur BWV 1058 » et la seconde œuvre « Quintette pour piano, opus 44 » de Robert Schumann, bien entendu à l’initiative de la présidente du centre culturel « Selecteum des Arts et des Sciences » Mme. Dédé Hourani.
  • Le Quatuor, la pianiste et le contrebassiste formaient un ensemble harmonieux mélangeant leur grande aptitude d’interprétation de haute performance et à l’ambiance solennelle de la cathédrale, ce qui donnait l’impression d’un jeu au caractère orchestral qui a ravi l’audience nombreuse de mélomanes avertis parmi laquelle on comptait S.E.M. l’ambassadeur… (à remplir après concert)
  • Parmi les nouveaux genres apparus au dix-septième siècle, le concerto est l’un de derniers à avoir été établi. Bien que le principe de l’alternance entre un grand et un faible volume ait existé auparavant (dans les œuvres polychorales de Gabrieli, par exemple), la forme concerto a été créée lorsque le contraste entre les sonorités de l’orchestre et celles des instruments solos a été appliqué à la sonate instrumentale.
  • Les propres concertos de Bach furent composés durant le temps qu’il passa à Cöthen, où il fut Konzertmeister à la cour du prince Léopold de 1717 à 1723. Les œuvres de musique de chambre que Bach composa à Cöthen modifièrent également le rôle auxiliaire traditionnel du clavecin.
  • L’importance croissante accordée au clavecin dans la musique d’ensemble a amené Bach à l’utiliser comme instrument de concerto de soliste. Les sept concertos pour clavier seul de Bach ont été composés à Leipzig, et ont marqué son retour à la musique instrumentale après qu’il ait été nommé Cantor de l’église de Saint-Thomas et de la Tomasschule en 1723. Pratiquement toute la musique des sept concertos de Bach provient de matériau déjà existant.
  • L’une des caractéristiques les plus notables des concertos de Bach est la distribution des idées musicales. Un thème est souvent mis en valeur par des ornements rythmiques et tonaux spécifiques, lesquels restent associés à la ritournelle d’un bout à l’autre d’un mouvement. Ce n’est habituellement qu’à la conclusion d’un mouvement que la ritournelle d’ouverture revient en entier.
  • Les mouvements lents des concertos pour clavier de Bach contiennent des passages qui sont parmi les plus expressifs et les plus émouvants de son œuvre. Les mouvements centraux du concerto du sol mineur contiennent des mélodies cantilènes ravissantes et riches en agréments. Une construction intéressante que l’on rencontre dans les mouvements lents des quatre premiers concertos est l’insertion d’une mélodie solo entre un passage d’ouverture et de conclusion.
  • Le dernier mouvement de ce concerto en sol mineur a une mesure 9/8 qui rappelle la gigue, et il commence par une exposition fuguée.
  • Tout en respectant l’esthétique baroque d’ « unité de passion » (garder le même sentiment tout au long du morceau), les concertos pour clavier de Bach font état d’une grande diversité de procédés de composition et se distinguent par une richesse d’expression sans parallèle à cette époque. Qu’ils dérivent tous d’œuvres existantes ne fait que refléter les ressources de cet incroyable génie.
  • Le Quintette opus 44 de Schumann, c’est sa grande œuvre et qui est une réussite brillante. Là où le piano intervient avec autorité Liszt disait : « Elle sent un peu trop son Leipzig. » Cette réflexion n’est peut être justifiée que pour les passages canoniques du final. Mais le jaillissement des trois thèmes de l’allegro initial est d’une force parente de celle du concerto. La marche mi funèbre, mi fantastique du second morceau est du plus authentique Schumann. Et le Scherzo, s’il est peut-être moins riche musicalement, n’en est pas moins directement issu de la fantaisie la plus pure d’Eusebius et de Florestan.
  • On a tant parlé de Schumann et son Quintette qu’on imagine que c’est avec son sang, ses racines, ses attaches qu’il a écrit cet unique Quintette. Schumann aurait pu nous laisser des cylindres où nous nous acharnerions à retourner la magie de ses doigts. Il nous laisse bien mieux : une œuvre écrite, où nos prestidigitateurs aujourd’hui, qui surmontent en se jouant l’insurmontable même mais avec Tatiana Primak il n’y a pas de problèmes à essayer de suivre le mouvement de ses doigts grâce à sa grande virtuosité et cet excédent de technique, qui apparente la liberté, conquise sur l’ascèse infinie du travail et la légitimité charismatique des interprètes du fameux Quatuor Musique del Tempo dont la virtuosité légendaire n’éclipse pas la nature mais l’exalte pour communiquer à l’auditeur le sentiment sublime du compositeur.
  • Le concert a été couronné par un vin d’honneur au Jardin de la cathédrale. 
  • Bach’s Musical Journey
  • Un concert intitulé “Bach’s Musical Journey” à la cathédrales des Pères Capucins, a été dédié au pionnier en médecine le professeur Gédéon Mohasseb afin de remémorer les grands et nombreux accomplissements qu’il a réalisés dans sa vie. Pour saluer son génie le fameux «Quatuor Musique del Tempo», accompagné par la pianiste internationale Tatiana Primak Khoury et du contrebassiste Bassem Al Jaber, ont interprété les œuvres de Johann Sebastian Bach «Concert pour piano en sol mineur BWV 1058» et «Concert pour piano en ré mineur BWV 1052» bien entendu à l’initiative de la présidente du centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences» Mme. Dédé Hourani.
  • Le maître mot de cette soirée musicale donné à l’honneur du professeur Mohasseb c’est: «Quand la médecine, l’humain et la musique se rencontrent» et quel bel amalgame!!!
  • En effet c’est comme si l’âme humaine de Gédéon Mohasseb était naturellement, secrètement musicienne et qu’il est surpris délivré cette musique encore muette dans son cœur, pour nous divulguer sa passion de Bach et son grand plaisir de l’écouter; lui le grand mélomane et c’est comme s’il avait recueilli la mélodie de l’âme humaine que n’est que le «souffle de la vie»…
  • La lecture du cerveau et notre lecture de Gédéon Mohasseb, c’est cet hommage aux valeurs et au génie donné à celui qui a su comment transmettre les messages du ciel à travers son amour pour l’humanité et celui qui la représente au ciel et son univers dont le professeur Gédéon Mohasseb qui transmet la lumière et la beauté fait partie…
  • C’est une lumière aux couleurs de l’aube merveilleuse de cette terre qu’il revoit après toutes ses opérations chirurgicales et c’est la lumière de la vie de ses patients…
  • Dieu lui a donné son génie qu’il a gardé avec gratitude et toutes les qualités qu’il a pour qu’il excelle, ainsi que la capacité de les renouveler avec ses recherches scientifiques. Par la suite Dieu le récompense par la joie et des prix qu’il reçoit sur sa route vers le génie dans le domaine chirurgical.
  • Sur ce, il mérite d’être récompensé en inscrivant son nom avec des lettres de lumière dans l’histoire de la médecine et nous saluons son génie lui qui a reçu les plus hauts degrés d’éducation et de foie et les a rassemblés dans son curriculum vitae.
  • Le Quatuor, la pianiste et le contrebassiste formaient un ensemble harmonieux mélangeant leur grande aptitude d’interprétation de haute performance à l’ambiance solennelle du milieu ; ce qui donnait l’impression d’un jeu au caractère orchestral qui a ravi un nombreux public de mélomanes averti parmi lequel, on comptait l’Ex-ministre S.E.M. Georges Corm, l’Ambassadeur du Royaume des Pays-Bas au Liban S.E. Mme. Hester Somsen, l’Ambassadeur d’Ukraine au Liban S.E.M. Volodymyr Koval et son épouse, le Conseiller à l’Ambassade de Russie au Liban Mr. Oleg Menshov et son épouse avec Mr. Dimitri Pastyhov, le Conseiller politique à l’Ambassade de Chine au Liban Mr. Han Jing, l’Attaché culturel à l’Ambassade de Chine au Liban Mr. Chen zhonglin et son épouse, le Père Supérieur Capucin révérend Père Abdallah Noufaili, Mme. Hélène Badaro membre du Comité du Festival de Baalbek, Mr. Munzer Wehbe, des doyens de facultés, des directeurs généraux, le corps médical et de nombreuses personnalités culturelles, artistiques mélomanes.
  • Le concert a été couronné par un vin d’honneur au Jardin de la cathédrale.
  • Starry Night
  • A l’Assembly Hall de l’Université Américaine de Beyrouth, et sous le haut patronage de son Excellence Ministre de la Culture l’ingénieur Gaby Layoun,le «Quatuor Musique Del Tempo - 10Violon: Brin Hashim, 2ème Violon: Michel El Murr, Viola : Sam Ammouri, Violoncello: Anastasia Yartseva,» accompagné par le maestro Mohammed Uthman Sidiq, le hautboïste Ahmed Al Jumaili et le contrebassiste Bassem Al Jaber offrit une soirée musicale intitulée «Starry Night» le mercredi 29 janvier 2014 rendant hommage au grand compositeur Libanais Zaki Nassif en reconnaissance à cette créativité sans précédent, l’ensemble porte son attention sur lui pour promouvoir l'écriture de certaines compositions de Zaki Nassif en des textes musicaux par Brin Hashim afin de faire revivre dans nos têtes et mémoires les créations de ce génie musicien en les jouant sur leurs instruments musicaux avec beaucoup de professionnalisme et de considération dans une nouvelle mise en musique qui respecte toutes les notes où ils ont vu la créativité surprenante d'un musicien de notre pays qui nous rend fiers et honorés. C'est l'héritage qu’il nous a laissé et qui bat toujours dans le cœur de ceux qui aiment la musique orientale authentique et ceux qui croient en l'ancienneté de nos vies et de nos talents artistiques… Ce sont les cœurs de ceux qui ont aimé Zaki Nassif et qui continuent à fredonner ses chansons qui sont inscrites dans les registres de l'éternité… Quant à sa musique, c'est le seul chemin au patriotisme parce que sa vie n'a été qu'un fabuleux et bel hymne national... et en interprétant merveilleusement avec ce fameux Quatuor, un bouquet des œuvres du compositeur avec le programme de musique Zaki Nassif à l’AUB et le Selecteum des Arts et des Sciences.
  • Bien entendu et à l’initiative de la présidente du Selecteum, Dédé Hourani, une brochure a été distribuée à l’audience de cette soirée musicale qui a été marquée par la présence de Mr. le Ministre Georges Corm et Mr. Hanna Al Amil représentant le Ministre de la Culture, en présence du Dr. Nabil Nassif fondateur du Zaki Nassif Program for Music a l’AUB et Dr. Salwa El Amine du Ministère de Tourisme, Mme. Raya Daouk Présidente de l’APSAD, Mme. Hélène Badaro membre du Comité du Festival de Baalbek et responsable du Musée archéologique de l'Université Américaine de Beyrouth, Président du Syndicat de la Presse Mr. Mohammed Baalbaki, Colonel Georges Herro Chef de l’Orchestre Militaire de l’Armé Libanaise, Mme. Sallama Naamani de la Fondation Makhzoumi, l’Attaché culturel de l’Ambassade de Chine au Liban Mr. Chen ZhongLin et son épouse, le Conseiller de l’Ambassade de Russie au Liban Mr. Oleg Menshov, l’Attaché de l’Ambassade Czeck au Liban, Pr. Georges Sayegh, des doyens de facultés, des directeurs généraux et un public de mélomanes avertis et de nombreuses personnalités culturelles et artistiques.
  • Dans cette ambiance l’audience a partagé bien une belle soirée musicale dédiée à un grand musicien… 
  • Magnificat Concert
  • At the Assembly Hall of the American University of Beirut, the “Quatuor Musique Del Tempo” in a musical evening entitled "Magnificat Concert" on Wednesday, November 6, 2013.
  • The Quartet was accompanied by the international pianist Tatiana Primak-Khoury and the double bassist Bassem Al Jaber who performed with the famous Quartet the "Concerto for Piano in D minor by Johann Sebastian Bach" and "Michael Glinka Grand Sextet" with the initiative of the President of the cultural Center Selecteum of Arts and Sciences, Mrs. Dédé Hourani .
  • Tatiana Primak-Khoury, Bassem Al Jaber with the Quartet formed a harmonious ensemble mixing their great ability of interpretation to the solemn atmosphere of the environment; which gave the impression of an orchestral music which delighted the audience, among whom there were the German Ambassador to Lebanon H.E. Mr. Christian Clages , Ambassador of Uruguay to Lebanon H.E. Dr. Marta Pizzanelli, the Ambassador of Germany to the United Nations Dr. Tono Eitel , H.E. Ambassador Mr. Khalil Makawi , Mrs. Helen Badaro committee member of the Baalbek International Festival and director of the Museum at the American University of Beirut , and from the Ministry of Tourism Dr. Salwa Al Amin, Deans , CEOs and many cultural and political personalities, artists and music lovers. 
  • Solemn Moments
  • « Moments solennels » dans une ambiance de recueillement solennel, le Quatuor Musique del Tempo » et l’international et fameux violiste Anglais Mr. Rusen Gunes qui est venu spécialement de Londres pour se joindre au Quatuor et les accompagner devant un grand publique de mélomanes dans cette ambiance unique et chaleureuse.
  • À la faveur de ce concert intitulé « Solemn Moments », un répertoire a été choisi avec passion sous l’impulsion de la présidente-fondatrice du Selecteum des Arts et des Sciences Dédé Hourani, qui a pris sa vitesse de croisière et a multiplié ses activités auprès des ses membres et son public sélect et averti, qui suit continuellement et fidèlement ses évènements culturels et musicaux, les appréciant de plus en plus.
  • Parmi l’audience se trouvaient le Ministre Georges Corm, le Premier secrétaire de l’Ambassade de Belgique au Liban Mr. Christophe LeChat, le directeur du PNUD au Liban Mr. Lucas Renda, présidente de l’APSAD Mme. Raya Daouk, le révérend père supérieur Capucins Abdallah Noufaili et un grand publique de mélomanes, au programme : Mozart Quintette à cordes en ut majeur K515, et Brahms Quintette à cordes nº1 en Fa majeur opus 88, et à la suite du concert un vin d’honneur fut offert aux membres du Selecteum dans les jardins de la Cathédrale Saint-Louis, en présence des musiciens du « Quatuor Musique del Tempo » et le grand musicien anglais Rusen Gunes.
  • Wolfgang Amadeus Mozart
  • Quintette à cordes en ut majeur, K515
  • Mozart rechercha des souscripteurs pour trois niveaux quintettes à cordes en avril 1788, près d’un an après avoir achevé les deux premiers, les K.515 et 516; la troisième œuvre était en fait un arrangement de sa Sérénade pour huit instruments à vent en ut mineur, K.388. Une deuxième annonce, parue trois mois plus tard, n’attira pas plus de signatures que la première, et les œuvres furent publiées séparément par la firme viennoise Artaria. Le Quintette en ut majeur parut en 1789, celui en sol mineur l’année suivante, et celui en ut mineur en 1792, six mois après la disparition du compositeur.
  • 1787 fut l’année de Don Giovanni, et le thème initial du Quintette en ut majeur, avec son motif d’arpèges ascendants se détachant sur un arrière-plan de croches répétées, semble annoncer le fameux « Air du catalogue » de Leporello. Le violoncelle et le premier violon se partage le thème, tandis que les trois instruments intermédiaires fournissent l’accompagnement. Les deux parties externes sont très différentes l’une de l’autre, et au thème staccato du violoncelle répond une phrase mélodique extrêmement douce du violon. Toutefois, après une courte pause, les deux interprètes échangent leurs rôles au cours d’une plongée saisissante dans le monde mineur. Le passage en mineur précède une incursion dans le ton lointain de la sustonique bémolisée (ré bémol) avant le début du second groupe, beaucoup plus stable. Le premier et le dernier thèmes la base d’un long passage intensément travaillé dans le développement.
  • Une controverse inhabituelle concerne l’ordre dans lequel doivent être joués les deux mouvements centraux. La première édition fait suivre le Menuet de l’Andante — ordre qui est aussi celui du Quintette en sol mineur. Toutefois, le manuscrit de Mozart semble placer ces deux mouvements dans l’ordre inverse, qui est aussi celui adopté par la Nouvelle Edition Mozart de 1967. Mais on aurait tort de se fier aveuglément à l’autographe car chaque mouvement occupe un folio indépendant, et un examen attentif montre que la pagination des trois derniers mouvements n’est pas de la main du compositeur. Le mouvement lent reflète le goût très marqué de Mozart pour l’alto. Ce mouvement de sonate se compose en presque totalité d’un duo, passionné et presque lyrique, entre premier violon et premier alto. Parmi tous ses quintettes, c’est dans ce mouvement que Mozart s’approche le plus du style d’écriture concertant qu’il allait mettre au point dans les trois Quatuors à cordes « prussiens » de 1789 et 1790; et vers la fin, le violoncelle interprète même une brève cadence au-dessus d’une pédale.
  • Le Trio en fa majeur dépasse de beaucoup, par son ampleur, le Menuet proprement dit. Un passage mystérieusement chromatique cède finalement la place à un air en manière de ländler tendrement expressif, énoncé par les violons en octaves, qui est l’une des mélodies les plus belles et les plus sensuelles que Mozart ait jamais écrites.
  • Le finale, pour sa part, est de toute évidence une sonate en rondo, même s’il est possible de considérer l’épisode de son développement comme une parenthèse glissée dans la réexposition d’une structure sonate régulière par ailleurs. D’ailleurs, le chromatisme de ce développement n’obscurcit que momentanément ce qui est l’un des mouvements les plus joyeux et les plus triomphants de Mozart, conclusion appropriée d’un chef-d’œuvre véritablement olympien.
  • A Tribute to Zaki Nassif
  • Par l'invitation de Zaki Nassif Programme de Musique à l'Université Américaine de Beyrouth, en collaboration avec Selecteum des Arts et des Sciences, une soirée musicale a été organisée le jeudi 9 mai 2013 dans la salle de l'Assembly Hall à l'Université Américaine à Beyrouth, en présence des ambassadeurs, des diplomates, attachés culturels, politiques, ainsi que les gens d’arts et de culture.
  • La soirée a rendu hommage à Zaki Nassif, ce musicien qui nous a guidés dans notre pays à travers des chansons qui véhiculent l'amour de la nation à travers les générations... Nous savions qui a écrit et composé eux. Il est le musicien oriental qui aimait la belle nature de son pays qui l’a inspiré dans toutes ses compositions et poèmes. À travers ses œuvres, le pays nous appartient et est la reine du monde avec sa beauté, la gloire et la fierté.
  • La performance musicale du "Quatuor Musique Del Tempo" capte le public vers l’ambiance de Zaki Nassif, Hayden et Mendelssohn lors de l’exécution de leurs œuvres symphoniques, et a ajouté plus de créativité et de beauté.
  • Dédé Hourani, Présidente du Selecteum des Arts et des Sciences, a présenté ses hommages à Zaki Nassif à travers une brochure intitulée: «Zaki Nassif, créateur de notre pays» qui a été distribuée à l’audience et le plus important sont les suivants: Zaki Nassif a écrit ses paroles et ses pensées librement et il a choisi ses merveilleuses expressions d'une manière qui annonçait la créativité et de liberté. Il a brisé les chaînes et a excellé. Sa créativité l'a suivi tout au long de sa carrière artistique. Seul le rythme du créateur pourrait être plus élevé que lui, Celui qui l'a inspiré en permanence. Zaki Nassif a pu être libre en dépit d'une route cahoteuse et difficile. Il l'a pris avec sa musique levant les yeux au ciel avec lui et nous laissant avec ses belles mélodies. C'est quelque chose de rare parce que son génie est unique en son genre. 
  • Musical and Lyrical Fusion
  • Le Selecteum des Arts et des Sciences au concert «Musical and Lyrical Fusion» à à l’honneur du grand poète libanais Jawdat Rustom Haydar.
  • Le Selecteum des Arts et des Sciences a organisé un concert devant un public sélect des mélomanes, des attachés culturels entre autre Mr. Igor Obodovsky de l’Ambassade d’Ukraine.
  • Etant également présents à la salle Jean Sébastien Bach, les doyens des universités et les personnalités du monde artistique médiatique ainsi que médicale et politique. Et de nouveau « le Quatuor Musique del Tempo » et ses musiciens Brin Hashim, Samir Amouri, Michel et Anastasia El Murr ont interprété des œuvres musicales. Ce concert a été organisé sous le thème de «Spring Concert» «Fusion Musicale et Lyrique» que la Présidente du Selecteum Dédé Hourani l’a dédié comme hommage au grand poète Libanais Jawdat R. Haydar en présence de la fille du poète Mme. Shahina Osseirane.
  • Des moments uniques dans un cadre unique pour apprécier une des œuvres du grand compositeur L. Van Beethoven et une interprétation pour son quatuor à cordes en ré majeur opus 18 nº3; un des plus beaux quatuors publié en 1880, est en réalité son premier quatuor qui est le plus délicat et le plus lyrique du recueil. La première phrase, avec sa septième ascendante, d’une ardeur délicate, a des vertus enchanteresses, qui nous entraîne vers un univers au-delà de la réalité. Le mouvement lent déploie une musique d’une tendre éloquence; un premier thème s’élève par étapes successives, baignant dans la chaude lueur de si bémol majeur, la palette expressive est large, le développement apportant un contraste par son aspect grave et son écriture contrapuntique. Le scherzo rapide, avec ses accents à contretemps incisifs, nous ramène à la lumière.
  • Vient ensuite la seconde partie du concert avec le Quatuor à cordes de Mendelssohn en fa mineur pour refléter les raffinements de la pensée musicale du compositeur et la poésie qui s’exprime déjà avec une vigueur et sérénité, par une interprétation d’une force exceptionnelle. Ce quatuor en fa mineur est une exaltation de toute beauté dont l’audience a apprécié ces moments de bonheur, du fait de l’esprit à la fois tendre et lyrique des deux œuvres présentées par le «Quatuor Musique del Tempo». Toutefois le mot de Dédé Hourani adressé à Jawdat Haydar dans une brochure spéciale, raconte le parcours poétique fabuleux du poète libanais.
  • La soirée musicale a été clôturée par la remise du trophée discernée par «Selecteum des Arts et des Sciences» à Mme. Chahina Osseirane, fille du grand poète, suivi par la suite d’un vin d’honneur à la salle Wassily Kandinsky.
  • Whispers of Angels
  • Accueillis sur scène par de vifs applaudissements d’une audience sélecte, le Quatuor Musique del Tempo se présentait le 14 février accompagné du Clarinettiste international Kinan Azmeh qui a fait le déplacement de New York, spécialement pour venir interpréter avec ce fameux Quatuor, les œuvres: Quintette pour Clarinette de Mozart Op. 108. B, et Quintette pour clarinette de Bernard Herrmann «Souvenirs de voyage» et pour terminer avec ses morceaux «We Are All Optimistic» et à l’initiative de la Présidente du centre Mme. Dédé Hourani, un concert brillamment exécuté par le Quatuor Musique del Tempo lequel a déjà donné ses preuves tout au long des années écoulées.
  • Un véritable bonheur pour les mélomanes qui retrouvaient la musique du Quatuor et celle de Kinan Azmeh... Parmi l’audience se trouvaient S.E. Mme. L’Ambassadrice d’Uruguay Dr. Marta Inés Pizzanelli et S.E.M. l’Ambassadeur de Chine Zexian WU avec l’Attaché Culturel SHE Mingyuan, les doyens des universités et les directeurs généraux et plusieurs autres mélomanes.
  • Musical Momentum
  • Selecteum des Arts et des Sciences a organisé le 18 Octobre 2012 un concert intitulé «Musical Momentum» à la Cathédrale Saint Louis des Frères Capucins, situé à Bab Idris à Beyrouth, où Mme. Dédé Hourani, Présidente de Selecteum des Arts et des Sciences, a honoré son frère Monzer Hourani, qui a reçu le premier prix comme Architecte aux Etats-Unis, et tout cela a été assisté par des Ambassadeurs, Diplomates, attachés Culturels des Ambassades, des politiciens, des artistes, des hommes de culture, les amis et la famille Hourani.
  • Pendant cette soirée, que Monzer n’a pas pu assister tant qu’il est toujours à Houston, le Quatuor Musique del Tempo avec la participation du Pianiste Mohammed Al Sidiq et le contrebassiste Traian Badea ont pris l’audience dans une ambiance Schubertienne et une autre de Max Bruch jouant des quintets de piano de chacun, qui a ajouter un sentiment de révérence au sein de la cathédrale.
  • Spécialement, et après ce concert qui a été suivi par un vin d’honneur à la fin, un mot de Mme. Dédé Hourani a été adressé son frère Monzer intitulé «Monzer Hourani et l'aube de son message humanitaire» comme une lettre destinée à un frère qui a consacré soi-même pour le chef-d’œuvre et la créativité et qui a rendu de l’humanité une base pour tout son travail et sa carrière professionnelle et artistique.
  • Et Dédé Hourani qui a honoré son frère, loin d’elle en Amérique, qui a inscrit ses réalisation ailleurs aux Amériques et partout dans le monde, pour avoir finalement son nom égal à chaque bâtiment ayant les normes de sécurité internationale, quoiqu’il soit des appartements, des hôpitaux ou bien des réseaux routiers partout en Amérique.
  • Du prodige guidé par son génie, au prodigue que le Liban attend… ce n’est pas seulement le talent exceptionnel du Chef d’orchestre Monzer Hourani qui est en cause de l’hommage qui lui a été rendu, par sa sœur Dédé Hourani, Peintre et Présidente du «Selecteum des Arts et des Sciences» en la Cathédrale St. Louis des Capucins, mais aussi de ses inventions dans le domaine des bâtiments antisismiques, anti-ouragans et anti-pollution qui sont adoptées en Amérique et partout dans le monde, ainsi que la construction des grands hôpitaux des États-Unis, ce qui lui a valu de recevoir il a reçu le premier des ingénieurs.
  • Par ailleurs, son amour et sa profonde passion pour la musique, a inspiré les musiciens du fameux «Quatuor Musique del Tempo» dans leur choix du répertoire, pour lui rendre hommage en présence d’une audience nombreuse consacré aux compositeurs: Franz Schubert et sa Piano Quintette la « Truite » D667 en La majeur et celle de Max Bruch en Sol mineur, avec la participation du pianiste Mohammed Al Sidiq Chef d’Orchestre de la Philarmonique de Jordanie et le contrebassiste Traian Badea et qui avec le Quatuor formaient un ensemble harmonieux, mélangeant leur grande qualité d’interprétation à l’ambiance solennelle du milieu; ce qui donnait l’impression d’un jeu au caractère orchestral qui a ravi ce public de mélomanes avertis, parmi lequel, on comptait de nombreux Ambassadeurs, Attachés Culturels, Doyens de Facultés et Corps Médical. A la suite du concert, un vin d’honneur fut offert dans les jardins de la cathédrale.
  • Vision vers l'infini
  • Encore une fois, le mardi 17 juillet 2012 le Quatuor Musique del Tempo du Selecteum des Arts et des Sciences, se transforme en Quintet en faveur de Reber, de Beethoven et d’autres grands compositeurs mais cette fois-ci avec la présence de la fameuse celliste russe Svetlana Yartseva qui est venu spécialement de la Russie, se séparait momentanément de la Philarmonique de Moscou dont elle fait partie intégrante et remarquable, pour accompagner les musiciens du Quatuor; ce qui va surement nous donner une combinaison intéressante des sons et qui vont se mélanger parfaitement avec sa brillante performance, ajouter une grande dimension aux approches du rythme et de l’harmonie et spécialement à la mélodie qui fait une suite à sa nature de celliste virtuose.
  • Bienvenue à Svetlana Yartseva au Liban et spécialement à la Cathédrale Saint Louis des Frères Capucins ainsi qu’au Selecteum des Arts et des Sciences. 
  • MUSICAL AFFINITIES
  • The Quatuor Musique del Tempo
  • Mohamed Uthman Sidiq, Pianist, Composer and Conductor of Amman Symphony Orchestra
  • Kinan Azmeh, Composer and International Clarinetist
  • Brin Hashim Composer and Violonist, performing in:
  • Josef HAYDN (1732—1809)
  • String Quartet, Op.3 nº2 in Do major
  • Fantasia Con Variations, Menuetto, Presto
  • Bernard HERRMANN (1911—1975)
  • Quintet for Clarinet and String Quartet (1967)
  • Lento, Andante, Andantino (Canto amoroso)
  • Richard WAGNER (1813—1883) / H. J. BÄRMANN (1784—1847)
  • Adagio for Clarinet and String Quartet
  • Gabriel FAURÉ (1845—1924)
  • “Pièces célèbres”, “Après un rêve”
  • arranged for Clarinet and String Quartet by Brin Hashim
  • A musical journey through the Americas
  • On l’avait entendu en décembre passé et on se dit que la pianiste s’étant chauffé les doigts et le cœur aux tangos, habanera et milongas etc., sous un ciel Uruguayen et New Yorkais ou autre, va s’emplir de nouveau les poumons d’air pur pour se défoncer et se ressourcer d’un nouveau répertoire comme elle nous a promis après cette fameuse musique des trois Amériques qui fut d’un goût racé et supérieur. Ce répertoire bien choisi (George Gershwin, Scott Joplin, Gottschalk, Igor Stravinsky, Binelli, Mortet, Lagarmilla et Piazzolla.
  • Et puis on la rencontre aujourd’hui, revenant des États-Unis, faisant escale au Liban par l’intermédiaire de l’Ambassade des États-Unis et de l’Ambassade d’Uruguay et du centre culturel « Selecteum des Arts et des Sciences » pour performer de nouveau dans ses locaux précisément à la salle Jean Sébastien Bach dont elle porte le trophée, préparant pour ce concert un répertoire remarquable englobant l’héritage musical de plusieurs pays, puisqu’elle se sentait si intimement proche de tous les pays de l’Amérique et toutes les époques musicales foisonnantes dont elle en est passionnée par leur musique du répertoire classique, aux Tangos de toutes sortes, des Habaneras, Milongas aux Drums et Jazz.
  • Excellente pianiste, elle a parcouru le monde comme soliste, performant avec les symphonies d’Uruguay, San Francisco, New York’s Carnegie Hall, Tokyo Philarmonique, Colorado et Vancouver philarmonique etc.
  • C’est tout un reflet des pays qu’elle a parcouru, qui revit cet héritage de musique que Ferman a voué aux différents répertoires depuis Chabrier jusqu’ aux contemporains. Cela suffirait à une Gloire.
  • Polly Ferman, pianiste aussi considérable, avait appris à tenir le devant de la scène partout où elle performait et évidemment de tout ce qui touchait à la musique et aux différents répertoires, des grands compositeurs. Citons quelques noms comme par exemple: Luis Cluzeau, Francisco Mignone, Alberto Williams, Cervantes, Penaforte, etc. et même quelques fameux compositeurs Européens comme : Darius Milhaud, Emmanuel Charbier, Eric Satie, et tant d’autres et tout demeurait comme une sorte d’exclusivité dans les mains de Mme. Polly Ferman.
  • Elle est sans doute la première pianiste à consacrer à autant de nombres de compositeurs, des pleins récitals en choisissant pour chaque récital, un choix admirable pour lequel elle apporte quelque chose qui affirme le timbre et le ton: l’équilibre, presque magique, de la structure et de la sonorité et tout d’abord, cette chose ineffable sous ses doigts, qui est cette sonorité et qui est en même temps, ou du même coup, comme l’évidence monumentale et impérieuse d’une architecture du son, de sa beauté et son harmonie. Cette qualité de sonorité insinuante et irréfutable, Polly Ferman ne l’a pas cherchée… elle l’a méritée puisqu’elle est le fruit de sa ferveur, sa passion et précisément le talent exquis d’une grande virtuose. 
  • Spring Concert
  • Le jeudi 12 Avril ce n’est plus un Quatuor qui joue seul et auquel le public a eu affaire mais un Quatuor à cordes qui se transforme en Quintette avec la présence du grand pianiste et de l’Eminent chef d’orchestre de Amman Sidiq qui est venu spécialement de Jordanie pour accompagner les musiciens du «Quatuor musique del tempo» et entamer son œuvre remarquable l’Elégie, des ses courbes musicales à travers le dialogue des instruments.
  • Le piano permet une combinaison intéressante des sons et Sidiq a pu les mélanger parfaitement avec sa brillante performance qui ajoute une plus grande dimension de pouvoir et des sentiments plus chaleureux dans les parties plus calmes de la pièce, créant des approches courageuses de l'harmonie, du rythme et spécialement de la mélodie qui fait une suite à sa fulgurante nature de pianiste virtuose, avec un esprit innovateur de compositeur. Sa musique est fermement ancrée dans les structures des techniques de composition qui l'ont aidé à être l'un des plus grands musiciens de nos jours.
  • Quant au Quintette en Sol mineur de Max Bruch pour piano et quatuor à cordes, la beauté du premier mouvement Allegro molto moderato, n’avait d’égale que sa difficulté d’interprétation à laquelle le Quintette formé par Sidiq au piano, Michel au premier violon, Brin au second violon, Sam à l’alto et Anastasia au violoncelle, a donné toute sa valeur tant pour la qualité de l’interprétation que par l’intensité de la réplique. Le deuxième mouvement Adagio suit aux notes pétillantes, le Scherzo allegro molto qui suit tandis que le quatrième mouvement FINALE allegro agitato terminant cette œuvre, montre la valeur incontestable de ces musiciens qui nous donnent une heure de musique de la plus haute performance.
  • «November 22» and «Wedding» pour clarinette et Quatuors à cordes composés par Kinan Azmeh.
  • "Flamboyant avec succès". (Los Angeles Times) Le lauréat joueur de clarinette syrien, Kinan Azmeh combine sa formation classique solide à l'école Julliard School où il a fait son doctorat avec une compréhension et une appréciation profondes de ses racines et cultures. Il jongle avec différents genres, du classique, au jazz, à la musique électronique et arabe. Il joue avec son ensemble de New York. Il vient spécialement au Liban pour accompagner le «Quatuor Musique del Tempo» au Selecteum des Arts et des Sciences dans deux œuvres de ses compositions: November 22 et Wedding.
  • Un succès considérable est venu couronner ces belles œuvres «Elégie» et «November 22» et «Wedding» des deux grands compositeurs Mohammed Uthman Sidiq et Kinan Azmeh auquel s’ajoute un troisième compositeur Brin Hashim, qui avec «Pain and Love» termine avec une mélodie nostalgique qui nous emporte et nous fait oublier la douleur de l’amour et le temps qui passe.
  • Dans l’Elégie, Brin au premier violon, et Michel au Second violon se donnaient la réplique tandis que l’alto et le violoncelle soutenaient le mouvement avec ces notes basses qui font la beauté de tout l’ensemble avec le piano.
  • Ce centre culturel qui ne se contente pas seulement de se consacrer à réunir les grands artistes, les mélomanes, les penseurs et les passionnés de la culture mais son objectif principal est de faire découvrir aussi au public Libanais et celui de partout dans le monde, les grands compositeurs aussi qui viennent performer dans son local qui est et qui sera toujours le pilier même du fondement de la structure culturelle et sociale libanaise et le lieu du rencontre des grands.
  • Pour rendre hommage aux trois grands interprètes et compositeurs Mohammed Uthman Sidiq, Kinan Azmeh et Brin Hashim, un trophée du Selecteum des Arts et des Sciences leur sera attribué.
  • Un vin d’honneur suivra la séance musicale à la salle Wassily Kandinsky au troisième étage. 
  • Music Through the Ages
  • The Universal Cultural Center "Selecteum of Arts and Sciences", under the patronage of His Excellency the minister of culture, engineer Gaby Layoun, held a concert of Quatuor Musique del Tempo on Wednesday, February 22, 2012 at 8:30 pm at the selecteum's Johann Sebastian Bach Hall in Kaslik.
  • The ceremony was attended by the representative of the minister of Culture, Mrs. Dima Raad, the ambassador of Spain to Lebanon, Mr. Juan Carlos GAVO, the diplomat at the embassy of Japan in Lebanon, Mayoko Shimokawa, in addition to a large crowd of political, cultural and artistic figures encouraging classical music.
  • The program entitled” Music Through the Ages was a quartet piece by the composer Joseph Haydn and another quartet piece by the composer Bedrich Smetana and by Alexander Glazunov.
  • The concert was followed by a reception at Selecteum's Wassily Kandinsky Hall.
  • Intonation of the Heart
  • Le jeu de Waleed Howrani reflète son individualité; il a frayé un nouveau chemin à l’art pianistique comme si le piano lui a confié tous ses secrets!!!
  • Son toucher est d’une grande finesse et d’une extrême douceur et parfois, c’est le jeu éruptif ; pourtant, sa dynamique est très riche en couleurs à nuances raffinées et quand il interprète Chopin, il devient le plus grand poète du piano, déborde les limites du romantisme où les effets pianistiques ont la résonnance d’un «Orchestre latent». Bouleversant la technique de son instrument, Howrani révolutionne le jeu pianistique et le dote d’un vocabulaire nouveau ; dans ce but, il a su innover d’abord l’indépendance absolue des doigts. Son toucher amplifie les effets dynamiques et la durée des sons, sans jamais se préoccuper de la théorie du jeu du piano, car il n’obéit qu’à son intuition et c’est comme s’il jette les bases du jeu naturel en élargissant les possibilités de l’instrument pour fonder des techniques modernes du piano, ce qui lui permet ainsi de réaliser ses innovations dans ses compositions et ses trouvailles.
  • Son interprétation donne souvent l’impression d’un jeu au caractère orchestral car il brode de brillants passages sur une mélodie expressive riche de ses tonalités et de ses textures harmoniques, en accentuant les bases fondamentales.
  • C’est certainement son génie qui le guide, un génie des plus séduisants et des plus variés!!! 
  • Christmas Concert
  • Sous le Haut Patronage de son Excellence Mr. le Ministre de la Culture l’ingénieur Gaby Layoun, représenté par Mme. Dima Raad, le Selecteum des arts et des Sciences a présenté le 8 décembre 2011 à la salle «Johann Sebastian Bach» la mezzo-soprano Angelika Wied performant avec le Quatuor musique del tempo au concert intitulé «Christmas Concert». Un vin d’honneur a eu lieu à la salle «Wassily Kandinsky».
  • La voix dorée qui vient d’une autre rive
  • L’invitée d’honneur du Selecteum des Arts et des Sciences, l’Éminente mezzo-soprano Angelika Wied avec son âme dynamique et poétique… c’est la vocation, c’est le don et la fierté de très peu d’interprètes élues avec ce timbre, ce rayonnement physique spiritualisé, Angelika explore et préfère la recherche qui interroge, approfondit et éprouve… On l’a vu débarquer avec une équipe allemande sur les éditions diverses et les variantes, elle savait tout de Gluck à Bach, de Haendel à Brahms sans citer les autres, ce don l’avait parée à son âge tendre.
  • Éclatante dans sa génération de chanteuses lyriques, le chant allait de soi. Naturelle avec cette évidence qui n’émane que des plus douées et des plus artistes surtout ce naturel de scène et ce fini d’instrumentistes en elle qui ne faisaient qu’un, puisque le violon fut sa première passion mais la nature l’a faite pour le chant, réalisant plusieurs rôles, épousant tour à tour les différents caractères… L’inné d’une grande soprane et son acquis, plus grand encore… ce merveilleux naturel, cette expansion se dévoile par la pureté, la sonorité de la voix et la poésie des mots. Cela nous révèle dans sa stature rayonnante, cette flamme, ce charme et ce talent vocal naturel le plus complet qui ajoutent aux dons éclatants de la nature l’art, que les poses et les raideurs de l’opéra séria, seront transcendées par ce naturel et la lourde discipline, passe au-dessus.
  • Une voix qui a tout… l’élan, la couleur et l’instinct de la ligne et le fil di voce intense pour les longs phrasés tenus et surtout ce magique rapport aux instruments. Une voix dont la sensibilité réagit à la moindre stimulation émotionnelle sans que la ligne perde son légato idéal!!!
  • Voilà donc Angelika capable d’aller plus loin puisque la prestigieuse école de Cologne l’avait éduquée à la loi des difficiles rôles qu’on lui réclamait, cherchant en elle, l’élan de la voix avec sa pureté et sa sonorité merveilleuses et suggestives, modèle d’intonation et de diction même face aux cordes des meilleurs virtuoses… Elle est celle qui sait sculpter le souffle…
  • Summer Concert
  • Selecteum des Arts et des Sciences a présenté le Quatuor musique del tempo au SUMMER CONCERT, hommage à ST. FRANÇOIS D’ASSISE, le mercredi 29 Juin 2011, à la Cathédrale St. Louis des Frères Capucins jouant le Quatuor de piano en la mineur de GUSTAV MAHLER Nicht zu schnell, le quatuor à cordes, opus 13 en la majeur de Félix MENDELSSOHN-BARTHOLDY et le Quatuor de piano, opus 1 en la mineur de JOSEF SUK. Une réception a suivi le concert.
  • Pour rendre hommage à Saint François d’assise, le «Quatuor musique del tempo» nous a offert les charmes d’un métissage sonore, cette combinaison de sons hétérogènes qui colore subtilement l’altérité du dialogue et qui explore en profondeur les voix de l’âme. Un dialogue qui exprime la diversité et qui est nécessaire à la personnalisation de l’un dans le tout; ce sont ces voix intérieures, ces voix de l’âme dialoguant merveilleusement à travers un répertoire choisi avec passion, est considéré comme un genre prestigieux pour pouvoir se dire pleinement maître de leur métier dans une ambiance de recueillement solennel.
  • Dans le quatuor opus 13 en la mineur de Mendelssohn, l’adagio se rattache à ce profil, son contour mélodique n’étant pas éloigné à une transposition près de celui de l’allegro vivace qui précède un adagio non lento vibrant de résonnance. Quant à l’intermezzo qui est d’une mélodie exceptionnelle et où le compositeur recherche l’homogénéité de plus en plus grande de l’expression musicale, se termine par l’allegro et par l’adagio dans un sentiment de permanence et de stabilité par rapport à un point fixe caractéristique à la linéarité du discours.
  • Gustave Mahler quatuor de piano en la mineur, est une invitation à la découverte d’un des plus admirables répertoires du compositeur.
  • Quant à Josef Suk dans son quatuor de piano opus 1 en la mineur nous offre une incitation à l’écouter. Ce quatuor qui est rarement joué et dont les interprètes ont exploré merveilleusement et savamment de nouveaux territoires avec une expression musicale lyrique qui n’est que cette conversation aimable ; un genre vivant que Suk en a su porter l’essence la plus précieuse de la pensée musicale qui est le quatuor et qui est le seul dans son œuvre.
  • The Bicentenary of Liszt
  • Le Bicentenaire de Liszt au Selecteum des Arts et des Sciences, au concert de piano par Tatiana Primak Khoury, le Jeudi 19 Mai 2011, à la salle «Jean-Sébastien Bach.»
  • La Ballade nº2, revient à la riche éloquence de Liszt. C’est la plus belle de ses deux ballades. Après le dernier emportement du thème principal, la Ballade s’achève dans la sérénité, alternative délicate de la conclusion originale quelque peu hyperbolique de Franz Liszt.
  • Sonate en si mineur, chef-d’œuvre pianistique de ce dernier. La Sonate en si mineur, marque une étape importante dans l’histoire de la musique c’est une œuvre qui concile les élans séculiers et religieux entre lesquels Liszt hésita toute sa vie. Quant à Tatiana Primak Khoury, condense brillamment en une soirée, les trois œuvres du prodigieux virtuose, en un seul récital foudroyant et avec une virtuosité dont la beauté du son nous communique ce transport, comme une ferveur unique, au Liszt qu’elle jouait et l’admiration qu’elle portait pour ce grand novateur de la musique.
  • Son essai sur Tannhäuser est une analyse du contenu poétique et un commentaire proprement musical; c’est comme un jugement de synthèse sur la nouveauté et la signification de l’œuvre. Cette œuvre est un modèle du genre, un raffinement de délicatesse qui l’incita à composer cette transcription espérant ainsi favoriser un culte wagnérien à Paris.
  • On ne peut que lui donner le titre: « Citoyen de l’art universel. »
  • Tangos, Habaneras, Milongas
  • Madame Dédé Hourani, présidente du centre culturel Selecteum des Arts et des Sciences, en collaboration avec l’ambassade de l’Uruguay a eu l’honneur d’inviter pour la première fois au Liban Polly Ferman la fameuse pianiste surnommée «Ambassadrice de musique des trois Amériques» afin d’organiser une soirée musicale ayant pour thème “Tangos, Habaneras, Milongas’’.
  • Etait au rendez-vous une présence distinguée réunissant les ambassadeurs dont l’ambassadrice des Etats-Unis Maura Connelly ainsi que ceux de la Cheque, du Chili et notamment celui de L’Uruguay SEM Dr. Jorge Luis Jure, ainsi que les doyens des universités et les personnalités appartenant au monde de la media et celui des arts, à ne pas oublier les mélomanes de la musique classique.
  • Le public a beaucoup apprécié le programme exceptionnel joué par Madame Ferman où les pièces étaient réparties entre trois types de la musique latine: le Tango, le Habanera, et le Milonga. A Mentionner que la pianiste tenait à expliquer brièvement l’histoire de chacune des pièces choisies. A savoir par exemple que le Tango est d’origine africaine. Une des plus belles pièces jouées fût celle du compositeur argentin Astor Piazzolla au titre ‘’Adios Nonino’’ dans laquelle il a fait ses adieux à son père, et pour le même compositeur Polly a joué Oblivion (musique Milonga) qu’elle a dédiée à Madame Hourani présidente du Selecteum. L’audience fût réjouie des œuvres variées d’autres compositeurs dont l’américain Luis M. Gottschalk, les français Emmanuel Chabrier et Darius Milhaud, le brésilien Ernesto Nazareth, l’espagnol Isaac Albeniz, l’Argentin Daniel Binelli ainsi que ses compatriotes Louis Cluzeau Mortet, Pintin Castellanos. Comme si ses doigts se confondaient avec les touches blanches et noires jusqu'à la fusion presque totale, Polly Ferman a excellé dans l’interprétation de chaque mouvement du répertoire choisi pour cette soirée inoubliable qui fût clôturée par la fameuse pièce La Cumparcita composée par L’uruguayen Mattos Rodriguez et considérée comme l’hymne national de l’Uruguay.
  • La célébration de la fête des 200 ans de l’Emancipation de l’Uruguay a été célébrée pour la première fois en dehors de l’Uruguay et au Liban.
  • Cet événement remarquable fût couronné par la célébration la fête des 200 ans de l’Emancipation de l’Uruguay a été célébrée pour la première fois en dehors de l’Uruguay et au Liban. Ceci était bien explicité par le mot de l’ambassadeur Dr. Jure alors qu’il coupait le gâteau ayant la forme du drapeau uruguayen : « nous voici réunis tous ensemble pour fêter le bicentenaire de l’Uruguay pour la première fois en dehors du pays avant de le fêter localement ». Puis il ajouta sa reconnaissance aux libanais et spécialement à la présidente du centre culturel Selecteum. L’ambassadeur de l’Uruguay au Liban a remis une plaque de reconnaissance à Madame Dédé Hourani. Cette dernière a confirmé l’aveu du Dr. Jure où il avait déclaré la continuité de la collaboration culturelle entre l’ambassade uruguayenne et le centre du Selecteum des Arts et des Sciences.
  • Malgré les circonstances fâcheuses actuelles voici les portes du Selecteum ouvertes aux libanais et visiteurs, car tenant à divulguer la culture : le seul oxygène de l’évolution sociale.
  • L'Offrande Musicale
  • Selecteum des Arts et des Sciences a présenté le « Quatuor musique del tempo » dans « L'OFFRANDE MUSICALE » Concert le mercredi le 19 janvier 2011 à 8 H 30 au Selecteum, salle «Johann Sébastian Bach».
  • Jean-Sébastien Bach, Brandebourgeois Concerto nº3 : Ce concerto se caractérise par la diversité des formes musicales employés dont les musiciens jouant avec beaucoup de vigueur et de passion étaient bien à la hauteur des exigences de Bach, en particulier dans leur extraordinaire prestation à leurs instruments à cordes surtout dans le premier mouvement « adagio ». L’Allegro, joué merveilleusement par le quatuor nous a fait retrouver les charmes de la musique baroque par cette reconstitution d’époque à la fois équilibrée et émouvante et qui témoigne du talent des musiciens pour les changements d’atmosphère, en particulier ce dernier mouvement qui est empreint de subtilité très fine.
  • Les quatre suites orchestrales, Bach les appelait « ouvertures » parce que chaque suite commence avec une ouverture dans un style Lullien, c'est-à-dire Français, quant au nº3 in D qui comme son second mouvement a son aria qui n’est qu’une noble mélodie comme l’arrangement familier du violon avec le « aria for the G string. »
  • Franz Joseph Haydn, Introduction. Maestoso ed adagio : Haydn possède l’âme saine et forte; il a le secret d’une reposante sérénité, car il possède l’âme saine et forte ; il a le secret d’une reposante sérénité, car il possède la certitude sans trouble de la vérité religieuse. Haydn demeure le maître en même temps l’homme le plus admiré d’un art parvenu à son sommet surtout pour ses quatuors admirables chefs-d’œuvre de l’esprit humain, d’un art celui du XVIIIe siècle. Il en a été de même pour les sept paroles du sauveur qui reflète les raffinements de la pensée musicale et le sentiment de reconnaissance profonde, adressé au Christ et dont la poésie s’exprime déjà avec une vigueur originale interprétée par les musiciens du Quatuor et qui s’imprègnent aussi de ce sentiment de recueillement et en même temps soutenu par une interprétation d’une maîtrise et d’une force exceptionnelle. Quant à l’adagio qui a été joué superbement et a charmé l’audience par son élément dionysiaque.
  • Johann Pachelbel, Canon in D : il composa son célèbre Canon, œuvre prévue pour trois violons et basse continue mais les interprètes l’ont transformé en Quatuor avec leurs instruments premier violon, deuxième violon, alto et violoncelle et ont réussi merveilleusement à développer les variations de plus en plus complexes sur ce thème, interprété avec un plaisir évident et une virtuosité exquise.
  • Dans le Salut d’amour l’art de Fauré comme celui de Verlaine est à la fois allusif et précis, sensuel et pur, il tend à traduire des sentiments humains avec des accents plus qu’humain. Salut d’amour en est l’exemple mais l’impression générale donnée par cette œuvre malgré la diversité du ton et la profonde unité rythmique, est d’une grande beauté d’écriture et d’une tendresse désarmante où le premier violon expose doucement cette ambiance nostalgique au long dialogue avec le violoncelle, les violons et l’alto en une forme passionnée.
  • L’adagio nous rappelle la philosophie et la pensée de Haydn : «instituer un ordre dans les choses», c’est bien là qu’est la grandeur du but poursuivi par Haydn et cet adagio en est l’exemple.
  • Waleed Howrani
  • Nombreux étaient les mélomanes à prendre, ce soir-là, la route du Selecteum des Arts et des Sciences à Kaslik et pour cause! WALEED HOWRANI, détenteur de plusieurs prix et distinction, y donnait un récital de piano où étaient programmées des œuvres de Beethoven, Ravel, Chopin, Albéniz et une composition de l’artiste.
  • Entre les mains des invités, 350 répartis entre les salles Wassily Kandinsky et Jean Sebastian Bach, un petit livret où ils pouvaient apprécier, notamment, un article signé Dédé Hourani, présidente du Selecteum des Arts et des Sciences, consacré à Waleed Howrani et écrit en anglais, français, arabe, sous le titre: "Si Rodin était là, il aurait dit..."
  • Enfin, place à la musique écoutée, religieusement, dont voici la présentation: Sonate nº9 en mi majeur, Op.14, nº1. Composée à la fin de sa vingtaine année, après la renommée Pathétique, Ludwig van Beethoven écrit cette sonate dans un cadre moins ostentatoire que la précédente. Le second mouvement grave, mais agité, est précédé par un Allegro avec un sujet principal joyeux et un développement galant. Le Rondo -un thème répété en alternance - conclut la pièce avec dextérité et enjouement.
  • Sonatine, par Maurice Ravel est largement basée sur de l'artisanat fastidieux, allié â des qualités lyriques. Elle n'a pas été acclan1ée au début. Malgré son titre diminutif et sa brièveté relative, elle a progressivement trouvé sa place dans le lexique du répertoire pianistique. Ses mouvements extérieurs rapides se marient avec un menuet de channe, dont les échelles modales exotiques transportent l'auditeur à des terres étrangères pleines de couleur.
  • Ballade n°3 en la bémol majeur, Op. 47; Nocturne en ré bémol majeur, Op. 27; Etude en do dièse mineur, Op. 10, n° 4. La Ballade est, peut-être, la plus populaire parmi les 19 genres de Frédéric Chopin. En quelques mots, c'est une histoire romantique de style libre sans paroles. Le Nocturne avec sa force douce et sa poésie est, sans doute, l'œuvre qui reflète le plus le caractère de Chopin. L'Etude qui suit, démontre la virtuosité aux traits héroïques. Cette sélection commémore le 200ème anniversaire de la naissance du compositeur.
  • Cordoba par Albéniz suggère un nocturne qui, selon le compositeur, "rappelle le son des anciens instruments des Maures joués dans un jardin sous les palmiers". Albéniz a fortement mis l'accent sur la musique folklorique d'Andalousie. Il pourrait être décrit comme le Liszt espagnol qui était le premier compositeur important à faire usage du matériel folklorique en musique seulement au piano.
  • A Bach et au-delà explique Waleed Howrani est une nouvelle œuvre dont le thème "Bachesque" m'a été suggéré il y a quelques années par l'éminent compositeur libanais, Ziad Rahbani, en espérant que je le développe. L'idée de me lancer dans la production d'une œuvre orchestrale aussi complexe autour de ce thème, ainsi qu'un peu de procrastination, ont temporairement interrompu le projet.
  • "A la ré-examination de la mélodie l'an dernier, j'ai décidé de l'écrire pour piano solo, principalement parce que je voulais rendre hommage au style clavier de Bach, ainsi que des éléments de jazz qui sont compatibles avec l’admiration de Ziad pour le genre. Au lieu d'alterner entre les deux, j'ai décidé d'emmener, progressivement, l'auditeur dans un voyage du temps de Bach au Boogie-Woogie du XXième Siècle". 
  • Dialogue avec l’invisible
  • Selecteum of Arts and Sciences has presented November 3, 2010 his String Quartet Quatuor music del tempo in the concert entitled "Dialogue avec l’invisible" at “Johann Sebastian Bach” Hall.
  • MOZART
  • Quartet nº17 K.458 is one of six quartets that after a nine-years silence, Mozart starts again to compose following a new musical revelation of opus 33 of Joseph Haydn quartets. Mozart then decided to dedicate him: "a father having resolved to send his sons in the world found that he was meant to entrust them with a touching affection to the sponsorship of a big and famous man Haydn, delightfully he was his great friend. They are described by him; as a result of a long and arduous work. "
  • "In the allegro vivace assai this Quartet, in which was discerned a new passion with an unpretentious simulation and a rare expression of perfection and a synthesis in a drunken of light and control.
  • Concerning the Menuetto - Moderato, fully developed with the expansion of the form, include a strange ascending chromatic range where each note is followed by an expressive melody counterpointed by the overthrow of the chromatic range.
  • And then this sublime Adagio, this theme that reflects a deep joined concern, affecting and tender, leaves the Viola to speak, only the support to the melodies remain somehow regular.
  • Allegro assai begins with the wonderful theme, with a net and plastic profile, and then appears the second theme concluding pianissimo, on a breathtaking beauty that intersects breathtaking. It is true that Mozart seems to have retained the appearance of the technical performance of Haydn and he is proud of it.
  • MENDELSSOHN
  • if youth symphonies still feel clearly "the school" even though they are evidence of a remarkable facility for a boy of twelve years old, Mendelssohn quartets and in particular that of the op. 44 No. 2, remain a miraculous masterpiece whose reputation is not usurped at all. It's like the archetypical of the Mendelssohnian genius as well as his famous octet.
  • This Quartet begins with the Allegro appassionato assai, a superb echo of the soul of Mozart which is an exceptional managing, enlightening the genius of its author.
  • Allegro di molto, which follows the superb Scherzo, appeal the Rondo and get distinguished by its particularly dynamic style: an energetic repetition, a triplet verse form and always lyrical and the final chorus of a gleaming beauty.
  • The Andante begins with real touching impulse of tenderness, while in the "Presto agitato" it reveals a new and feverish passion in its rhythm and at times evokes the accents of "The Musical offering" of Bach.
  • The Quartet ends with the grand master of music J. Sebastian Bach and "Jesus meine Freude" and its arousing beauty of joy and light gleaming and what glees the heart comes at the end of the evening with a score of happiness and was dedicated to the honor of the President of “Selecteum des Arts et des Sciences” Dédé Hourani.
  • Sense of Joy
  • « Selecteum des Arts et des Sciences » a présenté son “Quatuor musique del tempo” au concert “Sense of Joy” qui a eu lieu au Selecteum à la salle “Jean Sébastien Bach” le mercredi 6 octobre 2010, 20:30 au programme Haydn et Dvorak.
  • Le Quatuor à cordes opus 33 nº5 de Franz Joseph Haydn qui est vraiment nouveau et révolutionnaire, est un des plus beau, c’est que Haydn veilla très soigneusement à ce que ces nouvelles œuvres fussent écrites d’une manière nouvelle et particulière et c’est la manière habile dont le compositeur allie son savoir, somme toute impressionnant, à un langage populaire facilement compréhensible. Or cet Opus 33 nº5 débute en ré majeur et cette œuvre nº5 conserve l’ordre plus conventionnel de mouvement rapide, mouvement lent, scherzo et finale ; mais l’innovation peut-être la plus saisissante réside dans le caractère des mouvements lents qui possèdent souvent une intensité rapsodique plein de désir, du fait de la texture bien plus serrée de cet Opus 33 où l’on trouve une émotion forte et dense.
  • Le Quatuor à cordes opus 96 nº6 dit « Américain » de Antonin Dvorak, deux œuvres qui font appel à des mélodies indiennes et à des négros spirituals et l’opus 96 nº6 est parmi ses œuvres les plus appréciés que Dvorak a écrit après « la Symphonie du nouveau monde », durant son séjour en été à Spillville en 1893, un petit village à population substantielle tchèque. Ce quatuor qui est une exaltation de toute beauté conçu après huit mois de travail assidu, n’est qu’une ostentation qui honore les événements sociaux et que Dvorak a écrit une fois qu’il a décidé de prendre un peu de repos avec ses compatriotes. Le quatuor en F majeur, reflète ces moments de bonheur avec un esprit à la fois tendre et lyrique comme si on imagine le compositeur est entrain de révéler dans la beauté de ce nouveau milieu en même temps, sa nostalgie et son impatience de rentrer dans son pays. 
  • Beauty and Romance
  • At Selecteum of arts and Sciences, "Johann Sebastian Bach" Hall, the "Quatuor music del tempo" has dedicated his concert (to "the Eternal present" Al Naqib Melhem Karam.)
  • Program:
  • Schubert: the String Quartet op. Posth in D minor
  • A serious work, which is a kind of the 'Claudius' poem that had inspired the lieder the same comment title seven years earlier.
  • The dramatic character of the rhythm of the first movement with a persistence of cell three crochets in triplet followed by a black, we still find the implacable destiny Beethovenian and leads to the andante con moto, in soothing clear tone of the sub dominant; Schubert introduced here the melody of the lied: the party supporting the narrative will be then presented in five variations.
  • Strange melody, extraordinarily static, whole rhythm-based one white, two black. The fourth variation in major mode brings a profound serenity, evoking the death, haven of peace in its beginning. The third and fourth movements finish this comment by violent revelation.
  • This Quartet seems written by necessity in which Schubert included his reflection on a theme (death) that runs off him hardly. But the interest of expressive content adds one new instrumental writing. Multiple exchanges between the instruments, they often, in an unusual grouping (second violin and viola), the disruption of their balance in the range (for example, the passage of the cello above second violin in the second variation of the andante), the use of the four instruments on a piano (end of the andante) triple nuance, introduce remarkable colors and then install this concern of expression forming the fundamental intent of the composer.
  • Borodin: the String Quartet nº2 in D major
  • This Quartet with its allegro moderato which flows with rhythms that follow and mix announcing a dazzling sound of pursuit, reminds us a few intonation of his sublime 'in the steppes of Central Asia", as well as in the Scherzo in the strong and the admirable fall musical tone which straightens the spirit, giving a certain force and fed sensations of this beautiful nature and strong dynamism and accentuated, much energy that reached its height with the breath of Russian romanticism which evolving us away from our daily world; and those violins, Viola and cello integrate and permeate to the end of a slow movement, ending quietly with a tempo of a great freshness and a song where the dancing chorus that characterizes the charm of this work is completed with a fortissimo variant and subtle, maintaining a large unit by the great Chemists that enables modulations of infinite variations, from which was born this systematic technique of well-structured rhythms.
  • Nocturne expresses a world..., is like a gentle and cheerful pastoral where starts the emotion again, the suggested feeling and the incommunicability coexist to reveal soft shades and images that communicate the freshness of a gentle night, we note that this suggestive power is because of this fast melodic and intense dialogue with an ascending echo which decreases after a while. This is the most descriptive virtuosity music dial tone of all, because it has this heroic cadence which continues with disruption; Two themes with their measures but vary from other movements; and that's the chemist who doses well his colors of musical tones which enables a clean virtuosity of his own which reminds us the a grand mathematician master of the music "J.S. Bach".
  • This last movement, finale, inspire us again romanticism from the beginning with the same force, tenderness and strength to the last moment of this finale. 
  • The Museum of IRAQ
  • Conference "Museum of IRAQ" by Dr. Munir TAHA at the Selecteum of Arts and Sciences on Tuesday 11th of May 2010, 8:30pm, "Johann Sebastian Bach" hall.
  • Dr. Munir Taha, Scientist with an outstanding international reputation, Director of the Museum of Iraq, Director of the archaeological explorations and state organization of antiques and inheritance, PhD. from the two famous universities of Cambridge and New York, Director-General of the Directorate General antiques Museum North to the western regions of Iraq, Director of investigations and the preservations at UNESCO, author of several archaeological works, Explorer of Julfar and Ommana... as well as the most unknown of Arabia and prehistoric periods of Qatar and the excavation of Tell Japanese Senqur in the Hemreen Dam.
  • This exceptional Conference made at the “Selecteum of Arts and Sciences” meticulously traces the history of the Iraq Museum, revealing for the public the Sumerian civilization born in Mesopotamia, South of present Iraq, here are some five thousand years that as early as the third millennium before Christ the Sumerians had invented writing on tablets where on some, was found curiously strong documents deposited as kinds of bilingual dictionaries with Assyrian words. Those Sumerians also founded the first city-states and had formulated the first code of laws, and gave their first literary expression to the myth and the epic with an exquisite lyricism.
  • The culminating issue of this Conference was backing up a large part of the archaeological treasure rescued by Dr. Munir Taha, and the rest of this treasure batch was again stolen and dispersed or in tatters, between Assyrian museums in New York, Philadelphia, London, the Louvre, Berlin and others. Let us not forget to mention the important part of the Conference about the famous wall of Babylon, transported under the auspices and under the direction of Dr. Munir Taha and some directors of museums in Germany to be rebuilt and typically reproduced in a Museum in Berlin named PERGAMON, specially constructed for this wonderful wall that was made and composed of semi-precious stones that were carefully transported from Baghdad to Germany. This wall has been built during the latest part of the reign of Nebuchadnezzar II.
  • In initiating this ongoing challenge which is the backup of the archaeological heritage, Dr. Munir Taha should incorporate two constraints, initially the return of peace to this region of the world and the compliance of all regulations concerning the preservation of this colossal archaeological heritage of Iraq and that was as the most resounding symbol of their ancient intellectual prevalence as the use of their idiom like arduous and literary written language that scientists begin to decrypt even thou the tireless linguistics, the hymns, the prayers, the mind games, mythological narration and administrative and economic texts.
  • L’Écho du Temps
  • «Selecteum des Arts et des Sciences» présente le “Quatuor musique del tempo” au concert “L’Écho du Temps” qui a eu lieu au Selecteum à la salle “Jean Sébastien Bach” le mercredi 24 mars 2010, 20:30.
  • Wolfgang Amadeus Mozart: Quatuor en Ré mineur, K421
  • I- Allegro – Malgré sa dénomination, le premier mouvement conserve un tempo modéré. La courbe mélodique et le monde bien expressif évoquent l’ère baroque et le pathétique noble de Pergolèse.
  • II- Andante – Une mélodie élégiaque se déploie dans un rythme de berceuse d’une douceur un peu douloureuse, quant à la brève partie centrale, s’exalte et s’assombrit tout d’un coup vers des tons mineurs.
  • III- Menuetto allegretto – Les rythmes énergiques expriment une noble vigueur. Un solo du premier violon accompagné par les autres instruments en pizziccati, à la manière d’une sérénade, bref et souriant rayon de soleil trop tôt évanoui.
  • IV- Allegretto ma non tropppo – La première variation revêt le thème de riches ornementations au premier violon. La seconde annonce les découvertes rythmiques de Beethoven et de Brahms. Le pathétique troisième laisse la première place à l’alto, seule la quatrième variation nous offre une paisible oasis d’un calme céleste troublée dès la seconde moitié par le retour du rythme en triolet puis s’élance (le piu allegro) qui s’élève jusqu’à un fortissimo passionné ; et l’ultime tierce majeure annonce tout de même la victoire finale et de la volonté.
  • Ludwig Van Beethoven : Quatuor op.95 en fa mineur
  • I- Allegro con brio – Ce morceau débute d’une façon puissante. Un furieux unisson des quatre voix éclate brusquement comme un cri de révolte et de colère sur un rythme violent. Un deuxième thème, de rythme ternaire, semble apporter l’apaisement à cette première partie.
  • II- Allegretto ma non troppo – Après les colères de l’Allegro, l’Allegretto respire le calme, un calme triste entrecoupé de soupir. Il forme en effet un véritable « pont » entre les deux périodes dans lesquelles on a réparti l’œuvre entière du Maître.
  • III- Allegro assai vivace, ma serioso – Un accord de septième diminuée, et tout à coup, c’est le combat. Sans interruption surgit l’Allegro assai vivace, dans lequel l’énergie beethovenienne, endormie un instant dans le paisible andante, se réveille farouchement. En sol bémol, résonne un chant triste et solennel. Beethoven a choisi ici la forme d’un choral figuré. Une affirmation de croyance, à la manière de Haendel ou de Jean-Sébastien Bach, éclatait dans le choral du Prestissimi en ut majeur de l’op. 74.
  • IV- Larghetto espressivo. Allegretto agitato – D’une sensibilité toute moderne, elle fait penser à la Symphonie en ut de Schumann et peut-être aussi un peu à Tristan. De l’indécision et du trouble, l’Allegretto s’élance, dramatique. Une lutte fiévreuse s’engage, qui s’éclairera vers la fin comme un chant de triomphe, frappe par le rappel évident qu’elle suggère de l’Ouverture d’Egmont écrite quelques mois auparavant.
  • Le Trophée de «Selecteum des Arts et des Sciences» a été présenté au Professeur Pierre Riscallah pour l’honorer en regard de ses réalisations et sa performance dans le domaine de la musique classique.
  • La Década Concierto
  • Selecteum des Arts et des Sciences a présenté le 20 Janvier 2010 le Quatuor musique del tempo au «Decade’s Concert»
  • Analyse du 1° Quatuor Op. 18 N° 1 en Fa majeur.
  • 1- L’allegro con brio. Exposé d’abord à l’unisson, avec une plasticité singulière, il se tord ou se déforme; il se contracte encore ou se détend ; il chatoie et se colore de mille nuances, reflets de mille sentiments. Il peine, il halète, puis rit et plaisante; il rêve, ou bien entre résolument dans une discussion sérieuse.
  • 2- Adagio affettuoso ed appassionato. Beethoven révèle que ce mouvement lui fut inspiré par la scène du tombeau de Roméo et Juliette.
  • 3- Scherzo Allegro molto ressemble au menuet de Haydn, il est parmi les scherzi de la première manière, un de ceux qui annoncent les étincelants divertissements sonores que l’artiste coulera dans ce moule.
  • 4- Finale.Allegro. Épousant la forme du rondo traditionnelle, ce mouvement est tout entier l’expression d’une grâce jaillissante. Son développement témoigne d’une maîtrise rythmique et d’un charme mélodique conjugués.
  • Analyse du Quatuor à cordes Opus13 en La majeur.
  • 1- Adagio Allegro Vivace. Des mélodies à rythmes syncopés qui se suivent et s’enchevêtrent font la richesse de ce mouvement qui présente une énergie incroyable avant de s’éteindre lentement et de rependre son rythme infernal, laissant apparaître une très belle mélodie. Les instruments dialoguent avec force et tendresse et sont en même temps soutenus par un violoncelle allègre
  • 2- Adagio non lento. Suit une belle mélodie douce et gracieuse qui contraste avec l’énergie du premier mouvement.
  • 3- Intermezzo (Allegro con moto), apparaît comme une ballade d’une grande fraîcheur accompagnée de pizzicati. Une course folle des staccati s’en suit contrastant avec cette belle ballade qui est reprise en finale du 3° mouvement.
  • 4- Presto. Un thème angoissant à allure rapide, puis apparaît un thème doux finissant par des dissonances et de l’angoisse. Un solo du 1° violon apparaît brisant le rythme effréné qui va de nouveau s’accélérant jusqu'à la fin.
  • Autumn Concert
  • A l’Occasion du Bicentenaire du Grand compositeur Mendelssohn-Bartholdy, le centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences» présente le Quatuor «musique del tempo» au Concert d’Automne.
  • En introduction à ce magistral concert, une rétrospective de l’exercice 2008-2009 a été projeté sur grand Écran devant un public enthousiaste et une salle comble passant en revue toutes les activités de l’année passée.
  • Le concert débute par un Quatuor de F. J. Haydn :
  • Dans le Premier mouvement Allegro Moderato une musique délicate et délectable pleine de nuances avec beaucoup de sensibilité accompagnée d’une rythmique très agréable laissant l’auditoire respirer sans être gêné. Puis s’installe un dialogue entre les différents instruments et le rythme du violoncelle laisse éclore une douce mélodie avant de développer le sujet de façon intense.
  • Le Menuet qui suit est une véritable danse de ce 18ème Siècle où l’élégance s’allie à la beauté des formes et au calme des mouvements interprétés par des danseurs virtuels.
  • C’est dans l’Adagio que brille l’art du compositeur, le mouvement lent étant le plus difficile dans l’expression de l’écriture musicale. Le violon laisse apparaître une très belle mélodie toute en douceur et tendresse.
  • La Fugue qui termine ce quatuor est à 2 sujets, très brillante digne des plus belles fugues de J.S.Bach où les voix dialoguent avec beaucoup d’intensité et d’émotion surtout lors de la rentrée du violoncelle.
  • Apres un bref arrêt le Quatuor « musique Del Tempo » nous présente un quatuor de F. Mendelssohn-Bartholdy :
  • Le premier mouvement Molto Allegro Vivace signe un tout autre style que celui de J. Haydn et présente une sensibilité d’une très grande beauté dans ses thèmes faisant alterner un thème à allure très vive qui réjouit le cœur avec un thème d’une grande tendresse pour se terminer d’une façon très solennelle.
  • Le menuet qui suit s’exprime avec beaucoup d’élégance et de sensibilité presque chantant, laissant apparaître un dialogue d’instruments d’une rare éloquence.
  • Dans l’Andante, une belle mélodie accompagnée de Pizzicati vous laisse rêveur et en même temps vous invite à la réflexion : tout ceci sur un rythme lent et agréable à l’oreille pour finir avec un Solo du premier violon accompagné du reste des instruments.
  • Le Presto final avec son rythme d’enfer et son thème d’une grande beauté soumis au dialogue des instruments qui a laissé le public sur sa faim, et qui a demandé un Bis sous un tonnerre d’applaudissements, et c’est le Presto de F. Mendelssohn-Bartholdy qui fut rejoué.
  • Bicentenary of Joseph Haydn
  • «Le Selecteum fête le bicentenaire de Joseph Haydn» avec son Quatuor “musique del tempo”, au Selecteum en mémoire de cet éminent compositeur.
  • La séance a débuté par un documentaire cinématographique rétrospectif des événements de l’année écoulée et couronnée par l’expo « Le Violon Enchanté » des violons rares des grands collectionneurs ainsi que ceux de Arty Iskandarian notre grand luthier, Jost Thöne et Jan Röhrman. Après ce superbe documentaire, un mot de la Présidente du centre Mme. Dédé Hourani, qui est d’universaliser la connaissance et le savoir en diffusant les arts et les sciences à partir de son centre.
  • Au programme : le quatuor opus 17 n° 2 en Fa majeur de Haydn:
  • Dans le 1° mouvement Moderato, le rythme apparaît en premier laissant la mélodie essentiellement rythmique se dévoile progressivement, c’est tout l’art de ce grand compositeur de toujours créer des situations imprévues et des surprises.
  • Le second mouvement laisse apparaître un thème de menuet d’emblée, calme et paisible. Suit l’adagio bien soutenu par le violoncelle laissant au premier violon le soin d’exposer le thème. L’Allegro qui suit soutenu par le violoncelle est impressionnant.
  • Le second quatuor La K 156 en Sol Majeur, admirablement interprété par les musiciens est celui de Mozart: le premier mouvement tempo di Menuetto contraste avec celui de l’opus 17 de Haydn où la mélodie l’emporte sur le rythme. Suit un Adagio plein de majesté.
  • Enfin pour clore cette belle séance, le 3° mouvement un Allegro, plein de joie, contrastant avec le mouvement précédent, très dansant avec des allusions champêtres.
  • Quant à la seconde partie de cette soirée musicale a été jouée à la salle Wassily Kandinsky pendant que le gâteau du premier anniversaire du Selecteum a été servi avec un vin d’honneur. 
  • BEIRUT City of Contrast
  • Une Conférence par Dr. Nina Jidejian au Selecteum des Arts et des Sciences, Salle «Johann Sebastian Bach», le mercredi 1 juillet 2009.
  • Dans “Beyrouth, la ville du contraste”, Nina Jidejian nous offre l’histoire de Beyrouth depuis les temps où la ville était la colonie préférée de Rome en Orient jusqu’à la fin du XXº siècle.
  • Tout au long de son histoire, Beyrouth subit “les guerres des autres”: Pharaons et Hittites, Séleucides et Ptoléméens, Byzantins et Arabes, Seljouks, Croisés, Mamlouks, Ottomans et au XIXº siècle l’intervention des grandes puissances Européennes. La ville est défaite, envahie puis démolie mais toujours renaît de ses cendres.
  • Basé sur l’examen minutieux des textes classiques et médiévaux, aussi bien que sur les plus récentes découvertes, cet ouvrage rassemble toute l’information connue sur Beyrouth et présente un exposé mis à jour qui s’adresse autant au savant qu’au profane. 
  • Spring Concert
  • Les Quatuors du Printemps au Selecteum des Arts et des Sciences.
  • C’est Jeudi 14 Mai en soirée que le Quatuor «musique del tempo» du Selecteum débuta la séance avec un superbe Quatuor de Joseph Haydn l’opus 33 en Do majeur:
  • Le premier mouvement Allegro Moderato ressemble à une délicieuse ballade bien rythmée avec apparition d’un thème à la basse les interprètes ont bien reproduit le style limpide et cristallin de Haydn.
  • Le second mouvement Scherzo Allegretto très dansant avec une mélodie qui fait apparition sous tendant le rythme.
  • Le troisième mouvement, Adagio, joué par les 4 voix, laisse apparaître une lente mélodie suave ; le rythme donne l’impression de «glissements» alternant avec des moments graves.
  • Le quatrième mouvement, Finale Rondo Presto, se fait très agité, mais très agréable à l’oreille. Une interprétation magistrale reproduisant le style du maître d’Esterhazy limpidité, état cristallin, le tout loin des sentiments personnels comme nous allons l’entendre dans le quatuor suivant de Ludwig Van Beethoven.
  • Quatuor n°4 en Do mineur, Opus 18 n°4 du maître de Bonn, qui grâce a l’interprétation sans faille des interprètes a dévoilé le romantisme de Beethoven, exprimant sa souffrance d’une façon pathétique sans nier sa virilité avec ce thème qui apparaît dès les premières mesures du premier mouvement Allegro ma non tanto, qui est repris tantôt avec fougue tantôt avec douceur élevant le public à des sommets jamais atteints du Sensible et du Beau.
  • Le second mouvement Scherzo, par son rythme et sa mélodie vient calmer les appréhensions que le compositeur a réveillé dans le premier mouvement, comme on dit en langage actuel c’est plus «cool» , il en est de même du troisième mouvement Menuetto Allegretto qui reste très Mozartien pour terminer dans le plus pur style beethovénien, le quatrième mouvement Allegro, où Beethoven se retrouve entièrement camouflant sa douleur par un rythme et une cadence très virils, nous laissant réconciliés avec nous-mêmes.
  • Un grand merci aux musiciens du Quatuor «musique del tempo» qui ont su être à la hauteur de leur tâche et de nous avoir procuré d’heureux moments par leur très fidèle interprétation. 
  • La Chanson Francophone
  • «La Chanson Francophone» avec son Pionnier au Liban et au Moyen-Orient, Mr. ELIAS RAHBANI.
  • C'est sous le haut Patronage de S.E.M. le Ministre Tammam Salam que le 7 Mai, Selecteum des Arts et des Sciences a convié l’ensemble des Ambassades, les directeurs générals des ministères libanais et les personnalités de la culture francophone de la musique et de la presse, à un concert-récital intitulé « La Chanson Francophone » avec son Pionnier le compositeur Elias Rahbani.
  • Ce concert important pour la Francophonie comprenait quinze chansons françaises et se fut également l’occasion de découvrir le talent de nos trois grands ténors et soprano, citons : Edgard Aoun, Elliot Ross et Manal Mallat et sans oublier notre grand Elias Rahbani.
  • Le centre culturel « Selecteum des Arts et des Sciences » ne se contente pas seulement de se consacrer à réunir les grands artistes, les penseurs, les mélomanes et les passionnés de la culture, mais ce soir-là, son objectif principal était de faire découvrir au public Libanais de partout dans le monde leur héritage multiculturel surtout celui de la Francophonie qui était et qui le sera toujours le pilier même du fondement de la structure sociale libanaise.
  • Un vin d’honneur a suivi le concert.
  • New Year’s Concert
  • «New Year’s Concert» du Quatuor “musique del tempo” au Selecteum des Arts et des Sciences.
  • Le lundi 5 Janvier ce n’est plus un Trio auquel le public a eu affaire mais un Quatuor à cordes en bonne et due forme, celui de Franz Joseph Haydn qui a retrouvé ici toute sa beauté, pareille à toutes ses œuvres, ciselées comme des bijoux; 4 mouvements qui se sont succédés en tenant en haleine l'audience tant par la beauté des courbes musicales que par le dialogue des instruments. Brin premier violon et Michel second violon se donnaient la réplique tandis que l’alto et le violoncelle soutenaient le mouvement avec ces notes basses qui font la beauté de tout Quatuor. Un succès considérable est venu couronner cette belle œuvre.
  • Quant au Quintette de Félix Mendelssohn Bartholdy, la beauté du premier mouvement, n’avait d’égale que sa difficulté d’interprétation à laquelle la Quintette avec Georges premier violon, Michel second violon, Brin ….. et Sam altos et Anastasia violoncelle, a donné toute sa valeur tant par la qualité de l’interprétation que par l’intensité de la réplique. Mouvement suivi d’un Scherzo aux notes pétillantes ainsi que l’Andante qui suit; tandis que le quatrième mouvement terminant cette œuvre, montre la valeur incontestable de ces musiciens qui nous ont donnés une heure de musique de la plus haute performance.  
  • Christmas Concert
  • «Christmas Concert» du Quatuor “musique del tempo” au Selecteum des Arts et des Sciences.
  • C'est au Selecteum des Arts et des Sciences sis à Kaslik où a eu lieu un concert de musique classique pour fêter Noël, le 27 Décembre 2008. C'est Franz Schubert qui était à l'honneur avec cette musique aux mélodies célestes toute proche de l'étable obscure où est né notre rédempteur. C'est la sonate pour violoncelle dite Arpeggione qui a ému le plus l'audience. Elle était admirablement jouée dans cette tonalité de La mineur exultante de joie et interprétée avec brio par Anastasia El Murr au violoncelle et Anna Mheryan au piano.
  • La sonate pour violon en Ré Majeur pleine de majesté, interprétée avec beaucoup de sensibilité par Michel El Murr au violon et Anna Mheryan au piano ainsi que la Méditation de Thaïs de Jules Massenet qui a accentué le lyrisme de Schubert.
  • Les applaudissements à la fin du concert nous ont donné droit au Cygne de Saint Saëns, qui glissait majestueusement sur l'eau, musique donnée par le violoncelle, alors que le piano réalisait les mouvements rapides du cygne sous l'eau.
  • L’Orient Patrimoine de l’Humanité

    Ce centre, nouveau-né a vu un premier concert de musique classique par le quatuor "musique del tempo", suivi d’une exposition de violons anciens remontant à plusieurs siècles sous le nom «Le Violon Enchanté» et ce soir, c’est le troisième événement, à savoir, le lancement d’un DVD d’une importance majeure, et intitulé «l’Orient Patrimoine de l’Humanite».

    L’auteur de cette œuvre immense en est Mr. Richard Abdallah Chahine. Passionné par la philosophie de l’histoire, antiquaire de métier établi sur la place depuis 1960, éditeur d’une vingtaine d’ouvrages d’art portant tous sur la région ainsi que des portefolios reproduisant les toiles des grands peintres orientalistes, notamment les David Roberts, ce grand curieux et ce grand fureteur nous offre les résultats de ses peregrinations.

    Rien d’étonnant qu’une telle sensibilité à l’art et au beau soit a son paroxysme chez quelqu’un qui a été élevé au milieu de la musique et de ses instruments, les établissements Abdallah Chahine.

    L’œuvre qui vous est presentée ce soir est la somme de toute une vie de recherches et de connaissances jalousement accumulées.

    C'est grâce à l’incitation de Mme. Leila Badr que ce DVD a vu le jour. Elle a dû secouer fortement l’auteur pour qu’un tel trésor ne passe aux oubliettes.

  • Summer Concert

    Pour un coup d’Essai ce fut un coup de Maître, Le premier concert, donné le Mercredi 26 Juin 2008, au Selecteum du Quatuor del tempo eut un succès monstre avec une salle comble.
    Après ne brève exposition du programme qui était très varié, une analyse s’en suivra: d’abord un duo de L. Van Beethoven pour violon et violoncelle, suivi d’un autre duo pour 2 violons cette fois de J.M. Leclair, puis un mouvement du quatuor n° 34 de J. Haydn, la Passacaille de F.Haendel; pour le Bis et pour varier Scott Joplin était à l’honneur avec une pièce de Jazz.
    Le Duo de L. Van Beethoven débute avec une charmante mélodie aux accents mozartiens suivi par un dialogue entre violon et violoncelle, un ralentissement du rythme apparaît avant de revenir à la mélodie principale.
    Dans l’Andante, l’apparition des accents Beethoveniens avec un certain pathos, parce que chez Beethoven, son moi est le plus fort et apparaît ici après le premier mouvement où l’imitation de Mozart était inéluctable.
    L’Allegro, lui, laisse éclater une joie de vivre certaine. Les musiciens ont donné toute leur mesure dans ce magnifique duo.
    Le Duo de Leclair qui suit, l’Allegro donne l’impression d’entendre un orchestre complet se manifester : c’est tout l’art de ce grand musicien J.M. Leclair qui a su s’exprimer d’une façon toute pleine d’élégance et de majesté à la française, très bien
    interprété par nos 2 violonistes avec une coordination parfaite.
    Dans l’Andante apparaît une mélodie non pas triste mais proche d’une certaine rêverie accompagnée d’une très belle harmonisation. Ce sont les mouvements lents qui signent la valeur des grands musiciens. L’Allegro qui laisse éclater une joie de vivre avec ce dialogue des violons.
    Le père du quatuor ici est joué un mouvement du quatuor de J.Haydn (Hob n° 34} laisse éclater son Art dans ce superbe mouvement tout en clarté, transparence et maîtrise des instruments qui dialoguent entre eux dans un mouvement saccadé et bien rythmé et devant la course folle des violons, le violoncelle reste impassible.
    La Passacaille de Haendel, qui traduite mot a mot est une danse où on traverse la rue. D’emblée le thème est affiché laissant apparaître une inspiration à l’italienne, contrastant avec le style de J. S. Bach. Suivent les variations aux couleurs diverses qui contribuent à donner à cette pièce des accents de gaîté, ou de tristesse, de majesté, de cocasserie et même d’ironie. L’interprétation par le ‘quatuor del tempo’ était magistrale et laisse à présumer de leur grande valeur en tant que musiciens et interprètes.
    Et pour terminer, une pièce de Scott Joplin, du Jazz très dansant aux accords impeccables très bien interprétés par nos valeureux musiciens qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans tous les styles que ce soit classique romantique ou moderne. 

  • Le Violon Enchanté

    Une exposition de violons anciens et contemporains, placée sous le titre «Le Violon Enchanté», a eu lieu au centre culturel «Selecteum des Arts et des Sciences», en présence de personnalités diplomatiques, politiques, sociales ainsi que d’artistes et de mélomanes.
    Des violons rares italiens et français ont été présentés par les collectionneurs Allemands Jost Thöne et Jan Röhrmann, et par le collectionneur et luthier Libanais Arty Iskandarian dont les œuvres côtoyaient des violons datant du 18ème siècle jusqu’au début 20ème siècle, tels Deconet, Panormo, Pirot, Camillo Camilli.
    Trois collectionneurs qui chacun exprime à sa façon sa passion au violon et aux instruments à cordes.
    Fondateur et président de plusieurs activités musicales en Europe, Jost Thöne s’est consacré depuis 1998 à l’édition et publication de livres encyclopédiques relatifs aux violons et aux luthiers, dans l’objectif de faire connaître la lutherie moderne et ancienne. Il a publié «Italian & French Violin Makers», «Violin & Bow Makers», et «Contemporary Violin Makers» avec Jan Röhrmann, photographe professionnel d’instruments à cordes, dont les photos sont publiées depuis 2004 dans le journal «The Strad» et le catalogue du «International Stringed Instrument Symposium».
    Amoureux de violons et d’instruments à cordes, Arty Iskandarian s’est adonné à l’art de la lutherie, passion que lui a été léguée par un grand-père violoniste et collecteur d’instruments à cordes. Iskandarian a été reçu au Vatican où il a présenté ses instruments sur lesquels des solistes de renommée internationale ont joués.
    L’exposition «Le Violon Enchanté» est un évènement sans précédent qui a eu pour cadre le «Selecteum des Arts et des Sciences», un centre culturel libanais, dont l’objectif est de créer un espace de rencontre entre les sélects de la communauté culturelle au Liban et de favoriser les échanges culturels entre le Liban et les pays de l’Europe Orientale et Occidentale. 

Contact us

from Monday to Friday - 10 AM to 5 PM

Lebanon

​​Jounieh, Kaslik, Main str., Debs center, floor 11

© Selecteum des Arts et des Sciences - All Rights Reserved

Portfolio . File Manager . Copyrights